toute l'information et l'actualité sur Israel, sur l'Europe, les news sur Israël et le Moyen Orient

.

30 mai 2016 : Israël mis au banc des accusés par la France et 20 autres pays


30 mai 2016 : Israël mis au banc des accusés par la France et 20 autres pays

Accusation : Occupation illégale de territoires

Plaignant :          L’Autorité palestinienne

Accusé :       L’État d’Israël

Verdict (connu avant le procès!)  Israël coupable!

Face au départ massif des Juifs, la France met tout en œuvre pour les retenir. Mais ses prises de position ouvertement anti-israéliennes vont à l’encontre de ses objectifs et ne font précipiter le départ des Juifs français.

En effet, le 15 avril dernier, la France réservait à Israël tout une surprise en votant pour une résolution, la Résolution 199 de l’UNESCO, destinée à islamiser le Mont du temple et le Mur occidental alors que trois grands pays de l’Union européenne, l’Allemagne, le Royaume Uni et les Pays Bas ont voté contre et que d’autres ont choisi de s’abstenir.

Aussi aberrante qu’elle soit, cette décision de l’UNESCO, dont le négationnisme n’est plus à prouver, n’a rien de surprenant. N’a-t-il pas décrété que le Caveau des patriarches et la Tombe de Rachel, deux lieux saints juifs en Israël, sont des sites musulmans de l’État palestinien ?

Mais comment ne pas être scandalisé quand la France participe à la falsification de l’Histoire? En votant pour cette résolution, le pays dit des Droits de l’Homme nie l’existence du Temple, donc de David et du Roi Salomon, mais aussi, par voie de conséquence, celle de Jésus puisque c’est dans ce Temple qu’il a toujours prié.

En fait, déjà en janvier dernier, la France a pris une décision qui, elle le savait, plairait aux Palestiniens mais provoquerait la colère du gouvernement israélien : la France s’est arrogé le droit de régler le conflit qui oppose depuis plus d’un demi-siècle les Palestiniens aux Israéliens en proclamant qu’elle veut la création d’un État palestinien.

Alors que malgré tous les efforts de l’administration Obama, les pourparlers de paix ont connu un échec, la violence ne cesse de croitre rendant par le fait même hypothétique toute reprise des négociations, la France décide d’agir dans ce dossier car, avait alors déclaré le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, « Nous constatons malheureusement que la colonisation continue ». La raison invoquée en dit long sur l’état d’esprit qui prévaut avant même l’ouverture des pourparlers de paix. Et d’ajouter « Nous ne devons pas laisser se déliter la solution des deux États. C’est notre responsabilité de membre permanent du Conseil de Sécurité et de puissance de paix ».

 Et le 29 janvier dernier, pour donner un État à son tendre ami Mahmoud Abbas, Laurent Fabius a décrété vouloir réunir dans un délai relativement court (il parlait alors de « dans les prochaines semaines ») les Américains,

les Européens et les Arabes pour une conférence internationale destinée à donner aux Palestiniens leur État.

Certes, en  2014, la communauté internationale s’était déjà lancée dans la reconnaissance symbolique d’un État palestinien. Cette fois, on vise une reconnaissance réelle.

Qui plus est, si cette « ultime tentative de solution négociée se heurte à un blocage, a déclaré  Laurent Fabius, nous devrons prendre nos responsabilités en reconnaissant l’État palestinien ».

Autrement dit, non seulement il présumait de l’échec des pourparlers, mais il annonçait la sanction que la France infligerait alors à  Israël, ce qui laisse entendre d’ores et déjà que si échec il y a, la faute incombe nécessairement à l’État juif. Jugement : Israël, coupable! Comment pourrait-il en être autrement?

Alors, puisque la France réussira immanquablement, avant même la tenue du procès et avant même que le tribunal n’ait entendu l’avocat de la défense, à obtenir du jury que l’accusé soit jugé coupable,  ni le plaignant ni l’accusé n’ont besoin de se présenter à la barre.

On nous dira que Fabius n’est plus ministre des Affaires étrangères, mais Jean- Marc Ayrault, qui lui a succédé à la tête du Quai d’Orsay, a choisi de suivre la voie que son prédécesseur a tracée. Seule différence par rapport à celui-ci : dans le cas d’un blocage, il n’est pas dit que la France reconnaitrait l’État palestinien  «Je ne veux pas miser sur un échec, dit-il. La France prendra ses responsabilités.» C’est-à-dire…?

