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Islam de France : le mensonge institutionnalisé


Islam de France : le mensonge institutionnalisé

OPINION

Au nom des martyrs du 14 juillet 2016 à Nice, morts les yeux pleins d’étoiles…

« Trêve de paroles superflues » en ces moments tragiques pour les Niçois et la France, me diriez-vous.

Résumons-nous, alors. Prenons les choses pas la fin, à partir de la conclusion ultime, cruelle et crue : les mensonges d’État, politiquement institutionnalisés.

La France de la classe politique hypocrite, droite comme gauche, celle de ses journalistes désinformateurs et propagandistes, celle des islamo-gauchistes retors, celle des intellectuels complaisants avec un certain islam malintentionné : tous collectivement responsables. Il faut leur ajouter les dits nouveaux « penseurs » musulmans largement inaudibles, rares pseudo réformateurs utopiques et idéalistes, au discours anesthésiant et en rupture totale avec le réel du monde musulman et ses institutions religieuses officielles, mais également les historiens et les islamologues bricoleurs de l’histoire de l’islam et des conquêtes islamiques, mais aussi certains musulmans et les islamistes intellectuellement et culturellement schizophrènes des réalités tragiques de leur religion.

Depuis plus de trente années toutes ces élites ont cultivé l’art du mensonge et de la contre-vérité, l’art d’édulcorer l’histoire de l’islam et de ses conquêtes, le truquage des textes coraniques, l’art de faire gober aux Français des couleuvres de plus en plus grosses sur le monde musulman et sur l’immigration aux sources du nouvel antisémitisme importé du Maghreb et de l’islamo-terrorisme jihadiste anti infidèle blanc.

On nous a imposé l’imposture du « vivre ensemble » avec un islam de ruptures radicales. Pourtant, historiquement parlant et dans les faits, cette notion a fait cruellement défaut en Orient devenu musulman et qui ne l’était pas. Elle a vidé le Maghreb de ses juifs et de ses non-musulmans durant le XXe siècle, et elle continue toujours son œuvre méthodiquement au Proche-Orient, au Soudan et ailleurs. Même en Égypte depuis la chute des Frères musulmans, en juillet 2013, on continue régulièrement et à ce jour d’incendier des églises, assassiner des coptes, les chasser de leurs villages, kidnapper des jeunes filles et des enfants chrétiens et flinguer à bout portant des conscrits chrétiens de l’armée, assassinats maquillés en suicides. Dans tous l’Orient musulman, le « vivre ensemble » se résume à la soumission des non-musulmans à la toute puissance totalitaire de l’islam.

On nous a menti sur le folklore du soufisme, paraît-il islam d’amour mystique, abusivement de tolérance et de paix, en vue de redessiner un hypothétique et caricatural « islam de France », impossible dans les faits ; un échec pathétique total (lire ici, Sidney Touati, L’étrange défaite morale de l’Islam de France). Le soufisme est une imposture anesthésiante pour une France ignorant que les plus grands maîtres de ces sectes folkloriques ultra minoritaires à peine tolérées par l’islam officiel (sunnite et chiite) ont tous écrit et appelé au jihad actif et offensif (Abû Ḥâmid al-Ghazâlî, Muḥyi al-Dîn Ibn ʿArabî, Jalâl al-Dîn Rûmî, et bien d’autres), et de soumettre impitoyablement les juifs et particulièrement les chrétiens (Ephraïm HERRERA). Les plus éminents maîtres soufis ont pratiqué le petit jihad belliqueux, celui de la guerre sainte offensive. Les dominicains et les jésuites séduits par la dimension ascétique qui soutiennent naïvement le contraire à la suite de l’orientaliste romantique et islamo-partial Louis Massignon (qualifié par le pape Pie XI de « catholique musulman » !) doivent revoir leur copie biaisée et frelatée, notamment ceux de l’Institut dominicain d’études orientales au Caire, qui occultent sciemment par complaisance ou par ignorance ce revers très sombre de la médaille soufie.

On nous a imposé le néologisme liberticide et dissuasif d’ « islamophobie », une pseudo notion vide de sens mais que les islamistes de France en mal de définition en langue française correcte remplissent d’interdits et de censure.

On a laissé les islamistes et des intellectuels révisionnistes complaisants, réécrire l’histoire des relations problématiques de l’islam impérialiste et violent, celui de l’Empire musulman conquérant avec celui l’Occident. On a occulté les dégâts irréversibles au nom d’Allah de cet empire en Orient de telle sorte que nos banlieues amnésiques, déboussolées et culturellement schizophrènes sont pétries de haine de la France et de ressentiments anti-blanc, ignorants des pans entiers de cet islam qui a cruellement sévit dans les pays arabes de leurs origines. On a bricolé les manuels scolaires dans le but de contenter nos jeunes scolaires musulmans et modifier vicieusement notre perception de l’histoire de l’Empire islamique impérialiste, faussement idyllique. On laisse une ministre de l’Éducation s’attaquer à l’héritage grec et latin de la France et de l’Europe, de vouloir nous imposer la langue arabe dès le cycle primaire au détriment du français et tenter de dévoyer l’identité de ce pays ; la désintégration en ordre de marche.

