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Persuadée que sa fille n’aurait pas dû mourir à Saint-Denis le 18 novembre, la mère d’Hasna Aït Boulahcen veut à nouveau porter plainte.
La question d’une mère éplorée: «Pourquoi l’ont-ils tuée?» La mère d’Hasna Aït Boulahcen, tuée le 18 novembre dans l’assaut de la planque des terroristes des attentats de Paris à Saint-Denis, veut porter plainte pour meurtre et non-assistance à personne en danger. «Pourquoi ont-ils tué Hasna? Elle a crié « Au secours, au secours, laissez-moi sortir ». Pourquoi la police ne l’a-t-elle pas laissée sortir? Elle n’est pas une terroriste, elle n’a rien fait», a-t-elle expliqué à France 3. «Je veux la justice pour Hasna, c’est tout, parce qu’ils ont tué Hasna gratuitement».
En janvier dernier, elle avait déjà déposé plainte contre X auprès du juge antiterroriste Christophe Tessier. «Hasna Aït Boulahcen est morte à la suite d’un attentat terroriste comme les autres victimes du Bataclan. Elle n’est ni une terroriste, ni une complice. Elle a donc le statut de victime. Elle n’a jamais joué un rôle actif dans cette affaire, elle n’a jamais eu de contact avec la Syrie», avait alors déclaré l’avocat de la famille, Fabien Ndoumou. Mais cette plainte n’avait pas abouti, d’où le choix de se tourner vers le tribunal de Bobigny.
« Hasna elle était fragile, naïve », assure sa mère
Hasna Aït Boulahcen a eu un rôle crucial dans la cavale d’Abdelhamid Abaaoud, son cousin et membre des commandos meurtriers du 13 novembre. Avec de l’argent envoyé depuis la Belgique par des complices du Belgo-Marocain que tout le monde pensait en Syrie, elle lui a acheté des vêtements et trouvé la planque de Saint-Denis, où elle a trouvé la mort avec son cousin et Chakib Akrouh, qui s’est fait exploser à l’arrivée des policiers le 18 novembre. Comme Abdelhamid Abaaoud, il est soupçonné d’avoir appartenu au commando qui a frappé les terrasses de cafés et de restaurants parisiens. Le troisième membre de ce commando meurtrier était Brahim Abdeslam, qui s’est fait exploser à la terrasse d’un autre établissement, blessant une personne.
Un rôle que sa mère veut minimiser, assurant qu’Hasna Aït Boulahcen était une «victime» de son cousin terroriste: «Hasna elle était fragile, naïve, elle était perdue, la pauvre». Selon l’avocat de la famille, elle «était sous pression» d’Abdelhamid Abaaoud: «Il lui a dit: « Si tu ne viens pas, je vais tuer les membres de ta famille et les enfants de tes amis »».
Des menaces qui ne collent pas avec la description faite par Sonia, une amie de la jeune femme qui a mis les enquêteurs sur la trace d’Abdelhamid Abaaoud après l’avoir rencontré avec Hasna Aït Boulahcen: «Il avait un bob sur la tête, des baskets orange, un bombers… Pour moi, c’était un Roumain. En plus, il avait le sourire. Il ne ressemblait pas du tout à un terroriste», avait-elle décrit à RMC. Il s’était dit «fier» des attentats, en parlant «comme s’il racontait qu’il [était] parti faire les courses». Il avait même alors évoqué ses plans de commettre de nouveaux attentats à La Défense, visant le centre commercial, un commissariat et une crèche.
fragile et naive selon sa mère …… moi a sa place je ferait comme Saddam hussein …… je me cacherait dans un trou mort de honte
Oui Michel : » fragile et naïve » .
Elle me fait à penser au père de merd’ah qui avait lui aussi déposé plainte contre l’état pour » assassinat » .
A l’écouter son fils était un ange et une victime .
Ils ont tous pareils ces zozos dés qu’il s’agit de prendre du fric il n’ont aucune décence .
On touche là aux limites de la démocratie, limites que savent si bien exploiter les islamistes.
