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« Le grand secret de l’Islam. L’histoire cachée de l’islam révélée par la recherche historique » est un livre passionnant, gratuit à télécharger en PDF, écrit par Olaf avec l’aide de l’abbé Edouard-Marie Gallez qui démontre que l’Islam repose sur une profonde imposture historique.
Ce que l’on apprend dans ce livre c’est que « le texte coranique et la biographie islamique de Mahomet sont des fabrications progressives des siècles suivant la première conquête des Arabes de Syrie ». « L’islam est le fruit d’un processus très long et très complexe de réécriture de l’Histoire, s’enracinant dans une foi judéo-chrétienne déviante, rendue folle par des espérances messianiques ».
Finalement « cette religion nouvelle a toujours poursuivi les objectifs messianistes de ses fondateurs judéo nazaréens ».
A l’instar du communisme l’islam promet toujours que demain s’établira le vrai islam.
Préface par Hélios d’Alexandrie
Il y a deux façons de parler de l’islam, de ses origines, du coran, de Mahomet et de ses successeurs les califes: la première, la plus connue et la plus répandue, a été établie et sacralisée depuis des siècles, c’est l’histoire officielle de l’islam. Elle fait partie intégrante du dogme, et elle est tenue pour absolument véridique par les savants musulmans. Elle est adoptée telle quelle par de nombreux «islamologues» occidentaux, non à cause de sa conformité avec la vérité historique, mais parce qu’elle leur permet de partager un «terrain commun» avec les savants musulmans.
En effet, à quoi bon approfondir ses connaissances dans le champ de l’islam et courir le risque d’être mis à l’écart des cercles académiques musulmans? Trop de curiosité et trop de questionnements ne vont pas sans conséquences fâcheuses; c’est pourquoi l’islamologue occidental qui tient aux subventions que lui versent généreusement ses mécènes des pétromonarchies, et qui veut maintenir de bonnes relations avec ses vis-à-vis d’al Azhar ou de Qom, a intérêt à faire sienne l’injonction coranique: «Ne posez pas de questions sur des sujets, la connaissance desquels vous causera du tort» (sourate de la table, verset 101)
Ne pas poser de questions et faire preuve de «respect», telle est également l’attitude de la majorité des intellectuels occidentaux, des multiculturalistes, des féministes, des médias, des politiciens et des hommes d’Église. L’islam est interdit de critique, partant ce qu’il dit de lui-même ne doit pas être mis en doute publiquement; il y va de l’harmonie dans la société et des bonnes relations avec les pays islamiques. Dans les circonstances on peut imaginer les difficultés que doivent affronter ceux qui cherchent à faire le tri entre ce qui est fondé et ce qui est fabrication dans l’histoire officielle de l’islam. La crainte des représailles a créé ce qu’on pourrait appeler une islamologie des «catacombes». La mise en application des méthodes scientifiques en islamologie est désormais monopolisée par des «dissidents» discrets et peu médiatisés, mais dont les découvertes suscitent régulièrement l’ire des autorités religieuses et politiques du Maroc, d’Algérie, d’Arabie Saoudite et du Pakistan.
Ces dissidents ont choisi de sortir des sentiers battus. Les obscurités et les contradictions qui pullulent dans le coran, la non conformité de l’histoire officielle avec les données archéologiques et épigraphiques, les nombreux témoignages de contemporains qui racontent une tout autre histoire, les ont incités à soumettre à l’analyse scientifique les textes sacrés de l’islam, et à remonter loin dans le temps pour retrouver ses racines. Lentement mais sûrement les pièces du puzzle que l’histoire officielle de l’islam avait occultées ont été retrouvées, celles qu’elle a délibérément mutilées ont été restaurées. Les manipulations, les falsifications, les ajouts et les embellissements postérieurs aux faits et aux écrits originaux ont été écartés. Tout cela a permis à des chercheurs comme Patricia Crone, Christoph Luxenberg et Édouard-Marie Gallez de brosser un tableau fidèle du mouvement politico-religieux qui a donné naissance à l’islam.
Mais les chercheurs, forts de leurs découvertes, ne se sont pas limités à un portrait statique de l’islam des origines; son peu de ressemblance avec le portrait officiel soulève de nombreuses questions auxquelles ils se sont fait un devoir de répondre: Que s’est-il vraiment passé durant les trois cent ans au cours desquels le dogme a été lentement élaboré? Quel a été le vrai rôle de Mahomet dans la genèse de l’islam? Quel rôle ont joué les califes du septième et du huitième siècles? Pourquoi et comment la doctrine religieuse adoptée par les conquérants arabes a-t-elle évolué vers l’islam? Quelles sont les causes du schisme qui a donné lieu au chiisme, et pourquoi les arabes se sont-ils entredéchirés dans le siècle qui a suivi la mort de Mahomet?