On s’emploie à abandonner nos valeurs et nos identités, brader notre héritage gréco-romain et celui judéo-chrétien et tenter de leur imposer une récente culture islamique faussement « européenne » sous la bannière et au nom du « multiculturalisme », aveuglés que nous sommes que dans les faits historiques depuis quatorze siècles ce « multi-confessionnalisme culturel » (et non multiculturalisme !) a fait défaut dans tout le monde arabe, désormais quasi monolithique.

On a cultivé le déni du réel jusqu’à l’absurde, le relativisme jusqu’au non-sens, la dhimmitude consentie au nom de la fraternité inégalitaire de l’islam.

On s’est servi de la devise de la République française « liberté, égalité, fraternité » et de la prostituer afin de contenter les islamistes qui n’y ont jamais cru. On a prostitué la démocratie pour la rendre compatible avec l’islam, pourtant une hérésie dans cette religion de soumission qui ignore le libre arbitre ; ce libre arbitre revisité par l’utopiste Abdennour Bidar, tentant de nous perdre dans des tautologies philosophiques sans issues. « Il n’y a pas dans l’islam de philosophie » (Ibn Taymiyya, dans Majmouʿ al fatawa, La somme de fatwas).

On a vu une justice fort laxiste vis-à-vis de l’islamo-gangstérisme au service de l’islamisme, multipliant les erreurs devenues ensuite meurtrières.

On a vu dans l’Église catholique de France une faction de ses évêques et de ses cardinaux se compromettre avec les islamistes dans une sorte de syncrétisme islamo-chrétien au risque de perte de repères et d’apostasie rampante ; des évêques et des cardinaux plus soucieux de multiplier les mosquées et les centres culturels et cultuels islamiques d’endoctrinement et d’islamisation, faute de pouvoir remplir leurs églises : le naufrage annoncé d’une Église de plus en plus boycottée par ses fidèles.

On a laissé les médias manipulateurs et désinformateurs poursuivre leur sale besogne de sape et de déconstruction démagogique, invitant les pires islamistes sur leurs plateaux télés et sur les antennes. Ces médias pyromanes n’ignoraient pas que ces islamistes, abusivement qualifiés d’ « imams de la République », de « philosophes/penseurs » ou d’ « islamologues » approximatifs et bricoleurs, appartiennent pour la plupart à la confrérie toxique, malfaisante et terroriste des Frères musulmans (l’UOIF), bannie dans les pays où ils ont sévit. Sinon, ces dignitaires ou intellectuels musulmans de France sont les adeptes d’un islam traditionaliste figé et dogmatique ou d’un soufisme farfelu, et même parfois des fondamentalistes dissimulés à nous servir, tous collectivement, les mêmes plats réchauffés, ceux de la tromperie, de l’imposture et du mensonge (lire : De la taqiyya des imams de France III : l’ignominie). On les a laissé nous débiter un islam subjectif et imaginaire, de tolérance et de paix, lorsque l’Orient, celui de leurs pays d’origines, nous démontre exactement le contraire depuis des siècles, ou alors à pleurnicher la victimisation lorsqu’on a à faire à des fanatiques endoctrinés et des prédateurs conquérants sous une fausse apparence de modération.

On a laissé nos présidents, ministres et maires islamo-collaborateurs entretenir des nids de vipères wahhabo-salafistes et fréristes à des fins électoralistes, tandis que ces organisations islamiques poursuivent depuis des décennies leur travail de sape désintégrateur et d’islamisation : créer une société parallèle, une oumma islamo-communautariste d’endoctrinés, de voilées, et de jihadistes en herbe incontrôlables à terme (lire : Le Tamkine Chez Les Frères Musulmans | Ikhwan Info).

On continue à mentir sur la démographie française, sur l’ampleur de la délinquance maghrébine, le vrai profil des violences conjugales en France et du milieu carcéral de plus en plus radicalisé, sur la situation de certaines banlieues-ghettos, sur la nature des échecs scolaires, sur la fameuse déradicalisation, une autre fumisterie qui démontre qu’on n’a rien compris à l’endoctrinement islamiste plus que millénaire, celui du monde musulman lobotomisé dont la conséquence ultime est la présente implosion chaotique. On occulte de dire qu’une bonne partie des jihadistes et des convertis séduits par l’islam sont psychologiquement instables ou atteints de troubles psychiques, entre autres, névroses, troubles psychotiques (schizophrénie), voire psychopathie.

On continue de tricher sur la nature coranique et doctrinale de ce jihad islamique qui refuse de dire son vrai son nom. On refuse de nommer clairement le mal. On continue d’occulter que cette radicalisation est un simple retour aux origines, aux sources historiques et séculaires de l’islam, à l’exemple du prophète Mahomet et des premiers califes, puis des califes omeyyades, abbassides et ottomans qui ont mis tout l’Orient, l’Europe du sud et centrale ainsi que toute la Méditerranée à feu et à sang pendant un millénaire.

