Le centre d’animation d’une maison de quartier de Reims a adressé aux parents une lettre, les invitant à ne pas mettre de jupe à leurs filles afin d’éviter les « comportements déplacés » des garçons. Après la plainte d’une maman et plusieurs jours de vive polémique, la direction reconnaît « une erreur » et s’excuse.
Tout a commencé avec une lettre, adressée aux parents par le centre d’animation d’une maison de quartier de Reims, fréquentée par des enfants de 4 à 11 ans.
« Nous vous demandons de mettre soit des shorts, pantalons, ou de mettre un short sous la jupe de votre fille », peut-on lire dans ce mot signé de la direction du centre.
Deux raisons à ces conseils vestimentaires, tout d’abord « une meilleure mobilité pour les activités », le centre des Trois Piliers proposant en effet de nombreuses activités sportives. Ensuite, éviter « des situations complexes à gérer ».
« Sachez que nous avons des enfants de 10 à 12 ans qui peuvent avoir un comportement déplacé avec une petite fille dont la jupe se soulèverait », écrit la direction.
Publiée le 20 juillet sur Twitter par une maman en colère qui l’a découvert dans le sac de sa fille, la lettre a provoqué un tollé.
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Archive ouverte :
Noëlle Harmand. Le management au féminin : les femmes et le leadership. Business administration. 2013. http://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-00914558/document
Le leadership à l’épreuve des petites culottes ! J’entends Souchon, là :
« L’honneur des milices
Tu seras un homme, mon fils ».
Sous la jupe des filles (1993)
En résumé
* Un abus de pouvoir patent dans une note de service (derrière les discours convenus sur les discriminations sexuelles, les stéréotypes de genre, le plafond de verre… contre lesquels il conviendrait de lutter)
* Une démission (devant le moindre petit mâle de moins de douze ans qui se moque des filles). Vous avez-dit leadership au féminin ?
* Une communication de mauvaise foi (un malentendu mal interprété ou un mal écrit)
* Un leadership au féminin adepte d’un système préventif consistant à se débarrasser des difficultés à manager ses équipes – « Nous voulons juste éviter des situations complexes à gérer» – en forçant les parents à adopter le même comportement démissionnaire. Et devant la levée légitime de boucliers sur Twitter, la cerise sur le gâteau : « Il n’y a eu aucun geste déplacé entre les enfants, nous avons voulu anticiper. »
Anecdote à verser au Dictionnaire des idées reçues de Flaubert, rubrique « Leadership anticipé féminin » :
Nouvelle tartufferie au service d’un ordre moral égalitaire sans conflit genré. Que les petites filles cachent ces culottes que nous ne saurions voir !
Je n’ai pas souvenir d’avoir eu à subir pendant les vacances en colo tout ce blabla-bilan de fin de fin journée sur le respect, les jupes des filles qui se lèvent et autres débats de faussaire :
« Les animateurs ont expliqué aux enfants qu’ils ne devaient pas embêter les filles parce que leur jupe se soulevait avec le vent par exemple. C’est intéressant de pouvoir ouvrir le débat avec les enfants sur le regard qu’ils se portent entre eux. »
(propos de madame Noëlle Harmand cité par le Nouvel Obs)
« Intéressant », pour sûr on voit concrètement comment s’exprime sur le terrain l’intérêt de cette question ! Chapeau ! Dans le genre tordu, faussé, cynique, on ne fait pas mieux comme débat.
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De quoi ces gens-là se mêlent ?
Le débat sur les petites culottes avec les mômes entre dans la formation du BAFA (Brevet d’aptitude à la fonction d’animateur) maintenant ?
On aura vraiment tout entendu.
Vérification sur le site du Ministère concerné.
« La formation préparant à l’obtention de ce brevet a pour objectifs :
1° De préparer l’animateur à exercer les fonctions suivantes :
– assurer la sécurité physique et MORALE des mineurs et en particulier les sensibiliser, dans le cadre de la mise en œuvre d’un projet pédagogique, aux RISQUES LIES, selon les circonstances aux conduites addictives ou AUX COMPORTEMENTS, notamment ceux LIES A LA SEXUALITE. »
(c’est moi qui souligne en majuscules)
Extrait du point « 2° D’accompagner l’animateur vers le développement d’aptitudes lui permettant :
– de veiller notamment à PREVENIR toute forme de discrimination. »
Voilà comment on en arrive à mener des débats PREVENTIFS avec les enfants sur les risques pour les filles de laisser voir leur culotte aux garçons à 4 ans, au lieu de former les animateurs à réagir face à un problème de cette nature quand il se pose au cours d’une activité x ou y entre tel ou tel enfant.
On se paye vraiment de la tête des gens.
Ils vont finir de nous mettre tous au turban, keffieh, la djellaba et la burqa, les babouches, le chameau, et dans les mosquées » soi-disant pour nous protéger »
quoi …. le nouvelle uniforme des filles sera la burka….. excuser-moi d’être sarcastique mais si les parents auraient pas porter plainte alors cette directive serait appliquer
ne mettez pas tout sur le dos des islamistes, des amis sont élèves en professorat des écoles, ils me disent qu’il y a une hyper-sexualisation chez les enfants, en CM1 et CM2 ils parlent énormément de sexualité, font des rumeurs « le directeur se fait la secrétaire », certains passent même à l’acte. Et ce sont des français pures souches. C’est un phénomène de débauche qui touche cette génération
La seule jupe autorisé, elle descend aux pieds et monte jusqu’à la tête. La Burka… Voilà le futur de nos gosses, de nos filles, des mères…
@LC,
L’hyper-sexualisation chez les enfants, surtout dans les milieux très populaires, se manifeste surtout depuis l’arrivée d’Internet. Il n’y a plus de tabou du tout.
Mais la débauche s’exprime déjà par les insultes à caractère sexuel entre enfants autochtones et issus de l’immigration qui se fréquentent dans les mêmes écoles. La langue de la rue est dans leur bouche.
En principe se sont les parents, qui éduquent leurs enfants, et ces » éducateurs préventifs à l’extrêmes! », ne sont l’à que pour la sécurité et l’ordres!, » hyper sexualité ou non », ce n’est pas en les habillants en bonnes soeurs, que vous allez » réglés » le problème!
Encore une porte ouverte aux » tolérants » musulmans, grâce aux mollusques bien pensants!
Bah quand ils ont EPS la tenue pour les filles et les garçons est un jogging normal!ou bien un short de sport s’il fait chaud.
Après il est vrai que les garçons parfois s’amusent à soulever les jupes des filles pour voir ce qu’il y a en dessous,c’est du harcèlement sexuel.
C’est au parents d’éduquer leurs enfants au savoir vivre en société…
Je me demande comment ça va se passer avec les écossais ?
Pendant la révolution il y avait même des » sans culottes » ,
J’aurai aimé voir leurs têtes ( les muzz )