Ici un autre exemple de l’incompatibilité des pratiques de l’Islam avec le temps et la vie moderne.
La fête musulmane Aid al Adha, la deuxième plus grande fête religieuse des Musulmans, a été célébrée ce 13 Septembre 2016 à Dacca (capitale du Bangladesh) et ailleurs à travers le pays au milieu de fortes pluies dans la capitale et à différents endroits dans le pays.
Alors que les orages ont continué à provoquer une montée de l’eau à différentes zones de la capitale, les égorgeurs musulmans ne sont pas empêchés de jeter le sang des animaux et les déchets dans les rues submergées. Cela a entraîné de véritables ruisseaux rouges avec de l’eau mélangée avec du sang!
Selon l’agence municipale chargée du ramassage des ordures, la gestion des déchets d’animaux deviendrait difficile au milieu des pluies en raison du mauvais drainage à travers la capitale.
Des gens ont été vus marcher dans une rue submergée d’eau mélangée avec du sang animal et les déchets dans la région de Naya Paltan de Dhaka le 13 Septembre, 2016.
Ces ruisseaux rouges avec du sang suscitent maintenant les inquiétudes des organisations environnementales locales, car les gens se baignent et lavent leur vaisselle sur la rive du Buriganga, une rivière qui passe dans Dacca.
Les eaux usées de la ville finissent directement dans le Buriganga, sans aucun traitement préalable explique le quotidien bangladais The Daily Star of Bangladesh.
Le paludisme, la dengue, la filariose et autres maladies cutanées se propagent très facilement dans un environnement aussi pollué car 70 % de la population à Dacca n’a pas accès aux sanitaire, poursuit le journal.
Les photos sont du quotidien bangladais The Daily Star of Bangladesh (Prabir Das) et de Bulbul Ahsan, éditeur en chef à Ekushey Television (une chaîne de télévision locale à Dacca.)
Dacca, la surpeuplée, la polluée capitale du Bangladesh baigne dans le sang
Ici à Dacca (avec 16 millions d’habitants) nul ne se soucie du respect de l’environnement alors que la Sharia régit tous les aspects de la vie quotidienne.
La ville cumule pourtant tous les maux des grosses agglomérations d’Asie du Sud : la densité de population la plus forte au monde (43 797 habitants au kilomètre carré), une urbanisation incontrôlées, et une pollution extrêmement élevée. Accrochée sur la rive du Buriganga, Dacca contamine de ses maux le cours d’eau qui l’a vue naître.
Autrefois source d’eau potable, le Buriganga charrie aujourd’hui une eau rouge, visqueuse, qui porte à sa surface et dans ses profondeurs des sacs plastique, des fûts rouillés et des déchets d’animaux. Plus aucun poisson ne peut y vivre, faute d’oxygène en quantité suffisante explique le quotidien bangladais The Daily Star.
Comme les plaines alluviales forment 80 % du Bangladesh, chaque année plus de la moitié du pays est inondé.
De plus 10 % du territoire bangladeshi se trouve en dessous du niveau de la mer. Il y a peu de relief au point que la majeure partie du pays se trouve situé à une altitude très faible de seulement une dizaine de mètres au-dessus du niveau de la mer.
L’Islam est la religion majoritaire au Bangladesh, qui chaque année sa population s’accroit environ de plus de 2 millions de personnes supplémentaires avec des naissances.
Par sa population (160.7 millions d’habitants) le Bangladesh est le troisième pays musulman au monde derrière l’Indonésie et le Pakistan. L’Islam y est religion d’État depuis le mois de juin 1988.
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© Souhail Ftouh pour Europe Israël
Bah, cela fera une bonne épidémie !
Ils vont tous accourir en Europe, ils vont arriver par millions avec leurs tares.