Il  a donc annoncé l’ouverture le 30 mai d’un sommet international destiné à relancer ce processus moribond car, a-t-il dit, « On ne peut rester sans rien faire, il faut agir avant qu’il ne soit trop tard », ajoutant que « Entre 2002 et 2014, la colonisation israélienne a explosé : 14  600 personnes et 2  300 mises en chantier de plus tous les ans. Ces chiffres sont vécus difficilement sur le terrain».

Et cette situation, selon Jean-Marc Ayrault «alimente les tensions régionales et nourrit la propagande de Daech».

Un point de vue partagé par tous les États européens. En effet, peu de temps après avoir pris ses fonctions, le 7 novembre 2014, Federica Mogherini, la chef de la diplomatie européenne et Haute représentante de l’UE, avait déclaré, « Il faut un État palestinien, c’est l’objectif, et cette position est partagée par toute l’Union européenne ». Et elle jugeait que  le « le défi est de montrer que Jérusalem peut être partagée en paix et dans le respect ».

Donc, comme tous les pays européens sont des cibles de Daesh, le seul moyen de lutter contre le terrorisme, c’est de donner un État aux Palestiniens.

Ce « tribunal des conflits » sera présidé par la France et le jury sera composé des représentants de pays différents  ainsi que de l’ONU, tous gagnés d’avance à la cause déjà jugée juste du plaignant. En revanche, les parties – Israël et la « Palestine » seront absents. Toutefois, ils seront conviés plus tard à s’asseoir à la table des négociations.

En réalité, c’est essentiellement Israël qu’on veut tenir à l’écart car on le sait opposé à cette réunion. Et pour cause :

premièrement, Israël n’accepte pas que des pays étrangers s’immiscent dans le conflit qui l’oppose aux Palestiniens.

– deuxièmement, la France a annoncé que ces négociations se feront « sur la base de l’Initiative de paix arabe de 2002 », un plan qui avait été rejeté par les Israéliens.

Seule et maigre consolation pour Israël : cette démarche ne donnera pas lieu à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU parce qu’on sait d’ores et déjà que les États-Unis y mettront leur veto.

En quoi consiste donc cette « Initiative de paix » ? Il s’agit du Plan de paix saoudien présenté en mars 2002 en vue de la création d’un État palestinien

– sur l’ensemble des Territoires occupés incluant le Golan syrien et les territoires du Sud-Liban;

– avec Jérusalem-est pour capitale;

– et une solution viable pour les réfugiés palestiniens.

« Une solution viable », c’est-à-dire?  Il faut lire le texte  pour s’apercevoir que solution viable signifie conforme à la Résolution 194 de l’ONU (11 décembre 1948). Et cette Résolution, que dit-elle ? Elle stipule que le Droit au retour des réfugiés est un « droit inaliénable ».

Toutefois, consciente que les Palestiniens n’obtiendraient pas d’Israël le retour à la ligne de cessez-le-feu de 1948, la Ligue arabe avait proposé un amendement à l’ « Initiative de 2002 », qui n’exigerait pas le retour absolu aux lignes d’armistice. « Contrairement à la proposition d’origine qui ne parlait que des lignes de 1967 et de rien d’autre, ils (les pays arabes) ont déclaré hier qu’ils étaient prêts à accepter les frontières de 1967 avec des ajustements reflétant un accord mutuel sur des échanges de territoires ».

Mais Mahmoud Abbas, qui refuse toute concession, a déclaré n’être prêt à consentir que des « modifications mineures », et le négociateur palestinien, Mohammad Chtayyeh, a tenu à apporter une précision : « S’agissant d’échanges de territoires, nous avons dit clairement que nous voulions un État sur les lignes de 1967. Donc tout échange doit porter sur des territoires équivalents en taille et en qualité et résulter de négociations ».                     

Quant au Hamas, un joueur qu’on ne peut ignorer, inutile de dire qu’il a rejeté du revers de la main l’initiative de la Ligue arabe, et qu’il est toujours opposé au principe même d’échange de territoires.

De toute façon, ce plan est voué à l’échec car Israël, l’éternel empêcheur de tourner en rond, ne veut toujours pas consentir à se voir disparaître de la carte du monde! Mais cette fois, l’UE compte bien arriver à ses fins en brandissant la menace de la création unilatérale d’un État palestinien, même si elle ne le dit pas explicitement et qu’elle prétend, selon les dires de Jean-Marc Ayrault, vouloir expliquer aux Israéliens que « la colonisation est un processus dangereux et qu’elle met leur propre sécurité en péril ».

La colonisation ! Quelle colonisation ? Israël accusé de coloniser ses propres territoires !

