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L’interdiction du port de la burqa entre en vigueur vendredi 1er juillet au Tessin. Cette loi cantonale ne fera pas d’exception pour les touristes, ce qui inquiète les hôteliers et les boutiques de luxe de Lugano. Bien que deux recours soient toujours en attente contre cette loi tessinoise – interdisant de se voiler la face en public – l’entrée en vigueur de la loi dite anti-burqa, ne sera pas reportée.
Le Tribunal fédéral a refusé d’accorder un effet suspensif aux opposants. En pleine saison touristique, les premiers effets se font déjà ressentir dans le carnet des réservations des hôteliers luganais, avec plusieurs annulations du côté de la clientèle arabe.
La Burqua doit être interdite comme une torture psychologique faite à l’encontre des femmes. C’est une honte cet accoutrement. Honte à ceux qui ont inventé cette prison vestimentaire. ABJECT, INNOMMABLE. A VOMIR. VIVE LES FEMMES VIVE LEUR BEAUTÉ, VIVE LEUR LIBERTÉ, QUELLES SOIENT MUSULMANES OU AUTRES… Dieu a faite les femmes arabes belles et magnifiques, tel des joyaux. Les enfermer ainsi est une abomination à la création magnifique de DIEU.
Nous saluons avec beaucoup de respect cette decision, et souhaitons qu elle soi prises dans d autres pays, et ne vous inquietez pas si les hotels se vident des arabes musulmans ils pouront enfin se remplir de touristes en soif de liberte et en toute securite.
un slogan devrait circuler pour favoriser ,le tourisme suisse, et pour leur apporter le soutiien qu il merite face a cette demarche.
L INTERDICTION DU PORT DE LA BURQUA SUR NOTRE CANTON, CONTINUERA SANS DOUTE A EMPRISONNER CES FEMMES MAIS
NOUS REDONNERA ENFIN NOTRE LIBERTE ET NOS VALEURS
Franchement qu est ce qu on en a foutre du remplissage des hotels,comme si c etait la seule clientele, ca voudrait dire qu ils collaborent a l asservissement des femmes.
Notre monde a perdu toute sa moralité, au détriment de l’argent. Il faut maintenant en prendre conscience. Nos valeurs sont nos meilleurs vêtements, bijoux de premier ordre, et confortables car elles sont à l’image de ce que nous pensons de ce que nous ressentons. Que la Suisse interdise la burqua je trouve cela très honorable, car aucune femme ne peut faire le choix délibéré d’être enfermé, et aucune femme ne serait rester en souffrance face à ce qu’elle voit sur son sol, qui n’a inscrit ce concept ni dans son histoire, ni dans sa constitution, ni même dans les fondements directes de la société dans laquelle elle pris racine. Il ne s’agit pas d’une censure, mais de l’affirmation d’un pays à vouloir souligner son existence envers et contre tout. ET CETTE DEMARCHE EST LA COLONNE VERTEBRALE d’un pays dont on tient fermement les rennes. BRAVO.