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Les « Panama papers » révèlent l’ampleur de l’évasion fiscale des dirigeants et personnalités. Nombreux sont les dirigeants Arabes impliqués. En ce qui concerne les palestiniens le Vice-premier ministre Mohammad Mustafa ainsi que le fils du « président à vie » Abbas sont impliqués.
Mohammad Mustafa, Vice-Premier ministre palestinien et ministre de l’Economie nationale (2014-2015) ; vice-Premier ministre en charge des affaires économiques (2013-2014)
Mohammad Mustafa, président du fonds souverain palestinien (Palestine Investment Fund), est un proche ami du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas depuis la prise de pouvoir du Hamas dans la bande de Gaza en 2007. Ancien cadre supérieur de la Banque mondiale, M. Mustafa entre au gouvernement palestinien en 2013 en tant que vice-Premier ministre en charge des affaires économiques. Un an plus tard, il occupe deux fonctions (vice-Premier ministre et ministre de l’Economie nationale) jusqu’à sa démission en mars 2015. A cette époque, il est chargé de la reconstruction de Gaza après les 50 jours de guerre de l’été 2014. Le magazine Foreign Policy a dit de lui qu’il était « l’homme le plus important de l’économie palestinienne ».
Dans les données de Mossack Fonseca Un fonds d’investissement offshore transfère de l’argent des pays arabes vers la Palestine
M. Mustafa est administrateur de la société Arab Palestinian Investment (Holding) Company Ltd. (APIC Holding) depuis mars 2006. Créée dans les îles Vierges britanniques en 1994, APIC Holding est la maison mère de la société homonyme Arab Palestinian Investment Company (APIC), fondée la même année par des hommes d’affaires saoudiens et palestiniens afin d’acheminer « des fonds et investissements depuis le monde arabe vers la Palestine ». Un an avant de devenir administrateur d’APIC Holding, M. Mustafa était devenu PDG du fonds souverain palestinien (Palestine Investment Fund), l’un des nombreux actionnaires d’APIC Holding. En juillet 2013, les administrateurs d’APIC Holding ont changé son statut juridique pour celui de société ouverte à responsabilité limitée et, en mars 2014, APIC a fait son entrée à la bourse palestinienne.
Mohammad Mustafa a confirmé être, depuis 2006, membre du conseil d’administration d’Arab Palestinian Investment Co., une société cotée en bourse au sein de laquelle il représente la participation détenue par le fonds souverain palestinien. Il a démissionné de ses fonctions d’administrateur lors de son entrée au gouvernement palestinien, qu’il a quitté en 2015 avant d’y revenir en février 2016.
Tareq Abbas
Les documents divulgués par le cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca ont révélé l’existence d’un « club » palestinien dont les membres sont liés au monde politico-financier de l’Autorité palestinienne, a rapporté vendredi le journal israélien Haaretz
Les documents de Panama (Panama papers) indiquent également que Tareq Abbas, le fils du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, détenait des actions d’une valeur de près d’un million de dollars dans une entreprise associée à l’AP.
L’affaire remonte à septembre 1994, quand une société privée baptisée « Arab Palestinian Investment Company » (APIC) a été enregistrée dans les îles Vierges britanniques. Huit mois plus tard, le 24 mai 1995, une réunion de l’assemblée générale des actionnaires de ladite société se tenait à l’Hôtel Sheraton de Dubaï, rapporte Haaretz.
Le premier point à l’ordre du jour concernait l’acceptation de la démission d’un certain Sorour Khaldoun, directeur à l’époque de la société, fonction qu’il avait occupée seulement dans le but de la faire enregistrer. Il a ensuite été remplacé par un directeur permanent, Cheikh Omar Aggad, un homme d’affaires saoudien d’origine palestinienne.
Au cours de cette réunion, Aggad aurait « parlé des objectifs généraux de l’entreprise, de la situation économique dans le monde arabe et dans les territoires occupés, et des obstacles auxquels font face les investisseurs ». Il avait souligné que ceux-ci devaient encourager la création d’emplois, de sorte que l’économie palestinienne ne soit pas « victime de l’économie israélienne ».
