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La Russie propose d’investir des milliards de dollars dans le développement des gisements de pétrole et de gaz off-shore israéliens.
Faut-il considérer cette offre comme une forme de «protectionisme» russe ? Le président russe Vladimir Poutine a proposé d’investir dans le développement du gaz naturel d’Israël.
Des sources diplomatiques ont rapporté mercredi que « Vladimir Poutine veut faire de la Russie le principal développeur de champs d’énergie en Méditerranée, et la première cible est Israël. »
Le mois dernier la Haute Cour de justice d’Israël a annulé une « clause de stabilité » qui aurait bloqué tous changements réglementaires pour les 10 prochaines années dans l’exploitation du gaz off-shore. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu l’avait promis au consortium, afin de garantir leur stabilité en contrepartie de leurs investissements massifs..
Cette décision de la Cour Suprême pourrait avoir tué l’accord signé avec le consortium. La Cour a donné au gouvernement un an pour fixer cette clause, mais cette décision ne contribue pas à apaiser les craintes des investisseurs.
De plus, le Liban a tenté de réclamer des champs de gaz naturel au nord d’Israël. L’ une des réserves est située au large de la côte de Nahariya, au sud des eaux territoriales du Liban.
Vladimir Poutine a promis l’influence russe afin de bloquer les attaques du Hezbollah sous influence iranienne contre tous les champs gaziers.
Selon la source diplomatique, Poutine envisage un investissement de 7 à 10 milliards de dollars pour développer les champs de gaz offshore israéliens.
Il y a quelques semaines, Poutine a indiqué qu’il envisageait de rencontrer Netanyahu dans un avenir proche, en précisant que la Russie et Israël ont « de nombreuses questions » à discuter.
Les médias israéliens ont rapporté cette semaine que Benjamin Netanyahu envisage de se rendre à Moscou le 21 Avril pour rencontrer Poutine .
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré aux médias mercredi qu’une telle visite est en effet à l’étude. « Nous ferons une déclaration pertinente en temps opportun » , a déclaré Peskov à l’agence TASS .
© Moshé Anielewicz pour Europe Israël News
Mieux vaut l’ours russe, intelligent, qui est européen, que la vipère américaine !
Un pas en avant de Poutine correspond à un pas en arrière du muzz Obama.
Voilà comment ce dernier a réduit l’Amérique à une puissance de second rang. C’est un désastre sur le plan de l’ordre mondial, expliquant le chaos régnant dans le monde. Quelle affaiblissement, quelle chute, quelle dégringolade d’une puissance hier maîtresse de l’univers et aujourd’hui calfeutrée dans un placard sinistre. Pauvre Amérique !
Et l’UE et les USA comptaient ruiner la Russie avec des embagos qui font plus mal aux européens qu’a la Russie.
hi
l antisemitisme russe n est pas a negligée poutine n est pas eternel
et les russe son ntoujour antisemite
par ailleurs , pourquoi ce retrouvée entre les main d une super piussance
autant rester les main libre
israel peut ce financer liu mmee , en s appiuyant sur ses reserve
par ailleurs les russe on voter pour que l irtan ait l arme nucleaire comme hussein obamla
et les russe on financer et livre des arme aux ennemi muzz
donc aux ennemi d israel et des juifs
les russe ne son pas nos amie …
nous devons le straiter pour ce qu ils sont des amie temporaire ,
ou des ennemi temporaire
mieux vaux ce mefié de tel amie
by
Israel has repeatedly thrown roadblocks in front of offshore gas development, despite its strategic advantages to the isolated country. If the Israeli government is incapable of allowing Israelis to freely develop their resources, then why not let the Russians come help?
Russia’s ulterior motives are fairly obvious: they are trying to draw Israel into the Russian camp. Israel is already a top destination for Russian vacationers, and Israeli sales of military technology to Russia is in the billions of dollars. In wake of the Turkish downing of a Russian bomber, the Russians are reevaluating Turkey as a trading partner, and they recently named Israel as a substitute supplier of agricultural produce. Obviously, the Israelis would be pleased to take market share away from the Turks who also greatly damaged their relationship with Israel following the disastrous Gaza flotilla.
It also can’t have escaped Russia’s notice that Obama these past 7 years has foolishly distanced the U.S. from Israel, has put space between the two erstwhile allies, and has stupidly empowered Israel’s most dangerous enemy.
Given the hundreds of thousands of Russian speakers in Israel, and in light of their excellent cooperation during the Russian air strikes in Syria, it’s only logical that Putin would see them as a « little Russia » on the Mediterranean that can emerge as a long term ally in Russia’s regional aspirations.
Je pense au final que les meilleurs allies d’Israel devraient etre tous les pays asiatiques non musulmans. Il est VITAL pour ce pays de tisser et accelerer son processus d’encrage a ces derniers, le dernier bastion occidental valide ayant ete coule par un afro-musulman americain, et les republicains n’ayant plus que des pieds nickles comme candidats a une eventuelle presidence…