Chaque jour apporte la preuve supplémentaire (est-ce encore nécessaire…) de la connivence entre les députés arabes ou des représentants de cette population avec les organisations terroristes que sont le Fatah et le Hamas. Les relations en serpent de mer entre ces deux factions d’un même combat est un casse-tête pour la communauté internationale: lorsqu’ils sont en mauvais termes, la communauté internationale craint que cela n’empêche une position commune lors d’éventuelles négociations avec Israël, et lorsqu’elles sont « unies », c’est toujours le Hamas qui donne le ton.
Cette fois-ci, c’est un Arabe israélien qui a pris sur lui le mission de rapprocher les frères ennemis du crime terroriste organisé. Et pas n’importe lequel. Il s’agit de Muhamad Barake, ancien député communiste à la Knesset durant cinq législatures et nommé depuis octobre 2015 au poste très stratégique de président du Haut-Comité de suivi des Arabes israéliens. Il s’agit de l’organe faîtier qui englobe la plupart des organisations arabes israéliennes et défend leurs droits sociaux mais aussi politiques. Sans oublier le combat national contre l’existence d’Israël comme patrie du peuple juif.
Muhamad Barake n’est pas un tendre avec Israël et ses violentes harangues à la Knesset étaient légendaires. En bon communiste, les expressions « fasciste » et « impérialiste » étaien utilisées à tour de bras dans ses discours et il ne voyait aucune contradiction, en tant qu’athée convaincu, de soutenir le Hamas et le Jihad Islamique tant qu’il s’agissait de pourfendre l’Etat qui lui payait son salaire.
Utiliser jusqu’au bout la démocratie israélienne pour la détruire est son objectif autant comme communiste que comme arabe.
Cette fois-ci, il se lance dans la mission de rapprocher le Fatah de Mahmoud Abbas et le Hamas de Khaled Meshaal. Il a annoncé avoir reçu le feu vert des deux factions pour faire avancer le processus de réconciliation qui revient régulièrement au devant de l’actualité. Dans une interview au journal A-Sinara de Nazareth, il expose le plan du Haut-Comité de suivi: formation d’un cabinet d’union nationale, fixation d’une date communément acceptée pour la tenue d’élections législatives et présidentielles et surtout, engagement du Hamas comme du Fatah de respecter les résultats du scrutin.
Une importante délégation d’Arabes israéliens s’était rendue à Ramallah et avait obtenu de Mahmoud Abbas le OK pour faire avancer la question de la réconciliation.
Les Arabes israéliens au secours de leurs frères arabes palestiniens, et ces derniers utilisant leurs services en Israël, voilà un bon mélange explosif…
©Par Shraga Blum pour Europe-Israel.org
De plus ce type se dit communiste , tiens donc comme Mélanchon et toute cette clique de gauchos qui défilent en France aux cris de morts aux juifs . Sont ils de la même famille ?
Il n’y a qu’un mot pour cela
I M P O S S I B L E
C’est irréconciliable
bon courage parce que ce n’est pas gagné !!!
C’est ce qu’on appelle :
– avoir un serpent en son sein … ou
– le ver est dans le fruit…ou
– Un cheval de Troyes….etc.
Et tout ceci est inexcusable autant pour Israël que pour les autres pays, qui n’ont su se prémunir de ce fléau. Pourtant des Cassandre se sont égosillés, mais l’on voit bien que cela a été vain, et que même au vu des « catastrophes » que cela génère, cela ne semble pas gêner les Autorités, qui ne changent pas vraiment leurs politiques, en dehors de quelques poudres aux yeux que l’on nous balance régulièrement, qui sont rarement suivies d’effets, ou qui ne servent vraiment à rien.
Pour réconcilier les « haineux » entre-eux, il faut nécessairement trouver de nouveaux objets et sujets de haine.
C’est d’ailleurs la seule chose que sait faire l’islam !!!