Nous sommes à même de le constater l’histoire officielle recouvre l’histoire réelle d’un hijab qu’on ne peut ôter sans commettre un sacrilège. Mais il devient de plus en plus nécessaire, voire de plus en plus urgent de lever le voile sur ce qui s’est vraiment passé au Moyen-Orient, au septième siècle de notre ère. La montée en puissance de l’islamisme et sa prétention de soumettre le monde à l’islam, font courir un grave danger à l’humanité. C’est pourquoi il est important de déconstruire le mythe sur lequel il repose et dont il se nourrit sans cesse. Le temps est venu d’ôter le voile sur Le Grand Secret de l’Islam! Il s’agit d’informer le public, les musulmans autant que les non-musulmans, sur les véritables origines de l’islam, sur les sources du coran et sur la place réelle qu’occupe Mahomet dans l’histoire; le but étant de démythifier l’islam, de le montrer sous son vrai jour et de couper l’herbe sous les pieds des islamistes.
Mais raconter l’histoire réelle de l’islam consiste à rendre les découvertes des chercheurs accessibles au grand public, de faire en sorte que leur jargon technique ne soit pas un obstacle à la transmission des connaissances. S’acquitter de cette tâche à la fois colossale et difficile, exige beaucoup de travail, de minutie, d’humilité, d’amour et, l’expression est passée de mode, d’esprit de sacrifice. Olaf de Paris, à qui je tiens à rendre hommage, s’en est acquitté avec brio, les lecteurs de Poste de Veille pourront en juger.
A propos du livre
Il y a deux périodes dans l’histoire de l’étude de l’islam ; avant et après la thèse d’Edouard Marie Gallez « Le Messie et son prophète » publié aux Editions de PARIS en 2005 – 2010. Le livre d’Olaf nous permet de comprendre cette thèse et, sous une forme éminemment pédagogique et très structurée, de découvrir la positon intellectuelle du père Gallez et la révolution qu’il apporte.
On est surpris que le père Gallez soit encore en vie, car ce qu’il annonce c’est tout simplement que l’islam est une imposture historique fondée sur un livre, le Coran, réécrit après coup, pour justifier une conquête militaire. Ce livre n’est donc en rien révélé ; l’existence même de Mahomet n’est pas assurée non plus sur le plan historique.
Il est clair que si tous les musulmans de la terre étaient confrontés à la lecture de ce « grand secret de l’islam », soit ils se convertiraient, soit, ils entreraient dans une rage folle contre leurs imans pour leur avoir caché une telle vérité, soit enfin, ils chercheraient à tout prix à supprimer les coupables de tels attentats contre le « saint Coran » et son « beau modèle ».
Ce livre pourrait donc s’intituler l’islam, la contre révélation et il est vraiment de nature à libérer l’humanité de ce joug effrayant qui menace de la subvertir dans les décennies qui viennent. Nous sortons à peine du communisme et nous voilà confronté à un autre totalitarisme englobant, cependant que l’empire nuisible s’efforce de rallumer des guerres partout où il peut, en Europe de préférence.
Par exemple « on ne possède en effet aucun récit historique musulman contemporain des évènements ici racontés. La « sirha », la biographie du prophète qui fait référence, n’a été écrite qu’au 9ème siècle par Ibn Hicham, qui s’inspirait d’une biographie disparue, écrite par Ibn Ishaq un siècle plus tôt. »
La loi divine, la charia, a été rédigée dans sa forme quasi définitive, autour du Xème siècle.
L’essentiel du dogme musulman se répartit de la façon suivante : « un dieu unique, Allah créateur et maître absolu de toute chose de toute vie et de tout instant une révélation » ; « une révélation de la parole au premier croyant et premier prophète d’Allah, Abraham, qui exige des hommes qu’ils se soumettent entièrement à leur créateur selon la loi qu’Il leur impose ».