Alors, le gouvernement israélien tente maintenant de négocier avec la France, sans grand succès d’ailleurs, l’annulation de cette conférence moyennant quoi il entreprendrait des négociations bilatérales et ce sans condition préalable.

Israël : État juif, condition sine qua non ?

« Israël, État juif » : c’était la condition sine qua non émise par Israël pour une reprise des négociations.

Une condition à laquelle, à plusieurs reprises, Netanyahou s’est dit prêt à renoncer.

 Pourtant, c’est le Premier ministre lui-même qui avait mis le doigt sur l’origine du conflit : «Le fait que les Palestiniens n’acceptent pas qu’Israël soit l’État-nation du peuple juif est à l’origine du conflit. Si nous en venons à un accord de paix, je veux être certain que le conflit ne perdurera pas — que les Palestiniens n’arriveront pas avec d’autres demandes».                          

Tant il est vrai que refuser de reconnaître le caractère juif d’Israël, c’est refuser de reconnaître l’existence d’un État pour les Juifs, donc c’est délégitimer Israël. Et Mahmoud Abbas le sait bien. D’où l’importance de cette condition.

Bien sûr, il se trouvera des Juifs pour proclamer avec J Call que, « Quand les Palestiniens réclament un État, ils reconnaissent de facto Israël puisque, en dessinant les frontières de la future Palestine, ils tracent celles d’Israël par la même occasion ».

Faux ! Leur refus de reconnaître en Israël un État juif est la preuve qu’ils ne veulent pas de deux États. La Palestine, pour les Arabes, correspond à la totalité du territoire israélien, et c’est la raison pour laquelle ils s’opposent à la reconnaissance d’Israël comme étant un État juif.

 « Si Netanyahou veut parler d’État juif, a déclaré Abbas lors d’une interview, c’est son problème. Nous ne le reconnaîtrons absolument pas parce qu’il implique que nous fermions la porte sur le retour des réfugiés palestiniens… »

Alors, la question est la suivante : Comment Israël pourra-t-il négocier avec un homme qui se refuse obstinément à reconnaître le caractère juif de l’État d’Israël sous prétexte que cette reconnaissance l’obligerait à renoncer au fameux « Droit au retour »? Autrement dit  à renoncer à l’éradication du peuple juif puisque le « Droit au retour » aurait inévitablement comme conséquence la disparition pure et simple de l’État juif. Et ce sans même que les Arabes aient à combattre!

Après tout, si la communauté internationale juge normale qu’Abbas veuille un État palestinien judenrein, il serait logique qu’Israël soit un État juif moslemrein. Or la demande d’Israël se limite à être reconnu comme un État juif.

Si le but de Netanyahou en renonçant à cette condition est de prouver la bonne foi des Israéliens, il nous semble bien que ce geste sera vu par Abbas comme un signe de faiblesse. Il ne faut jamais perdre de vue que chaque concession que fait Israël pour la paix est interprétée par ses ennemis comme une marque de faiblesse.

Maintenant, admettons qu’Israël, malgré ses réticences, soit contraint de se prêter au jeu de l’UE. Il est une question essentielle à laquelle il faut répondre avant toute chose : Avec qui négocier?

  1. Le Hamas ou le Fatah ?

Réponse logique : Avec le représentant du peuple palestinien

Donc : Hamas ou Fatah? Ou les deux?

La préférence de la communauté internationale va vers Abbas qu’elle considère comme le seul interlocuteur valable, « le militant pour la paix » dont elle juge raisonnables les demandes.

On prétend qu’elles sont réalistes, qu’elles sont à des années-lumière de celles du Hamas. Ce n’est vrai qu’en apparence : le Hamas a le mérite de jouer cartes sur table en exigeant «la totalité de la Palestine», contrairement au chef de l’AP qui tient deux discours antinomiques selon l’auditoire auquel il s’adresse, mais dont les demandes, au bout du compte, rejoignent celles du Hamas.

D’ailleurs, les cartes de la  « Palestine  » que publie l’AP vont du Jourdain à la  Méditerranée.

Par ailleurs, le choix de Mahmoud Abbas par l’UE pose un problème de taille : il n’est pas habilité à décider du sort des Palestiniens puisque 30% seulement des Palestiniens ont voté pour lui en 2006 (pas d’élections depuis!), tandis qu’ils sont 56% à avoir choisi le Hamas, issu des Frères musulmans. Alors,

(1) comment négocier en l’absence du vrai représentant des Palestiniens ? Comment négocier avec Abbas en sachant pertinemment que le Hamas, un joueur incontournable qui se refuse à reconnaître l’existence d’Israël et qui prône la lutte armée pour conquérir le tout Israël, ne reconnaîtra pas, cela va de soi, tout accord signé par le Fatah?

