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Une riposte sans pitié ! « Les soldats du califat, eux, ne font pas la guerre à moitié. Ils viennent jusque dans nos bras égorger nos fils et nos compagnes »


Une riposte sans pitié ! « Les soldats du califat, eux, ne font pas la guerre à moitié. Ils viennent jusque dans nos bras égorger nos fils et nos compagnes »

OPINION

Merah, Charlie, le Bataclan, Magnanville, et maintenant Nice… Combien de temps avant que nos yeux se dessillent ? Combien d’attentats sauvages, de massacres aveugles avant que nos dirigeants se résignent à admettre que le fanatisme islamiste a engagé une lutte à mort contre notre pays et notre civilisation? Combien de victimes innocentes – hommes, femmes et enfants – avant que nos gouvernants se décident enfin à prendre contre ces fous d’Allah les mesures sans pitié qu’appelle leur barbarie?

Merah, Charlie, le Bataclan, Magnanville, et maintenant Nice… Plus de deux cents noms gravés dans la mémoire de notre pays, et toujours les mêmes coups de menton, les mêmes déclarations solennelles, les mêmes trémolos dans la voix. Et ensuite? Quelques soldats supplémentaires dans les rues, quelques rustines législatives, quelques bombardements lointains, et puis, plus rien…

«Nous sommes en guerre!» Désormais, c’est dit. Après bien des atermoiements, l’expression est désormais sur toutes les lèvres. Mais, au fond, qui le croit vraiment ?

«Aux armes, citoyens!», crions-nous à pleins poumons, mais nos armes sont celles de la paix: des bougies, des hashtags, des cortèges et les subtilités de notre Code de procédure pénale.

Drôle de guerre, en vérité !

Nous laissons nos frontières (nos lignes, diraient les soldats) ouvertes à nos ennemis. Les agents recruteurs du djihad prêchent impunément leur idéologie de haine dans des mosquées financées par l’ennemi.

Les «traîtres» partis combattre en Syrie sont soumis à un simple stage de «déradicalisation». Quant aux «fichés S», susceptibles de se constituer en «cinquième colonne», ils gambadent dans la nature au motif qu’ils «n’ont encore commis aucun crime»…

La guerre, quelle guerre ? Mais nous vivons comme si nous étions en paix ! L’état d’urgence n’empêche ni les manifestations syndicales ni les rassemblements festifs, dont certains prétendent sans rire qu’ils sont «la meilleure réponse à l’État islamique»…

Le président de la République lui-même semble ne pas y croire: il a tranquillement annoncé, le 14 Juillet, la fin de l’état d’urgence et l’allégement du dispositif «Sentinelle», avant de faire machine arrière toute dans la nuit, quand la tragique réalité l’a rattrapé…

Car les soldats du califat, eux, ne font pas la guerre à moitié. Ils viennent jusque dans nos bras «égorger nos fils et nos compagnes», et nous offrons la protection de nos lois à ceux-là mêmes qui veulent nous détruire ! Jamais dans l’Histoire un ennemi n’a bénéficié d’autant de complaisance de la part de celui qu’il combat.

Cet aveuglement volontaire n’a que trop duré. Pour gagner la guerre, il faut la mener sans demi-mesure ni pusillanimité. Et pour donner à ceux dont c’est la mission quelque chance de l’emporter, il nous faut réarmer.

Réarmement militaire et policier, bien sûr. Réarmement législatif, partout où cela est nécessaire. Réarmement moral, surtout, pour surmonter collectivement ce syllogisme pervers drapé dans les oripeaux du «vivre ensemble» qui prétend disqualifier, en France, toute action un peu énergique contre les racines de l’islamisme radical au motif que «ce serait faire le jeu des terroristes». Comme si nous les combattions mieux en tendant notre cou à leur couteau! Comme si le plus sûr chemin vers des affrontements intercommunautaires n’était pas précisément la démission de l’État, seul détenteur de la force légitime, et seul garant de la paix civile…

Évidemment, pour venir à bout de l’hydre islamiste il n’existe aucune arme miracle. Nous n’écarterons jamais tout risque d’attentat. Est-ce une raison pour ne pas tout tenter? Bien sûr, cette guerre qui nous a été déclarée sera longue et difficile. Nous essuierons sans doute d’autres défaites. Raison de plus pour ne pas perdre davantage de temps. Merah, Charlie, le Bataclan, Magnanville, Nice… C’est maintenant qu’il faut agir si nous voulons un jour interrompre la sinistre litanie.





Journaliste québécois, pro-atlantiste, pro-israélien,pro-occidental



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  • 5 thoughts on “Une riposte sans pitié ! « Les soldats du califat, eux, ne font pas la guerre à moitié. Ils viennent jusque dans nos bras égorger nos fils et nos compagnes »

    1. Salmon

      C’est sùr qu’avec les nounours , les bougies , et les coeurs , nous ne faisons pas le poids face aux monstre

      La Marseillaise le dit bien  » Aux Armes Citoyens »!

    2. Malcolm Ode

      Il y a des guerres qui ne durent que sept jours… En faisant exactement le contraire de ce que nous faisons actuellement : nier l’origine réel du problème, fermer les yeux sur les amalgames, attribuer des vertus à l’islam, autoriser tous leurs caprices religieux, alimentaires, vestimentaires… cela pourrait aller très vite.

      Interdire purement et simplement l’exercice de cette (religion) dans l’espace public… C’est pourtant bien ce que l’on fait avec le négationnisme, sans que ça ne déclenche de guerre civile.

      Les armées européennes n’auraient qu’à se tenir prêtes à mater leurs rébellions éventuelles mais très peu probable compte tenu de leurs motivations fallacieuses.

      Qu’ils prient leur diable d’Allah « SEUL dans le secret de leur chambre, Dieu connaitra leurs prières ».

      Si on en arrive à cette situation, c’est parce que l’humanité ne pourra pas faire l’économie d’une éradication de cette religion du diable par la violence ou par la ruse.

    3. capucine

      sauf qu’il nous faudrait une baïonnette pour leurs transpercés le corps sans aucune pitié , car eux n’en ont pas pour nous …

    4. Salmon

      Capucine

      250€ une calach un jour il faudra en acheter !
      les terroristes eux en ont , meme les flics avec leur petit pistolet n’arrivent pas à les arrétés

    5. C.A

      D’accord avec l’auteur, il faut lutter énergiquement si l’on veut gagner la guerre et, dans de longs mois, pourvoir vivre en paix.

      Mais on oublie une chose, et non des moindres : les droits de l’homme.

      Les islamistes quand ils massacrent à tour de bras, ils n’en n’ont cure des DROITS DE L’HOMME.

      Mais quand ils sont détenus dans les prisons des mécréants, ces mêmes djihadistes aux mains couvertes du sang de leurs malheureuses victimes exigent que leurs droits soient scrupuleusement respectés.

      Leurs avocats et la Cour européenne de justice veille au grain, hors de question que le pays des Droits de l’Homme, endetté jusqu’au coup, ne regarde à la dépense.

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