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Donald Trump : « Je pense que l’islam nous déteste. Il y a une sorte de haine immense là-bas »


Donald Trump : « Je pense que l’islam nous déteste. Il y a une sorte de haine immense là-bas »

Après bientôt six semaines de primaires, Donald Trump, toujours favori dans les sondages, continue de provoquer lorsqu’il est interrogé sur l’islam.

Les quatre derniers candidats en lice aux primaires républicaines, dont le favori Donald Trump, étaient tous en Floride ce jeudi pour un nouveau débat, dernière occasion pour le sénateur local Marco Rubio de s’adresser à des millions de téléspectateurs avant le scrutin de mardi. Le milliardaire américain se dit comme chez lui dans cet État où il a trois golfs et plusieurs propriétés à son nom, et où les sondages le donnent favori. Le débat a lieu à l’université de Miami à partir de 20 h 30 (1 h 30 GMT), sur la chaîne CNN.

Donald Trump s’en est une nouvelle fois pris à l’islam dans une interview mercredi soir, après une question du journaliste vedette de la chaîne Anderson Cooper qui lui demandait s’il pensait que l’islam était en guerre contre l’Occident. « Je pense que l’islam nous hait. Il y a une sorte de haine immense là-bas. Il y a une immense haine. Nous devons aller au fond des choses. Il y a une haine incroyable contre nous », a répondu Donald Trump.

Islam ou islam radical ? a alors demandé le journaliste. « Radical, mais c’est très difficile à définir. Il est très difficile de les distinguer, car on ne sait pas qui est qui », a dit le candidat.

Après bientôt six semaines de primaires, Donald Trump, 69 ans, est en tête du nombre de délégués récoltés, avec 461 sur les 1 237 requis pour décrocher l’investiture à la convention de Cleveland en juillet, selon le décompte de CNN, devant le sénateur du Texas Ted Cruz (360), Marco Rubio (154) et le gouverneur de l’Ohio John Kasich (54). Le « super mardi » bis de mardi prochain verra cinq grands États voter : Floride, Ohio, Illinois, Missouri, Caroline du Nord, avec 358 délégués à la clé – dans les trois premiers, le vainqueur remportera la totalité des délégués, selon une règle autorisée par le parti républicain pour accélérer le couronnement du favori.

« Si je gagne les deux, c’est fini », a assuré Donald Trump à propos de l’Ohio et de la Floride, sur lesquels John Kasich et Marco Rubio parient leur survie. Le camp Rubio s’est vu forcé de démentir les rumeurs selon lesquelles le sénateur de Floride serait sur le point de jeter l’éponge, face aux mauvais sondages dans son propre État.

« Je n’abandonne pas, je vais me battre jusqu’au bout, nous allons gagner la Floride ! » a assuré Marco Rubio, exclusivement concentré sur son État cette semaine, sur Fox News. Mais, avec deux petites victoires à son actif sur 24, l’ex-star montante du parti a exprimé ses regrets de s’être attaqué à Donald Trump avec des moqueries dignes des cours d’école, sur l’apparence ou la taille des mains du milliardaire.

Du Tea Party à Trump

Les républicains anti-Trump investissent considérablement depuis la semaine dernière pour contenir la vague Trump, mais sans grand effet à ce jour. Malgré les attaques et l’aréopage de personnalités conservatrices qui l’ont désavoué, notamment Mitt Romney, l’homme d’affaires a remporté trois primaires sur quatre mardi, et les sondages sont au beau fixe en Floride et dans l’Illinois. Dans l’Ohio, il est au coude-à-coude avec John Kasich selon les quatre enquêtes réalisées en mars. Les publicités négatives ont envahi les écrans de télévision de Floride. L’organisation American Future Fund, indépendante des candidats, dit avoir déjà dépensé trois millions de dollars dans une campagne faisant témoigner des ex-étudiants de l’ancienne « université Trump », ces cours et séminaires qui valent aujourd’hui au candidat deux plaintes en nom collectif. « C’est l’histoire de toute ma vie, tous les gens qui m’attaquent ont échoué », a répondu Donald Trump sur CNN.

Le parti républicain se déchirait entre rejet, acceptation et résignation face à la perspective d’un candidat Trump à la présidentielle de novembre. Une exégèse du mouvement ayant conduit à sa montée en puissance a commencé, le populisme de l’homme d’affaires trouvant ses racines dans le rejet des élites au cœur de la mouvance du Tea Party, née au début du mandat de Barack Obama, en 2009 et 2010. Le chroniqueur conservateur du New York Times Ross Douthat a même suggéré que Trump était le fruit imprévu des excès progressistes de l’ère Obama.

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Journaliste québécois, pro-atlantiste, pro-israélien,pro-occidental



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  • 5 thoughts on “Donald Trump : « Je pense que l’islam nous déteste. Il y a une sorte de haine immense là-bas »

    1. michel boissonneault

      oui il est le favori chez les républicains mais pas pour le peuple en général …..
      l’infection gauchiste idiot utile gagne en proportion même chez les américains car je ne comprend pas pourquoi ses jeunes manifestent contre Trump car c’est vrai la menace est islamique est réel …. cette menace a aujourd’hui frapper la côte-d’ivoire et la Turquie …. cette menace est réel et il faudrait écouter le message au lieu de tirer sur le messager

    2. Pinhas

      Combien de ( sentinelles ) criant  »ATTENTION NOUS SOMMES EN GRAVE DANGER  » faudra-t’l .