Les terroristes se baladent en toute liberté dans des secteurs où la charia est quasiment instaurée, et où la solidarité entre musulmans joue à plein, où règne l’omerta et la haine de la démocratie et de la France, et ces gens qui sont de facto des complices des assassins ont le droit de porter plainte au moindre ongle cassé. Forcément, on n’a pas de preuves contre eux, alors on les écoute, ces pauvres chérubins…
Sauf que qui ne dit mot consent, et tous ceux qui n’ont rien dit quand les Absalem et autres terroristes se baladaient en liberté parmi eux sont de facto les COMPLICES DE CES ASSASSINS.
De toute façon, si soit-disant cette jeune femme était innocente et retenue dans cet appartement contre son gré (difficile à croire quand même, mais on sait bien que les c… ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît), alors elle est la malheureuse victime collatérale d’une opération de police de première importance… à comparer aux dizaines de milliers de victimes civiles des bombardements alliés en 1944/45, en France. Terrible, mais bien souvent inévitable. On n’allait tout de même pas intenter une action contre les Alliés pour ça ? Ah mais zut j’oubliais, c’est ce qu’auraient voulu faire les Vichyssois, pour qui les Alliés n’étaient que des assassins.
Et de toute façon, il y a 99,99% de chances pour que cette jeune femme ait effectivement été la complice des terroristes visés par cette opération.
A un moment donné, il faudra remettre ces gens-là à leur place, on a d’autres chats à fouetter.
Aux commentateurs, total accord avec vous.
Toujours les mêmes !
Aucune honte. A sa place je me creuse un trou le plus profond possible et n’en sors plus jamais.
Une fois de plus, je constate ce que je m’obstine à dire : c’est dans les gènes et culturel.
Quand une mère donne une éducation à ses enfants, ceux-ci n’ont pas pour fréquentations des terroristes.
De plus, oser dire que sa fille est morte comme les autres victimes du Bataclan, est une insulte envers les familles et proches.
HONTE à elle!
MERCI au RAID.
Les déchets de la race humaine n’ont rien à faire sur terre.
http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaques-du-13-novembre-a-paris/attentats-a-paris-le-temoignage-d-un-voisin-d-hasna-ait-boulahcen_1185183.html
En CP, « elle a été arrachée par les services sociaux et la police nationale en plein cours, parce qu’elle a subi des maltraitances aggravées ». Il raconte qu’elle a été placée à la Ddass puis en famille d’accueil « car elle ne souhaitait pas retourner chez sa mère ».
Voilà pour la mère !
CA SENT L’OSEILLE A PLEIN NEZ…
@alauda
Oh là là quel parcours!
J’ai regardé la vidéo via votre lien, j’ai eu peur.
Elle aurait été capable de faire les mêmes horreurs que ces congénères.
Je renouvelle mes remerciements au RAID.
C’est vrai, quoi, la pauvre petite chérie à sa maman était comme tous ces terroristes: des victimes de notre civilisation judéo-chrétienne et du colonialisme et racisme des méchants blancs!!!
HALLUCINANT ! Dans quel monde vivons-nous. Vous allez voir que le Tribunal de Bobigny (93) va encore lui donner raison !
La mère de cette saleté djihadiste joue la comédie pour tirer du fric à l ‘ État. J’espère que cette pouffiasse n’obtiendra rien car les vraies victimes n’-auront aucun gain de cause contre ces politiques leche-babouches . Ce que mérite cette famille c’est l’expulsion.
D.MENDES,
Je ne sais combien cette femme a eu de gosses… Si sa gamine lui a été retirée en CP, on peut imaginer l’éducation qu’elle a donnée. Il faut se souvenir qu’il n’y encore pas si longtemps ce genre de femmes continuait à toucher les allocs alors qu’elles n’élevaient plus elles-mêmes leur progéniture. Il a été mis fin à ce scandale, si ma mémoire est bonne, lors du quinquennat précédent.
Comme conclut sergeb, si elle peut soutirer encore de l’argent à l’état, c’est-à-dire à nous, elle n’allait pas s’en priver.
J’ai entendu un jour, dans la rue avec une collègue, une gamine issue de l’immigration dire des Français qu’ils étaient les esclaves de son pays – je ne dirai pas lequel pour ne froisser personne : voilà, on y est.