Les trois principaux prophètes Moise Jésus et Mahomet se sont adressés à certaines communautés ; le peuple juif à qui Moise a donné le livre saint de la Thora mais que les Juifs auraient falsifiés ; l’évangile révélation supérieure à la Thora, et qui annoncerait la venue de Mahomet, lui aussi falsifié car le Christ n’a pas été crucifié mais enlevé in extremis par ALLAH et gardé en réserve au ciel en vue de la fin des Temps ; enfin les Arabes à qui Allah donne la révélation qui clôt toutes les révélations ; les musulmans auraient gardé intact leurs écritures et observeraient les commandements d’Allah. Les musulmans ont pour mission de soumettre la terre entière à la loi d’Allah qui assure le bonheur en cette terre comme au ciel et commande de libérer le monde des infidèles qui sont une offense à Allah. L’attente de la fin des temps sera récompensée par le retour de Jésus messie pour les sunnites ou du 12èmé iman caché pour les chiites. Il est rigoureusement interdit de questionner cette implacable logique en islam.
L’objet du livre est justement de démonter cette belle suite logique et il y parvient à merveille.
Les auteurs sur lesquels s’appuie OLAF pour démonter l’islam sont : Robert M. Kerr qui raconte comment le Coran a été écrit en Syrie, Patricia Crone de l’université de Princeton qui étudie les païens décrits par le Coran, Manfred Kropp qui a donné un cycle de conférence sur les origines du Coran donné au collège de France en 2005, Guillaume Dye de l’Université Libre de Bruxelles qui a travaillé sur la théologie de la substitution du point de vue de l’islam ; enfin un documentaire de Tom Holland sur la BBC en aout 2012 ; cette poignée de chercheurs libres et courageux sont en train de libérer l’humanité d’un mythe destructeur de 1400 ans.
L’islam est en guerre perpétuelle contre le reste de l’humanité car « Dieu aime ceux qui vont jusqu’à tuer sur son chemin » s 61,4 ce qui est normal pour « la meilleure communauté que l’on ait fait surgir pour les hommes » s3,110.
Ce que l’on apprend dans ce livre c’est que « le texte coranique et la biographie islamique de Mahomet sont des fabrications progressives des siècles suivant la première conquête des Arabes de Syrie ». « L’islam est le fruit d’un processus très long et très complexe de réécriture de l’Histoire, s’enracinant dans une foi judéo-chrétienne déviante, rendue folle par des espérances messianiques ».
Finalement « cette religion nouvelle a toujours poursuivi les objectifs messianistes de ses fondateurs judéo nazaréens ».
A l’instar du communisme l’islam promet toujours que demain s’établira le vrai islam.
En attendant, plus d’un milliard de musulmans, des centaines de milliers de chrétiens génocidés et un état hébreu menacé régulièrement de destruction se demandent de façon plus ou moins consciente quand, comment et, surtout, qui les délivrera de cette figure non historique et ce livre de propagande politique qui se prend pour la parole de Dieu.
Le grand secret de l’islam d’Olaf répond de façon scientifique, rationnelle et pédagogique à cette question ; en lecture libre sur internet, il est urgent de se le procurer ou l’acheter et de le donner à lire à tous, à commencer par les chrétiens experts en « dialogue avec l’islam » et qui ignorent tout de ces nouvelles recherches, car nous sommes tous confrontés, de près ou de loin, à ce nouveau défi.
Ce qu’en dit l’auteur Olaf
J’ai créé ce petit site pour diffuser Le Grand Secret de l’Islam, un livre sur lequel je travaille depuis 2012.
Très intrigué par l’islam, j’ai cherché à le connaitre. Au fil de ma lecture du Coran, de la biographie de Mahomet (la sîra de Ibn Hichâm), de la découverte du discours islamique et de mes discussions avec des musulmans, je n’ai pu empêcher la montée d’un sentiment de malaise et d’incompréhension vis à vis de cette religion à mesure que j’en découvrais ce qui était pour moi des contradictions. Pour tâcher de les expliquer, j’ai voulu en apprendre davantage sur les origines historiques de l’islam.
C’est ainsi que j’ai découvert le travail du Père Edouard-Marie Gallez, docteur en théologie et histoire des religions, et que je l’ai rencontré. Sa thèse, intitulée Le Messie et son Prophète et nos échanges m’ont fait découvrir quantité de recherches historiques passionnantes. Comme tout le monde, j’avais appris l’histoire musulmane à l’école, l’histoire d’un prophète du désert qui a transformé le monde par la révélation du Coran. La lecture de la sîra avait déjà relativisé cette version douce d’un Mahomet prêcheur de paix. Mais ces recherches ont transformé ma vision de l’islam, en me révélant une tout autre histoire que celle que le discours ambiant veut faire croire : l’islam n’est pas le résultat d’une révélation divine – ou de la seule prédication de Mahomet – mais celui d’un processus très long et très complexe de réécriture de l’Histoire, s’enracinant dans les croyances juives et chrétiennes dévoyées qui avaient cours dans la Syrie de la fin du 6e siècle (ce que les chercheurs appellent “l’antiquité tardive”), processus manipulé par les premiers souverains musulmans pour satisfaire leurs visées de domination politique.
