La justice turque a émis, hier des mandats d’arrêt à l’encontre de 42 journalistes, dernier épisode d’une chasse aux sorcières déclenchée contre les partisans supposés de Fethullah Gülen, prédicateur exilé aux Etats-Unis et accusé par Ankara d’avoir fomenté le putsch avorté du 15 juillet.
Cinq d’entre eux ont déjà été arrêtés et onze auraient quitté le pays. La police recherchait dans la station balnéaire de Bodrum (ouest) Nazli Ilicak, figure de premier plan du monde des médias en Turquie.
La journaliste, très connue, avait été limogée du quotidien pro-gouvernemental « Sabah » en 2013 pour avoir critiqué des ministres impliqués dans un scandale de corruption.
« C’est le dernier signe alarmant dans ce qui devient de plus en plus une purge éhontée fondée sur l’appartenance politique », accuse l’ONG Amnesty International.
Le monde des médias avait déjà été frappé par la purge avec le retrait, le 19 juillet, des licences de nombreuses chaînes de télévision et de radio.
Depuis le putsch raté, près de 6 000 personnes ont été mises en détention.
HER DOGAN le nouvel ADOLF de Turquie, il passera a l’histoire comme un des plus grand salopard que la terre aie porté. Regardez la face de cette ordure
cela en dit long sur son âme.
Le plan de la répression préparé à l’avance était mieux préparé que le Putsch .
Où est l’erreur ?
scusi pour la répétition .( préparé )