      Combien d’attentats , de crimes odieux qui se déroulent sous nos yeux pour que nous comprenions que réellement on nous fait la guerre .

      On nous fait la guerre , une guerre hypocrite comme sont les muzz , c’est à dire ; pas sur un champ de bataille , non ! , pas face à des soldats armés , non !

      Une armées de barbus sectaires qui s’en prennent à des civils , qui s’en prennent à des humains qui ne souhaitaient que vivre en liberté .

      Alors oui , quitte à passer pour un salaud , IL FAUT SE DÉBARRASSER DES MUZZ , IL FAUT FERMER TOUTES LES MOSQUEES .

      Si ils veulent lever leur cul en l’air , qu’ils fassent cela dans leur maison .

      La situation est bien trop grave pour prendre des risques avec des bombes à retardement .

      TOLÉRANCE ZERO SINON NOUS SOMMES FOUTUS .

    3. Frank Giroux

      Trump a raison de penser que les arabo musulman nous déteste ça crève les yeux de voir combien ils nourrissent leur haine à la jalousie et à l’envie.

      Imaginez ce que ce sera quand les changements climatiques décimeront leurs populations. Ce n’est rien de dire qu’ils nous haïront nous qui avons tant d’eau potable, tant de terre arable – et eux qui ont asséché tous leurs cours d’eau qui ont tué et mangé tout ce qui bougeaient, qui ont transformé leur terre en désert…

      Dire qu’ils nous haïssent est un euphémisme.

    4. Frank Giroux

      En fait c’est vrai que l’on a l’impression en Amérique du Nord (= Canada, USA) que l’islam – nous déteste. Pour être précis, au Canada on voit bien que ce sont les États-Unis qui sont particulièrement visées pour différentes raisons dont leur intrusion dans la politique des pays du Moyen-Orient et, bien que nous soyons Canadiens nous sommes visés également par  »association » puisque nous sommes leurs voisins et alliés.

      À vrai dire, en général, les canadiens ne se sont jamais senti vraiment impliqués dans ces conflits jusqu’à ce que nous ayons eu des attentats en sol canadien contre nos soldats, ici à Québec puis à Ottawa. Nous n’avions jamais pensé jusque-là que nos citoyens pouvaient être contaminés par la rage, la folie et le délire dont sont atteints les arabo musulmans qui s’entretuent (on l’a toujours su) depuis l’an 600 après J.-C.

      Et de mémoire, ils n’ont jamais cessé d’être en guerre contre quelqu’un ou quelque chose. Mais ils étaient tellement loin de nous dans leur désert, et nous étions tellement indifférents, et surtout ils nous ennuyaient tous tellement profondément…

      Bref, nous avons soutenu militairement les américains en Afghanistan. Le gouvernement a investi des centaines de millier de dollars dans la formation afghane et avec de bonnes intentions a essayé d’apporter son soutien à la cause des femmes- filles de ce pays. Avec le résultat que l’on sait: une perte totale d’argent et de temps.

      Nos militaires sont rentrés ici et pour la plupart, totalement dégoûtés. Aujourd’hui encore il nous reste encore quelques centaines d’hommes sur place et des forces spéciales mais chacun comprend que c’est une perte sèche aussi.

      Depuis les meurtres de militaires canadiens en sol canadien, l’attention médiatique a été centrée sur le problème arabo musulman et contre toute attente, malgré ces meurtres gratuits, les Canadiens – les médias et le gouvernement – ont pris le parti des arabo musulmans qui eux, jouaient la carte du misérabilisme attendrissant – et ils ont été soutenu et encouragés par les gauchistes bien-pensants qui dominent ce monde médiatique et gouvernemental canadien. Ils nous ont plongés dans un marasme gluant, et dans une dette sans fond.

      Cependant une partie de la population (dont la Meute au Québec) ne partage pas cette idéologie du  »Tout le monde il est fin, tout le monde il est beau et la terre ne devrait pas avoir de frontière ». L’élite nous a qualifié de  »populiste ».

      Le populisme désigne un type de discours et de courants politiques qui fait appel aux intérêts du « peuple » (d’où son nom) et prône à son recours, tout particulièrement en opposant ses intérêts avec ceux de « l’élite  » mais, on sait bien que le terme, dans leur bouche, est régulièrement employé dans un sens péjoratif, synonyme de « démagogie ». Il faut bien constater que nos élites actuels, tout intelligent et brillant qu’ils se considèrent) ne comprennent absolument pas ce que le peuple veut.

      Nous ne sommes pas démagogues, nous sommes des pacifistes, mais comme dit l’adage : Qui veut la paix prépare la guerre.’’ Faut pas être si naïf quand tous vos voisins sont armés il est prudent de l’être aussi. Quand on voit l’Europe être envahi chaque jour un peu plus, quand on voit l’Europe impuissante à contrôler ses territoires, à protéger ses citoyens il est plus que normal que l’Amérique soit en alerte.

      Nous sommes des patriotes, nous voulons transmettre la terre défrichée par nos ancêtres à nos descendants, nous voulons conserver nos us et coutumes, notre foi en notre Dieu, notre tranquillité et nos valeurs.

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