Cette découverte restait encore à ce jour quasi inconnue du public. La faute sans doute à la complexité du sujet et à son caractère très sensible qui l’ont confinée dans les cercles restreints de la recherche. Comment alors la rendre accessible au plus grand nombre ? C’est ce à quoi j’espère contribuer avec le Grand secret de l’islam, fruit d’un long travail personnel et de ma collaboration avec Edouard-Marie Gallez. Ce petit livre se présente en effet comme une mise en perspective historique et un développement des principaux résultats auxquels il a abouti, s’appuyant sur les travaux de l’impressionnante cohorte des chercheurs sur lesquels il se fonde.
Au monde de découvrir maintenant quel est le “grand secret” de l’islam.
Odon Lafontaine (Olaf) – septembre 2014
Post Scriptum :
Certains lecteurs se posent des questions au sujet de ma légitimité comme auteur ou de “l’autorité” du Grand Secret de l’Islam – et cela me semble bien normal.
Je suis blogueur, consultant et journaliste. Je ne suis pas universitaire ni chercheur, mais vulgarisateur, m’appuyant sur les travaux de vrais chercheurs, au premier chef desquels le Père Edouard-Marie Gallez, avec qui j’ai travaillé pendant 2 ans pour la rédaction du Grand Secret de l’Islam. Les sources exploitées dans ce livre y sont citées et vérifiables. Je propose également en téléchargment libre sur mon site une présentation des sources principales et de la bibliographie sélective au fondement des recherches exposées dans Grand Secret de l’Islam. Le lecteur exigeant se reportera aux deux volumes de la thèse du Père Edouard-Marie Gallez (Le Messie et son Prophète, 2005-2010, aux Editions de Paris) pour y trouver de nombreuses autres sources et témoignages qu’il aurait été trop fastidieux d’exposer dans l’ouvrage de vulgarisation qu’est le Grand Secret de l’Islam. On pourra aussi consulter le site du Père Gallez : http://www.lemessieetsonprophete.com où il actualise ses travaux. La thèse proposée par le Père Edouard-Marie Gallez et présentée dans Le Grand Secret de l’Islamn’a jamais été réfutée frontalement et rigoureusement depuis sa parution en 2005. Bien au contraire, les publications des chercheurs ne cessent de se succéder depuis, et convergent dans le sens des découvertes du Père Edouard-Marie Gallez, les affinant et les étayant. J’en ai cité certaines en annexe du Grand Secret de l’Islam.
Pour des raisons évidentes, je préfère conserver l’anonymat. Je n’en reste pas moins joignable par Facebook et email, et suis toujours ravi d’échanger avec mes lecteurs.
Pour télécharger le livre cliquez ici
INFINIMENT INTÉRESSANT. Un livre à mettre par milliards et de toute urgence entre toutes les mains. Le Coran n’est qu’un « Mein Kempf » du Moyen-âge au multiples auteurs qui a expurgé des populations entières de toutes dimensions artistiques, n’en conservant que les mollassons et les sanguinaires. Qu’il advienne au plus tôt à cette supercherie ce qui est advenu au communisme et au nazisme… et que les ex-musulmans dansent et chantent enfin en paix avec leurs femmes et les autres peuples de la Terre.
Ce n’est pas parce qu’on crie un mensonge à tue-tête qu’il devient une vérité.
Une façon utile d’éclairer les gens sur « les récits » de la genèse est d’enseigner / faire connaitre la religion sumérienne. L’essentiel y est déjà. Les récits de la genèse jusqu’au récit de l’arche « de Noé » sont l’oeuvre des sumériens.
Malcolm Ode
Et c’est sans faire mention du petit livre rouge de MAO, une autre doctrine qui a fait bien des victimes.
Des fous y en a partout et il pourrait bien en surgir d’autres.
