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Dans un moment de recueillement il conviendrait de ne pas ajouter du bruit au bruit et de garder le silence. Mais comment y arriver quand on s’aperçoit qu’un texte d’une ambivalence qui fait peur soit publié dans La Libre Belgique. Ce texte, Comprendre, pour ne pas devenir fous, qui dégouline de tartuferie militante est signé Henri Goldman, rédacteur en chef de la revue Politiques.
Pour Henri Goldman, les morts de Charlie Hebdo, de l’Hyper Cacher et du Musée juif étaient-ils davantage « coupables » que ceux de Zaventem et de Maelbeek ?
Il ne le dit pas ainsi mais il ose écrire que les meurtres des premiers avaient « au moins une explication ». On aimerait savoir laquelle en des termes précis… Je suppose que ça ne pourra pas être autre chose que « parce qu’ils étaient (supposément) juifs » ou « parce qu’ils étaient (supposément) dessinateurs dans un journal qui… » Ah bon… En quoi « ils étaient juifs » ou « ils étaient dessinateurs » serait-il une meilleure explication que « ils étaient Belges » (ou même : ils passaient par Bruxelles -exactement comme ce policier qui passait devant les locaux de Charlie Hebdo) ?
Henri Goldman se perd dans des circonlocutions, mais c’est bien ça qu’il écrit :« Culpabilité insupportable, mais au moins il y avait une explication »… Fichtre! Faute d’être moralement justifiables voilà donc les assassinats de Paris et du Musée juif déclarés rationnellement explicables (ou plus exactement, rationnellement mieux explicables que les attentats de Bruxelles).
J’ai du mal à comprendre où Henri Goldman veut en venir quand il croit utile d’écrire qu’à Bruxelles, « certains de ces morts étaient eux-mêmes musulmans et, pourquoi pas, s’opposaient à la politique étrangère de leur pays ».
Ceux-là méritaient-ils moins de mourir que ceux qui ne partageaient pas les idées de M. Goldman ou avaient la malchance de ne pas savoir réciter la Chahada ? Je ne sais pas pourquoi, mais quand je lis ce genre de choses, j’y trouve des accents proches de ceux de Raymond Barre qui regrettait à l’époque que l’attentat de la rue Copernic ait aussi tué « des Français innocents ».
Et Henri Goldman de conclure en posant cette question « Comment les convaincre qu’on est de leur côté ? ». Cette conclusion (il s’agirait de choisir son côté) qui emprunte tout à la moralité d’un vieux western me laisse tout simplement pantois !
Dégueulasse !
Il a un nom juif ce mairdeux….. alors le prochain blesse ou tue pourrait etre un journaliste….
Ce mec est totalement déglingué de la tête ou c’est encore un converti à la secte islam .
Architecte de formation, puis essayiste. Auteur d’un livre sur le sionisme.
De 2003 à 2009, il fut coordinateur de l’Observatoire des migrations au Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme.
http://www.babelio.com/auteur/Henri-Goldman/208384
Le 14.11.2015, il faisait en parallèle entre les terrorismes gauchiste des années 70 et islamistes « Les Brigades rouges de l’islam » et se faisait remonter à juste titre les bretelles par ses lecteurs.
Il raisonne comme une peau de tambour crevée. Pas sûr que ses architectures, s’il en fait construire, tiennent debout.