Pour protester contre le démantèlement de la partie sud de la « Jungle » de Calais qui s’est poursuivi ce mercredi pour la troisième journée consécutive, huit migrants iraniens se sont cousus la bouche avec des aiguilles et du fil.
Ils ont brièvement défilé dans une allée du bidonville, la bouche partiellement cousue, ont constaté une vidéaste et un photographe de l’AFP. « We are humans » (« nous sommes humains ») ou encore « Where is your democracy? Where is our freedom? » (« Où est votre démocratie? Où est notre liberté? »), pouvait-on lire sur deux pancartes qu’ils brandissaient.
L’évacuation du plus grand bidonville de France avait repris peu après 8h30, les employés de la Sogéa, mandatée par l’État pour démanteler le camp, reprenant leur tâche, sous la protection d’une trentaine de véhicules et deux camions anti-émeutes venus sécuriser les travaux.
C’est le panneau qui m’a fait sourire : » Where is your democracy ? »
Effectivement il vaut mieux qu’il ferme sa gueule cet abruti .
Qu’il aille chez ses frères en Syrie , en Irak ou en Arabie saoudite il l’a trouvera sa démocratie .
Coudre la bouche est une pratique de réducteurs de têtes, contre un ennemi vaincu. Ce gars-là est peut-être son propre ennemi.
Qu’ils retournent en Iran, parait que, maintenant, y a la démocratie !
Cet abruti ne sait pas que le scotch en ruban existe !!
Vraiment , ce sont des barbares .
On ne veut pas de barbares en France , ni ailleurs sauf en Syrie .
s’il n’est pas heureux qu’il retourne chez lui , il est assez fort et jeune pour se battre contre l’ennemi de son pays , non ??
la France ne peut pas accueillir toutes les misères du monde , et les français ne sont pas des vaches à lait … les contribuables en ont marre de payer pour des parasites qui sont venu en France pour profiter des avantages sociaux …
Ben quoi, ils ont vidé leur asile psychiatrique c’est évident.
Faut-il être sans-desseins… Plus fou que ça, ça ne s’invente pas.
Des débiles mentaux, du gros n’importe quoi pour se faire prendre en pitié.
Qu’il aille se faire trancher la tête chez lui.