Personne n’ignore que les arabes étaient encore polythéistes il y a peu de temps et que c’est cela la raison qui les pousse a s’évertuer (sévère tuer) a tenter de dissimuler cette réalité, qu’ils perpètrent les destructions de leurs anciennes idoles.(Palmyre…)
Comme ils sont idiots ils pensent que si on ne les voit plus c’est qu’elles n’auront jamais existé et ils pourront fabuler sur un nouveau mythe : celui qu’ils sont descendants d’Ismaël et que ce serait dès Abraham qu’ils seraient monothéiste.
Fumisterie ces musulmans et fumiers ces fidèles incultes.
Il est connu; qu’après le passage des armées de l’islam au Proche et Moyen Orient, ainsi qu’en Méditerranée, les chrétiens ont compris, ce qui veut dire « la religion de paix et d’amour » puis ils osent dire qu’ils ont amené la culture en Occident, comme si les grecs et les romains n’étaient pas instruits en médecine, littérature, poésie, architecture, botanique, philosophie, théâtre, des bains romains, etc. Et cela faisait 6 à 8 siècles que les Romain administraient l’Égypte, la Syrie, l’Afrique du Nord, l’Espagne, la Gaule, etc. Car les arabes sortis du désert de l’Arabie, qu’ils n’étaient pas passés par les grandes écoles.
Les musulmans ont eu toujours la jalousie et la haine des autres cultures, voir les Bouchas de Bamyam, Palmira, la synagogue de Jéricho, l’Hourva de Jérusalem, etc.
israel a decouvert ou savait deja la verite de l’authencite du sacre coran alors c’est evident qu’il faut y penser et comprendre bien le contenu….
L’islam c’est est l’épée de Satan, qu’elle soit portée par un cheval arabe, un dromadaire ou un takfiriste etc.
c’est un secret de Polichinelle! Déjà en son temps, saint Jean Damascène (contemporain de Mahomet) avait dénoncé l’Islam comme étant une hérésie du christianisme.
En, 1972, il y a 44 ans, Toufic Fahd dans la Naissance de l’Islam (Histoire des religions, encyclopédie de la Pléiade, tome 2, p. 659) l’écrivait sans aucune ambiguïté.
« Qu’est-ce que Mahomet pourraient devoir à ces chrétiens et juifs…
Il leur doit… le désir ardent de posséder un livre révélé … (mais sans) aboutir à annihiler la personnalité des Arabes, en l’annexant soit aux chrétiens… soit aux juifs que leur rôle économique et que leur complexe de peuple élu rendaient odieux à tous les arabes…
Il ne restait donc à Mahomet que de créer un monothéisme arabe sur la base des résultats acquis par la théologique biblique mais adapté aux aspirations de l’arabe qui ne saurait se soumettre aux innombrables prescriptions rituelles rabbiniques ni aux subtiles distinctions théologiques du christianisme… »
C’est clair est net. Il n’y a là aucune révélation divine mais une jalousie, posséder aussi un livre. La révélation de Mahomet est une intuition politique.
Dis: « ô vous les infidèles! (1) Je n’adore pas ce que vous adorez. (2) Et vous n’êtes pas adorateurs de ce que j’adore. (3) Je ne suis pas adorateur de ce que vous adorez. (4) Et vous n’êtes pas adorateurs de ce que j’adore. (5) A vous votre religion, et à moi ma religion ». (6)
Je suis fatigué d’écouter sans arrêt des conneries de cette secte criminelle .
Parcequ’ils ont des secrets maintenant ?
En tout cas secret ou pas on voit le résultat aujourd’hui :
une horde d’assassins assoiffée de sang qui ne pense qu’à dominer le monde n’ayant jamais rien construit ni créé quoique ce soit , voulant s’accaparer des richesse de l’Occident sans rien faire .
Quant à leurs secrets , ils se les mettent où je pense .
@Armand Maruani,
Le secret tient en une phrase, c’est la thèse sur laquelle a travaillée le vulgarisateur auteur du livre :
« l’islam est une imposture historique fondée sur un livre, le Coran, réécrit après coup, pour justifier une conquête militaire. »
Il me semble que cette thèse rejoint assez ce que vous pensez, sauf que vous n’éprouvez pas le besoin de développer l’argumentation en vous fondant sur les recoupements historiques des réécritures successives de leurs guides, experts en embrouilles.
🙂
Il est surtout question de la communication secrète et véridique que chacun doit entretenir avec Dieu
Il n’est pas question de s’attarder sur les choses et les animaux tels épées et chevaux