L’homme mis en examen pour avoir volontairement blessé au couteau, le 19 juillet au centre de vacances de Garde-Colombe, une mère et ses trois filles, âgées de 8, 12 et 13 ans, a mis le feu à sa cellule de la prison de Lyon-Corbas, mercredi soir.
Mohamed Boufarkouch, ce Francilien de 37 ans, de nationalité marocaine, est en détention provisoire dans le Rhône depuis sa mise en examen pour tentatives de meurtre, prononcée par le pôle de l’instruction de Grenoble, désormais en charge de cette affaire.
« L’homme a mis le feu à sa cellule mercredi soir, au 2e étage de la prison de Corbas, raconte Alain Chevallier, secrétaire régional Rhône-Alpes de l’Ufap-Unsa, syndicat de l’administration pénitentiaire. Depuis l’extérieur, deux gardiens ont vu de la fumée s’échapper de la cellule. Ils sont alors montés en courant et ont dû forcer la porte, qui avait été barricadée de l’intérieur. Les flammes étaient importantes, ils ont probablement évité un drame. »
Brûlé aux bras et intoxiqué par les fumées, le détenu a été transféré vendredi à l’unité hospitalière sécurisée interrégionale (UHSI) de Lyon, pour des soins physiques et psychiatriques. Il s’y trouve toujours. « C’est un cas très compliqué à gérer », confie Alain Chevallier.
Je me souviens de ce fait divers sordide…..
Alors, a present, c’est quoi le motif ? la couleur du mur ? la couleur de la chemise du gardien ?
Renvoyez le au bled ! Au Maroc, on verra bien s’il ouvrira sa gueulle !
Fallait le laisser au chaud ! C ce qu il voulait.
et il n’a pas brûlé avec? Mince!
Il est en prison ce pauvre choupiné , faut faire une marche , une manifestation , que font les politiques !
On ne fait pas une marche blanche ?
et les français le soignent!
« Cas compliqué à gérer », « déséquilibré »
Les nouveaux euphémismes empruntés à la psychiatrie pour ne pas stigmatiser les fanatiques du couteau, inadaptés à la vie sociale.
Fallait éteindre le feu avec un peu de White Spirite