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Une personne a été tuée et trois autres blessées par un homme armé dans une gare de la région de Munich, dans le sud de l’Allemagne. L’agresseur a été arrêté. Selon les autorités le motif « islamiste » n’est pas certain…
Un homme armé d’un couteau a attaqué des passagers dans une gare de la région de Munich, dans le sud de l’Allemagne, tuant l’un d’entre eux et en blessant grièvement trois autres. L’agresseur a été arrêté. L’une des personnes blessées, âgée de 50 ans, est morte à l’hôpital. Parmi les autres victimes âgées de 43 à 58 ans, l’une d’elles souffre de graves blessures, a précisé le parquet.
L’attaque s’est déroulée dans une station du train de banlieue S-Bahn à Grafing, une petite ville au sud-ouest de Munich. L’auteur des faits, un Allemand de 27 ans, «a distribué des coups de couteau autour de lui», selon un porte-parole de la police de Haute Bavière, tandis que le parquet a souligné que l’agresseur n’était «pas originaire du lieu ou des environs». Selon des médias locaux citant des témoins, l’agresseur avait crié «Allah akbar» («Allah est grand»).
«Nous n’avons jusqu’ici pas d’indications concernant un motivation islamiste mais les investigations continuent. Chez cette personne, on a établi des problèmes psychiques et de drogues», a précisé Oliver Platzer, porte-parole du ministère bavarois de l’Intérieur.
Si le mobile islamiste se confirme, il s’agira de la troisième agression de ce genre en Allemagne depuis septembre. L’organisation État islamique avait appelé en août 2015 à commettre des agressions solitaires au couteau en Allemagne. Fin mars une adolescente de 15 ans, ressortissante germano-marocaine, a gravement blessé un policier dans la gare de Hanovre à l’occasion d’un contrôle de routine. En septembre, un Irakien de 41 ans, en liberté conditionnelle après avoir purgé une peine pour appartenance à une organisation «terroriste» et un projet d’attentat contre un Premier ministre irakien en 2004, a été tué par la police après avoir blessé une policière à Berlin. Là aussi, l’arme utilisée par l’agresseur, Rafik Youssef, était un couteau.
L’Allemagne n’a jusqu’à présent pas été touchée par une attaque djihadiste d’ampleur, contrairement à ses voisins français et belge, mais deux combattants germanophones revendiquant leur appartenance au groupe djihadiste État islamique en Syrie ont menacé le pays et la chancelière Angela Merkel en août 2015. Depuis les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, les autorités allemandes ont à maintes reprises indiqué que l’Allemagne était aussi une cible pour les djihadistes. Elles s’inquiètent en particulier des retours de Syrie et d’Irak de combattants formés aux armes et aguerris au combat. Selon le renseignement intérieur allemand, au total quelque 740 personnes ont quitté l’Allemagne pour rejoindre des groupes jihadistes comme l’Etat islamique (EI) ou le front Al-Nosra en Syrie ou en Irak. Un tiers sont rentrés et environ 120 d’entre eux auraient été tués.
(Avec agences)
le motif islamiste est pas certain ……SVP peuple Allemand réveillez-vous et ne faite pas confiance a la Merkel….regarder ce qui arrive en France et en Belgique
Il est impératif de remettre une garde nationale dans les pays dans chaque pays une garde nationale armée discrète prête à agir contre ces assassins qui tue des vie sans défense un certain parti politique en Belgique est prête à cela l’Europe est en train de se prostituer à l’islam elle la rejeter ses valeurs judéo-chrétiennes elle subira et elle subit les conséquences de son rejet quel malheur encore….
Ah, les emberlificotées journalistique…
On a parlé de cette histoire ce matin à la radio de Radio-Canada, en disant qu’il s’agissait d’une simple attaque au couteau qui s’était produite en Allemagne avec mort d’homme. Le comique de la chose (ben non, ce n’est pas drôle on sait bien mais…) c’est que la journaliste a fini par dire, et ça en a pris du temps, que l’attaquant avait lancé un cri en arabe (elle n’a pas précisé quels mots il avait dit), ensuite elle a dit que c’était probablement une personne avec un problème psychiatrique et puis, au bout d’un certain temps on a entendu de sa bouche le mot ‘’islamique’’ mais difficile de faire un lien avec le tueur.
En résumé, 56 détours pour rapporter des faits sans les attribués à leur auteur : un arabo musulman prétendument réfugié. Et c’est ça que Radio Can appelle de ‘’l’honnêteté intellectuelle’’. LOL
Sur fond d’images ensanglantées, on a eu eu droit aussi à la ritournelle des problèmes psychiatriques au JT, en dépit de la profession de foi djihadiste.