(2) Comment négocier avec un homme comme Abbas qui, le 15 mai 2013, rencontrait un personnage peu recommandable, recherché par le FBI, Ramadan Abdullah Shallah, secrétaire général du Jihad islamique, afin de discuter avec lui de la Palestine.

(3) Comment négocier avec Abbas quand on sait qu’il n’est disposé à aucune concession, qu’il ne renoncera à aucune des exigences des Palestiniens : « Nous voulons, avait-il dit en 2010, les frontières de 1967, Jérusalem pour capitale et les droits des réfugiés, conformément aux Résolutions des Nations Unies, notamment la Résolution 194. Notre droit à l’eau est aussi reconnu par la loi internationale. Pas un seul terme de nos documents n’a été modifié jusqu’à ce jour. Il ne l’a pas été et ne le sera pas».                                                                                                        

Ajoutons que ce «Pas un seul terme de nos documents n’a été modifié jusqu’à ce jour » est encore vrai aujourd’hui.

Conclusion  Dans ces conditions, comment envisager la paix? Vu les exigences non négociables de Abbas, toute négociation devient inutile.

C’est pourquoi l’UE envisage la reconnaissance unilatérale de l’État de Palestine avec pour « frontières » celles qui existaient avant 67, pour capitale Jérusalem-est et le retour en Israël des 5 millions de descendants des réfugiés.

Demander à Israël de signer l’ « Initiative de paix  arabe », c’est lui demander rien de moins que de signer son arrêt de mort. Est-ce le vœu non avoué, peut-être même inconscient, de l’Union européenne? Une hypothèse, hélas, qui n’est pas à exclure.

© Dora Marrache pour Europe-Israël

 







Avertissement de modération: Nous vous rappelons que vos commentaires sont soumis à notre charte et qu'il n'est pas permis de tenir de propos violents, discriminatoires ou diffamatoires. Tous les commentaires contraires à cette charte seront retirés et leurs auteurs risquent de voir leur compte clos. Merci d'avance pour votre compréhension.

Signalez un commentaire abusif en cliquant ici


Merci de nous signaler les commentaires qui vous semblent abusifs et qui contiendraient des propos:
  • * Antisémites
  • * Racistes
  • * Homophobes
  • * Injurieux
  • * Grossiers
  • * Diffamatoires envers une personne physique ou morale

  • 110 thoughts on “30 mai 2016 : Israël mis au banc des accusés par la France et 20 autres pays

    1. Christian

      pour Moshé,
      « Jérémie 12: 4 Jusques à quand le pays sera-t-il dans le deuil, Et l’herbe de tous les champs sera-t-elle desséchée ? À cause de la méchanceté des habitants, Les bêtes et les oiseaux périssent. Car ils disent : Il ne verra pas notre fin. –
      5 Si tu cours avec des piétons et qu’ils te fatiguent, Comment pourras-tu lutter avec des chevaux ? Et si tu ne te crois en sûreté que dans une contrée paisible, Que feras-tu sur les rives orgueilleuses du Jourdain ?
      6 Car tes frères eux-mêmes et la maison de ton père te trahissent, Ils crient eux-mêmes à pleine voix derrière toi. Ne les crois pas, quand ils te diront des paroles amicales. »

    2. Christian

      pour Moshé,
      « Psaume 117: 1 Louangez IHVH-Adonaï, toutes les nations; louez-le, toutes les patries.
      2 Oui, son chérissement prévaut sur nous, la vérité de IHVH-Adonaï en pérennité. Hallelou-Yah. »

      Moshé vous êtes un ignorant et un méchant, vous voulez garder YHWH pour vous seul mais il ne vous entend pas vous et tous les pharisiens. Savez vous lire? mais vous ne voyez pas! Entendez vous? mais vous êtes sourd!
      Vous n’êtes qu’ un perroquet qui répétez sans rien y comprendre les paroles menteuses de vos rabbins:
      « Jérémie 8: 8 Comment dites-vous : « Nous sommes sages, la tora de IHVH-Adonaï est avec nous »! Aussi, voici, il fait le mensonge, le stylet du mensonge des actuaires !
      9 Ils blêmissent, les sages, ils sont effarés et capturés. Voici, par la parole de IHVH-Adonaï ils sont rejetés; et quelle science en eux ! »