Au cours des deux décennies qui ont suivi sa création, l’APIC a pris de l’ampleur pour devenir un « géant économique » de l’économie palestinienne. Elle a été active dans presque tous les domaines que ce soit ceux de l’alimentation, du matériel médical, des relations publiques, de l’automobile ou des centres commerciaux. Depuis 2014, elle est cotée à la bourse palestinienne. Le PDG en est Tarek Aggad, le fils de Cheikh Omar Aggad.
Depuis sa création en 1994, l’implication de l’Autorité palestinienne dans cette entreprise s’est également développée. L’AP ne détient pas directement des actions, mais le Fonds d’investissement palestinien (PIF), qui est lié au bureau d’Abbas, détient 18% des actions de l’entreprise tandis que Tarek Aggad en détient plus de 27%.
Par le passé, l’Autorité palestinienne possédait des parts dans l’APIC par l’intermédiaire de la société Palestinian Commercial Services Company (PCSC), fondée en 1994 pour répondre à la demande du marché palestinien du ciment.
Mais après que la communauté internationale a exigé que Yasser Arafat, le prédécesseur d’Abbas, introduise plus de transparence sur le patrimoine et les actifs de l’AP dans ses sociétés, le Fonds d’investissement palestinien a été créé en 2003, engendrant également le transfert des actions de l’AP vers le PIF.
Les liens entre l’APIC et l’AP ne sont pas seulement d’ordre financier mais aussi personnel. Selon les documents du cabinet d’avocats panaméen, en juin 2000 Mohammed Rashid a été nommé au conseil d’administration de la société.
Il était un proche confident d’Arafat et son directeur financier, occupant en parallèle la fonction de président du PIF. La cessation des fonctions de Rashid témoigne de la nature politique de sa nomination: il a quitté son poste à l’APIC, avec huit autres membres du conseil d’administration et des cadres supérieurs, le 15 décembre 2004 juste un mois après la mort d’Arafat.
Rashid a également été président du PIF, mais peu de temps après le décret d’Abbas visant à placer le fonds son contrôle au début de l’année 2006, Rashid a été remplacé par Mohammad Mustafa, le conseiller économique de l’actuel président de l’AP.
Deux mois plus tard, en mars 2006, Mustafa a également rejoint le conseil d’administration de l’APIC. Or, en 2012, un tribunal palestinien le condamnait pour avoir détourné des millions de dollars, dont des sommes importantes provenant du PIF.
En 2011, un nouveau membre a été ajouté au conseil d’administration de l’APIC: Tareq Abbas, le fils du président de l’AP. Alors que sa nomination est connue du public, les Panama Papers ont révélé que depuis juin 2013, il posséderait également une société dont les actions valent près de 982 000 dollars.
tout est une question de ADN …. chez les leaders muzz la corruption est une normalité comme dans l’ADN del’islam est associé a la violence
Mais que comptent-ils en faire de tout cet argent ?
Cette manie de vouloir toujours plus, serait-ce une addiction ?
A-t-on besoin de posséder une dizaine montres haut de gamme, Patek, Cartier, Anonimo, pour savoir l’heure ?
Quoique, avec une Anonimo c’est peut-être un gage de discrétion pour placer des fonds dans les Paradis Fiscaux ?
Dans tous les cas, l’heure du jugement dernier arrivera un jour. c’est réglé comme une horloge Suisse.
Il faut bien qu’ils planquent quelque part l’argent de la communauté européenne…
Ils montent le conflit Israélo-palestiniens en épingle, font de la propagande anti-israélienne dans le monde entier pour pouvoir récolter de l’argent à des fins d’enrichissement personnels…cqfd…!
Europe Isral est tellement bon que les cybe l’attaquent encore
Vous etes encore attqués par les cyber pirates arabes qui doiuvent avoir grand peur de ce site! En tous si j’arrive à aller jusqu’au bout je veux dire qu’ls peuvent planquer leurs sous où ils veulent on s’en tape l’oeuil. Cela vaut mieux qu’une bonne économie « palestinienne ».