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Le diagnostic n’est pas établi par une poignée d’illuminés en mal de scénarios catastrophe mais par le patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Patrick Calvar. «Nous sommes au bord d’une guerre civile», a-t-il déclaré récemment aux députés de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats du 13 Novembre présidée par le député (LR) du Rhône Georges Fenech.
L’homme à la tête des services secrets ne faisait qu’enfoncer le clou. Quelques semaines plus tôt, il avait déjà averti les députés de la commission de la défense […]
D’où viendrait l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres, transformerait la France en territoire incontrôlé où des groupes prendraient les armes et se feraient justice eux-mêmes? Qui verrait une nation en décomposition où alterneraient violences et vengeances du camp d’en face. Où la spirale des affrontements ne s’arrêterait plus. Rien n’est à exclure dans un pays aussi éruptif que la France d’aujourd’hui.
Beaucoup pensent d’abord à un nouvel épisode de terrorisme islamiste où, cette fois, sa confiance dans les services d’élite émoussée, la population verserait dans l’autodéfense. Mais l’élément déclencheur peut aussi surgir d’une manifestation débordée par les casseurs, tel le triste saccage de la façade de l’hôpital Necker, d’une razzia de hooligans, d’une expédition punitive dans les banlieues ou pour prendre un exemple plus lointain, d’un viol collectif comme celui commis par des immigrés maghrébins à Cologne lors du Nouvel An…
Parmi toutes ces sources de dérapage, la plus redoutée reste l’attentat dirigé contre des enfants, la prise d’otages dans une école qui susciterait en retour un déferlement de violence. Le plus haut niveau sur l’échelle de l’insupportable… […]
Parmi les groupes extrémistes, le patron de la DGSI expliquait surveiller de très près «l’ultradroite». Cette mouvance aux multiples ramifications est très active sur les réseaux sociaux.
«Ils ont la volonté de mettre le feu, c’est certain, mais passeront-ils à l’acte?», interroge l’avocat Nicolas Lerègle, spécialisé dans les domaines de la sécurité et de l’intelligence économique. Plus généralement, tous les éléments sont réunis pour qu’un foyer éclate » […]
Face aux menaces, la volonté de quadriller au mieux le terrain est toujours présente. Ainsi, au sein de la Défense, plusieurs voix plaident pour que les soldats de «Sentinelle» ne se contentent pas de patrouiller dans les rues mais exercent une mission de «contrôle de zone». En d’autres termes qu’ils fassent aussi du renseignement.
Il est connu que dans les pays où l’autorité n’assume pas son rôle et devoir de justice, la confiance se désagrège et des entités clandestines se forment et agissent comme des « justiciers » autonomes (souvent des policiers ou militaires, d’ailleurs). Cela s’est vu en Espagne, dans des pays d’Amérique du sud et dans d’autres endroits encore.
Il est raisonnable de penser, selon cette analyse du passé, que ce risque existe aujourd’hui dans la mesure où les gouvernements européens ne sont ni capables de nommer la menace, ni capables de la traiter.
Les technologies évoluent vite mais l’humain lentement…
Quand, en 1941, Pierre Mendes France a été condamné arbitrairement, et en tant que Juif, à 6 ans de prison pour prétendue désertion dans l’affaire du Massilia, il s’est évadé, a rejoint l’Angleterre, et est revenu avec l’escadrille Lorraine de la RAF bombarder Roissy en France. En quittant sa cellule de prison, il avait laissé une lettre adressée au Maréchal Pétain, dans laquelle il précisait que quand on ne peut pas obtenir la Justice, la force devient la règle du jeu. Pour les Juifs, la vertu de Justice est une nécessité et tout gouvernement qui ne veut pas le comprendre n’a aucune légitimité. Pendant des décennies les gouvernements de la France ont pourri le pays par l’Injustice, alors pourquoi seraient-ils surpris par la guerre civile qui vient, et que, de toutes manières, ils recherchent?
Ce sont des militants et casseurs d’extrême-gauche qui mettent la France à sac ; ce sont des adeptes de la secte de Mohammed appelée islam qui assassinent des innocents à tour de bras,
et le, patron de la DGSI surveille particulièrement « ’l’ultradroite », au motif que cette mouvance aux multiples ramifications serait très active sur les réseaux sociaux ?
Quelle façon magistrale de renverser les responsabilités et les rôles !
Autrement dit, Françaises, Français, ne bougez pas d’un pouce, ne dites rien surtout, et bien sûr ne pensez pas une seconde à vous défendre contre tous ces criminels que nous avons bien l’intention de laisser accomplir leur sinistre besogne : vous exterminer.
La commission d’enquête parlementaire lui aura sûrement adressé ses félicitations !
Symptomatique de constater que d’après cette eminente personne le danger vient de » l’ultra droite » et non pas des islamo gauchistes ,des terroristes islamistes ,des racailles de banlieue,de l’ultra gauche ,bref de tous ceux qui veulent nous asservir avec la complicité des merdias et du pouvoir .,sauf à considérer que le danger est dans la résistance à la soumission. Avec ce genre d’individu à l la tête de la DGSE l’on se sent bien défendu.