Une fois de plus, le Premier ministre Binyamin Netanyahou aura vu juste. Combien de fois n’a-t-il pas prévenu les Européens que s’ils ne soutiennent pas Israël dans sa lutte contre le terrorisme, ce même terrorisme finira par frapper sur leur sol. Ils n’ont pas écouté, préférant demander de la retenue à Tsahal et voter des décisions anti-israéliennes.
Après l’attentat à la hache commis mardi dans un train en Bavière, les autorités allemandes se veulent lucides et francs avec leur population. Le ministre allemand de l’Intérieur Thomas de Maizière a prévenu que les attentats spontanés commis par des individus isolés risquent de se multiplier. Cela sonne comme un air connu en Israël.
Le ministre a souligné avoir averti depuis longtemps de la gravité de la situation sécuritaire dans son pays « devenu comme d’autres pays européens une cible pour le terrorisme ». Mais en l’occurence il s’agit d’une autre forme de terrorisme, plus difficile à déceler et prévenir car émanant d’individus entrés sur le territoire avec le flot des migrants et qui décident de passer à l’acte.
Concernant le terroriste afghan de 17 ans qui a perpétré l’attentat dans le train, le ministre a indiqué qu’il n’avait pas été formellement envoyé par Daech, bien que l’organisation ait revendiqué l’attentat, mais qu’il a été influencé par des vidéos de propagande islamique vues sur les réseaux sociaux.
Ce n’est pas qu’en Allemagne que l’on constate subitement les mêmes expressions entendues en Israël ou les mêmes sentiments éprouvés. En France aussi Israël est soudainement évoqué en exemple pour ses mesures de sécurité anti-terroristes et de nombreuses réflexions de « l’homme de la rue » après l’attentat de Nice ressemblent à s’y méprendre à celles entendues en Israël qui s’est toujours senti bien seul et incompris dans sa douleur.
Autre signe qui ne trompe pas, Gilles de Kerchove, coordinateur de l’Union européenne pour la lutte contre le terrorisme, interviewé par Kol Israël, a confié « qu’il n’avait jamais vu les dirigeants européens aussi inquiets qu’aujourd’hui face à la menace terroriste ». Il a dit que l’UE tente de trouver des voies pour endiguer l’extrémisme croissant (aux deux sens du terme…) et d’améliorer les contrôles aux frontières de l’espace européen.
Mais cela suffira-t-il pour que l’Union européenne montre davantage de compréhension pour la politique sécuritaire d’Israël ou qu’elle réduise son intérêt obsessionnel pour la moindre maison juive construite à Ofra ou dans certains quartiers de Jérusalem? Rien n’est moins sûr.
©Par Shraga Blum pour Europe-Israel.org
Pendant + de 10 ans, les medias, la gauche a traite Israel et ses soldats de defense de barbares et tout d un coup, les israeliens ne le sont plus, ils montrent maintenant des images ou sont agresses les israeliens mais bien entendu sans jamais nomme les agresseurs, des sales terroristes dits palestiniens qui eux sont sanguinaires et en + viennent se faire soigner en Israel.
Ici en europe nos politiciens sont des fonctionnaires de la politique et en France nous n’avons d’hommes d’état, nous n’avons que des professionnels de la politique qui depuis 40 ans pourrissent ce pays à des fins mercantiles.