Le chef du Hamas Khaled Meshaal a une fois de plus démontré les capacités arabes palestiniennes à jouer avec les mots et à tromper le monde. Dans une interview accordée à plusieurs médias indiens, Khaled Meshaal a voulu se présenter ainsi que le Hamas de manière très positive. Il a regretté l’image véhiculée dans le monde à propos du Hamas par la « propagande sioniste ». « Nous sommes une organisation politique et non terroriste comme l’est Daech par exemple et nous n’avons jamais perpétré des attentats de masse », a-t-il dit sans rire. Ce qui ne l’a pas empêché de remercier dans la foulée l’Iran et le Hezbollah, tout aussi pacifiques eux-aussi, pour l’aide qu’ils fournissent au Hamas. Dès lors qu’il s’agit de combattre Israël, il n’y plus ni Sunnites ni Chiites.
Meshaal a également justifié « la résistance légitime du peuple palestinien contre l’occupation, tout comme les Français l’ont fait contre les nazis ou Nelson Mandela contre le régime d’apartheid »!!
Mais le « clou » des interviews fut lorsqu’il a évoqué la solution au conflit israélo-palestinien: « Le Hamas estime que le peuple palestinien a le droit à tout le territoire de la Palestine et refuse l’occupation. Nos pères et les ancêtres de nos pères habitaient ce pays (sic). Mais le Hamas aspire aussi à un front palestinien uni. C’est pour cela que nous avons accepté l’Initiative arabe qui se base sur les frontières d’avant le 4 juin 1967 avec la partie orientale de Jérusalem comme capitale, en même temps que le droit au retour pour les Palestiniens chassés par les différents gouvernements israéliens ».
De nombreux médias internationaux mais aussi en Israël ont immédiatement sauté les pieds joint dans le piège, tout comme ils l’avaient fait pour le fameux « c’est caduc » de Yasser Arafat en 1989 lorsqu’il parlait de l’annulation de certains articles de Charte de l’OLP…qui ne l’ont jamais été. Le site israélien Maariv titrait par exemple: « Meshaal: ‘Nous sommes prêts à reconnaître Israël et accepter un accord sur les lignes d’avant 1967 ». On débouchait presque le champagne.
Khaled Meshaal avait juste oublié de préciser quatre malheureux mots presque insignifiants: « Dans un premier temps… ».
©Par Shraga Blum pour Europe-Israel.org
ce qui me fait chier est que des millions de personne s’abreuve de ses paroles comme du miel même si son discours est contradictoire et mensonger…..
il véhicule la haine en ce disant pacifiste