      Taisez vous, retournez dans votre chambre, dans la solitude et cherchez et vous trouverez peut être. A votre âge vous devriez pensez à votre avenir, les temps sont mauvais et vous qui mettez toute votre confiance dans les « supers » armes d’Israël vous êtes ridicule, parce que YHWH est bien loin de vous et si Israël existe encore ce n’est pas pour vous, mais c’est pour le grand nom de YHWH qui est profané dans votre pays franc maçon, regardez la cours suprême de Jérusalem, un temple dédié à lucifer, que des symboles occultes et vous voulez faire la leçon aux autres. Taisez vous, priez et jeûnez, humiliez vous devant YHWH: « Daniel 9: 3 Je donne mes faces vers Adonaï l’Elohîms pour demander prières et supplications, dans le jeûne, le sac, la cendre. », ce sera salutaire pour vous, le lachon hara est votre faiblesse.
      Même si ça m’est difficile, je prie pour vous et vous bénis, vous m’avez profondément blessé en me traitant de « saleté »!
      Shalom

    3. Christian

      à Moshé, (et à Mr De Lablatinière)
      vous m’insultez, me traitez de « saleté » et vous avez le culot de me dire ça suffit maintenant.
      Non Moshé vos écrits sont là et sont contraires à l’avertissement:

      « Avertissement de modération: Nous vous rappelons que vos commentaires sont soumis à notre charte et qu’il n’est pas permis de tenir de propos violents, discriminatoires ou diffamatoires. Tous les commentaires contraires à cette charte seront retirés et leurs auteurs risquent de voir leur compte clos. Merci d’avance pour votre compréhension.
      Signalez un commentaire abusif en cliquant ici

      Merci de nous signaler les commentaires qui vous semblent abusifs et qui contiendraient des propos:
      * Antisémites
      * Racistes
      * Homophobes
      * Injurieux
      * Grossiers
      * Diffamatoires envers une personne physique ou morale »

      Il semblerait que Monsieur de Lablatinière soit sélectif dans le tri des ordures, j’ai vu parfois des gens se faire virer avec publication de leur adresse IP, leur mail et leur localisation. Probablement qu’ils étaient en effraction par rapport à la charte ci dessus, et c’est très bien.
      Mais Moshé est – raciste, injurieux, grossier et diffamatoire- et il est toujours là tranquille à déverser son fiel pour flatter son égo de pseudo agent secret, je vous cite:
      « Christian fait du remplissage, afin uniquement de ne pas laisser mes commentaires et cette saleté tente de recouvrir la réalité ! »
      Ou est l’équité Monsieur de Lablatinière?
      Ne peut on rien dire à un juif et doit on tout accepter d’un juif.?
      Relisez les commentaires de ce monsieur Moshé, les écrits restent et vous pourrez agir en connaissance de cause!
      Moshé je ne vous prend pas en traite, je fais ce signalement devant vous, j’aurais pu le faire en passant par le contact sans que vous en ayez connaissance.
      Shalom

    4. Fred

      Tout faux, Asher Cohen, ni chrétien ni musulman et beaucoup plus proche d’Israël que vous ne le pensez. Vous sévissez sur d’autres sites qui ont eu tôt fait de vous museler. Alors, vous avez bien le droit de vous lâcher ici, continuez, c’en est presque divertissant.

    5. Fred

      @ Christian, j’admire votre sérénité. A noter que les plus virulents sur ce site sont souvent les plus ignorants de la religion qu’ils croient bien défendre, et parfois les plus ignares tout court, d’où leur véhémence incontrôlée. Peut-être vaut-il mieux les laisser répandre leur lashon hara sans nous en soucier. Leur langage les discrédite par avance, quand bien même ils auraient quelques bonnes intentions à partager, ce qui leur reste à démontrer

    6. משה

      Israël commence à se réveiller :

      Deux Genevoises racontent leur détention «choquante» !!

      Ces membres du Conseil œcuménique des Eglises devaient assister à une réunion sur le climat à Bethléem. A leur arrivée à l’aéroport de Tel-Aviv, elles ont été enfermées deux jours puis expulsées.

      « sur le climat » voilà comment les chrétiens travestissent leurs envoyés spéciaux pro-terroristes !!

      Il faut interdire les accès à tous ces militants chrétiens pro-terroristes financés par le vatican et son fric ale !

    7. alauda

      Non, non, pas du tout, Moshé par ses coups de gueule qui me forcent à chercher m’apprend des choses… Il n’a pas tort : si beaucoup de réformés entrent dans la composition du COE, il apparaît dans la liste des membres de vieilles branches catholiques (donc vaticanes) sur leur site.

    Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

    0 Shares
    • Facebook
    • Twitter
    • LinkedIn
    • More Networks
    Copy link
    Powered by Social Snap