Petit tour d’horizon artistique du moment: Fatima 2015-2016, ne nous fait pas rêver…
La trame – Fatima, immigrée en France de première génération, est une femme-courage qui de petits en boulots en petits boulots se démène pour offrir à ses deux filles une vie meilleure. Son quotidien est émaillé par une violence sociale souvent insidieuse, celle de la bourgeoise qui l’emploie, le regard que lui renvoient les parents des camarades de ses filles, lui faisant ressentir le poids de la différence ou encore celle de la propriétaire qui refuse de louer son appartement à une femme voilée. En France depuis ces 15 dernières années n’est plus capable de faire du bon cinéma, comme à l’époque de Bertrand Blier, ‘ » les valseuses, ou Luc Besson » le grand bleu »
J’aurais bien proposé un même scénario. Mais plus ancré dans nos racines et dans l’histoire de France.
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Une famille Française, le grand-père mort à Verdun en 1916, la grand-mère veuve de guerre élevant seule ses 5 enfants.
Puis ses 2 garçons, le plus jeune mort à 21 ans en juin 1940 à Dunkerque, et l’autre, 28 ans mort à Bir Hakeim, en mai 1942.
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Puis une de leur cousine , Yvette, une femme courageuse de 45 ans vivant dans la France profonde des campagnes en 2015….et qui se bat tous les jours pour élever ses enfants blonds et le visage rose du bon air de nos campagnes.
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Mère de 4 enfants de 5 à 15 ans, veuve récente d’un mari agriculteur qui a sombré dans le désespoir pour ne pas pouvoir rembourser ses emprunts…
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Et qui a fini par se suicider en se pendant à la poutre de son étable après avoir été obligé de vendre tout son troupeau….avant l’arrivée de huissiers.
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Et bien croyez moi si vous le voulez… Je n’ai intéressé aucun producteur… ??!
Un an après Charlie-Hebdo et le super marché casher, 4 mois après le Bataclan, on connait maintenant la réponse institutionnelle du monde du cinéma bobo de gauche : « Tout va bien Madame la Marquise, fermons les yeux et continuons comme cela. »
Ce pays est de plus en plus tributaire d’une misère humaine qui se manifeste ici par une misère intellectuelle, où des fanfarons viennent épiloguer sur des moulins à vent dont tout le monde se fout. Kafka n’aurait pas fait mieux, pour le coté absurde.
La question étant, sans taper sur des sujets trop « sensibles », combien de temps le système français va-t-il parvenir à maintenir sa légitimité alors que tout s’écroule dans ce pays.
Le cinéma français dans toute sa splendeur, moins le film est tentant plus il a de chance d’être primé, cela sent l’air vicié d’un cinéma de bobo pour des bobos primés par des bobos, dont tout le monde se désintéresse finalement…sauf par contre vu le niveau des aides versées sur la base de nos impôts, à ce prix là, cela fait cher le navet, pour enrichir des pseudo acteurs qui sont surtout des spécialistes de la course de copinage au PS,, supprimons toutes ces aides, et nous aurons un cinéma de qualité qui donnera envie d’aller au cinéma. La cérémonie des « César » est devenue le royaume du politiquement correct, sans aucun intérêt pour le Français moyen qui , de toute façon va au cinéma pour se divertir, pas pour faire de la politique, ni de la philosophie et qui, par conséquent n’ira pas voir ce film…
Patricia Martin pour europe-israel.org
J’ai vu le film; franchement ca ne meritait pas le cesare !
Mais si, c’était le César de la collaboration avec le politiquement correct de cette société qui veut absolument justifier l’injustifiable, au risque de perdre ces repaires.
La femme musulmane dans toute sa splendeur !
Ciel ! Elle fait peur.
Bientôt le politiquement correct va voler définitivement en éclat. Je vous le garantis. Donald TRUMP ouvre la voie. D’autres vont suivre et parler vrai. FINI le temps des mafias infâmes, des collaborations antisémites, fini la terreur qui inflige à tout le monde sa tyrannie. Les criminels et les meurtriers vont avoir en face des anges exterminateurs. C’est Dieu qui les envoie. Ils sont imperturbables et ont le droit avec eux. Celui de la justice. On les appelle les guerriers de la lumière. Ce sont Ceux que Dieu prédit pour son jour de colère et qui délivreront le monde de la tyrannie monstrueuse et de l’hypocrisie ambiante. Ces guerriers viennent du monde entier. Ils sont pour le droit et la justice, ils aiment Dieu et Israël. Ils aiment la vie, la liberté et se battent pour la délivrance ultime. On les appelle les justes, les thérébinthes de la justice. Les rameaux de l’olivier et du chandelier sont là désormais parmi vous.
c’est la raison pour laquelle je ne vais plus au cinéma et ne regarde pas la télévision où les séries sont des exercices pédagogiques sur le vivre-ensemble. Depuis les préhistoriques, les hommes ont toujours vécus ensemble sans en parler ou s’interroger sur sa présence ou son absence. Si on parle du vivre ensemble, c’est que ce n’est pas si évident que, que ce n’est plus évident. Il y a donc un problème. Il a 20 ans et plus, on ne parlait pas du vivre ensemble. Que s’est-il passé depuis. Il faudrait poser la question à ceux qui sont à l’origine de cette rupture.
De même, on a cherché à nous culpabiliser en inventant le « nous et eux ». Mais, je constate que lorsqu’une femme porte un voile, c’est elle qui fait l’exclusion car par ce port ostentatoire elle marque bien le « nous et eux ». Je ne suis pas vous. Je suis moi…
On vivait bien. La vie est devenue chiante.