Non, l’organisation de l’État islamique (EI), « Daesh », n’est pas un phénomène nouveau dans l’histoire. Il y eu d’innombrables organisations/califats jihadistes dans l’histoire des conquêtes islamiques, dès les origines, depuis le sous-continent indien et les frontières de la Chine au Sénégal (qui n’était pas musulman), en passant par le Moyen et le Proche-Orient, l’Afrique du Nord et subsaharienne.

« Assassin » est un mot d’origine arabe et perse !

Les génocides arméniens et assyro-chaldéens de la fin du XIXe et les débuts du XXe siècles ont été perpétrés également au nom de l’islam et d’Allah. C’est un grossier mensonge de l’occulter. Constantinople a été conquise suite à des bains de sang. Le Maghreb, comme l’Égypte, ont été soumis à l’islam après des décennies de massacres. Si l’Europe centrale et orientale a peur de l’immigration et de l’islam c’est à cause du passé sanglant et, au très fond des mémoires collectives, le souvenir des boucheries de l’Empire ottoman du XIVe au XVIIIe siècle au nom d’Allah (Guerres ottomanes en Europe), et non pas parce que ces peuples sont racistes, comme le sous-entendent nos médias pervers à la suite des technocrates de Bruxelles, délibérément amnésiques de l’histoire.

La liste est trop longue, beaucoup trop longue.

Nos politiques, nos intellectuels, nos universitaires et nos journalistes islamophiles ou islamo-complaisants nous ont menti depuis trop longtemps, beaucoup trop longtemps. C’est particulièrement le cas d’une faction d’universitaires imposteurs bien Français à tricher sur l’histoire des conquêtes islamiques.

On a menti sur les réelles causes des Croisades et sur leur finalité, sur Charles Martel et la bataille de Poitiers ou de Tours revisitée (732), sur l’Andalousie faussement multiculturelle et tolérante. On a triché sur l’esclavage arabo-islamique, allègrement occulté, encore plus cruel, plus ancien et plus durable, sur les méfaits et la grande cruauté de l’Empire ottoman, notamment en Algérie (de 1516 à 1830) et en Égypte (1517-1798), et bien d’autres événements tragiques de l’histoire sanglante de l’islam qu’on s’est employé de dévoyer au nom de la sacro-sainte religion génocidaire à repeindre à tort sous un jour favorable, idyllique et merveilleux.

Le plus grave est que depuis cette indescriptible horreur à Nice le soir du 14 juillet 2016, comme pour les précédents massacres de 2015 à Paris, une partie conséquente de nos politiques incultes sur l’islam continuent à mentir, à tricher et à retourner leur veste. De François Hollande à Nicolas Sarkozy, de Manuel Vals à Alain Juppé (surnommé « Ali ben Juppé » !), en passant par le maire de Nice Christian Estrosi* (surnommé « l’imam » !) et bien d’autres de gauche comme de droite, beaucoup ont entretenu des relations plus qu’ambiguës, voire dangereusement complaisantes avec un « islam de France » en réalité un « islamisme de France » fondamentaliste et radical (wahhabite/salafiste/ou Frère musulman). Depuis une bonne génération, tous ont participé à l’élaboration d’une sale et monstrueuse bombe à retardement mais à se refaire aujourd’hui une virginité en pensant aux prochaines élections présidentielles de 2017, nullement à leur passif contestable et désastreux, ni au peuple français victime de la plus grande imposture : le mensonge d’État, politiquement institutionnalisé.

L’indécence est sourde et aveugle… Mais l’histoire est cruelle, ni sourde, ni aveugle.

Et le mensonge ne possédant pas en effet de longues jambes, le réel de ce jihadisme plus que millénaire est en train de rattraper toutes ces élites, d’autant plus que le pire annoncé et prévisible se concrétise monstrueusement sous nos yeux.

Reproduction autorisée avec la mention suivante :

© François Sweydan pour Europe Israël news

– – – –

(*) Le maire de Nice Christian Estrosi qui accuse l’État de laxisme ? Soit, l’on convient ! Mais il suffisait d’une herse de police à clous en acier, de plots en béton ou de gros véhicules en travers de la promenade des Anglais à Nice pour empêcher à tout véhicule de s’y introduire. L’amateurisme et/ou la grande négligence et l’inconséquente légèreté des autorités locales questionnent…





Journaliste québécois, pro-atlantiste, pro-israélien,pro-occidental



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  • 2 thoughts on “Islam de France : le mensonge institutionnalisé

    1. Olivier

      De mensonges en contre vérité , impossibilité d’émettre la moindre critique sur l,islam , les réfugiés,les maghrébins et la racailles de banlieue ou c’est installée avec la bénédiction du pouvoir publique des zones de non droit ( enfin le nôtre de droit ou ce qu’il en reste) .les islamistes on vite comprit que la France était un pays parfait pour eux ! Dans les 10 ans qui viennent à ce rythme là c’est le chaos assurée , l’explosion totale de la communauté française , combien de temps le chrétien , le laïc et l’agnosticisme vont pouvoir supporter tout ça sans réaction ? Je pense que c’est assez et devenu pour ma part insupportable , peut être le chaos est il souhaitable pour renaître et reconstruire autre chose de moins pourri et pus en rapport avec les traditions et le style de vie de la majorité

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