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Jean-Marc Rouillan, ancien terroriste du groupe d’extrême-gauche Action directe aujourd’hui en liberté conditionnelle, a donné une interview dans laquelle il estime que les responsables des attentats de Paris « se sont battus courageusement ».
Jean-Marc Rouillan, cofondateur du groupe terroriste anarchiste Action directe, a lâché une nouvelle bombe verbale. En liberté conditionnelle depuis 2012, il a donné une interview le 23 février à une radio marseillaise, Radio Grenouille, reprise vendredi par un magazine satirique marseillais Le Ravi, dont Le Parisien dévoile des extraits dérangeants ce lundi.
Interrogé sur les terroristes des attentats de Paris en novembre 2015, il estime qu' »ils se sont battus courageusement dans les rues de Paris en sachant qu’il y avait près de 3000 flics autour d’eux ». « On peut dire plein de choses sur eux -qu’on est absolument contre les idées réactionnaires, que c’était idiot de faire ça- mais pas que ce sont des gamins lâches », déclare-t-il.
Selon Jean-Marc Rouillan, Daech se différencie d’Action directe par sa nature « très proche du capitalisme car c’est un mouvement basé sur le mortifère, le sacrifice, la mort ». Action Directe, organisation d’extrême-gauche, est notamment responsable de l’assassinat du PDG de Renault Georges Besse en 1986.
« Rien ne se fera sans la violence »
L’ancien militant et terroriste croit toujours que la société ne peut pas être changée sans violence. « Rien ne se fera sans la violence, mais la violence ne suffira pas. Il y a des milliers d’autres méthodes pour être révolutionnaire », ajoute-t-il, selon les propos cités par Le Parisien.
Jean-Marc Rouillan a été condamné en 1987 à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une peine de sûreté de 18 ans, notamment pour les assassinats de Georges Besse et de l’ingénieur général René Audran en 1985. Il a bénéficié d’un régime de semi-liberté en 2007,révoqué fin 2008 parce qu’il s’était exprimé sur les infractions qui l’ont conduit en prison dans une interview à L’Express.
Il a été remis en semi-liberté en 2011, mais reste interdit de séjour dans 38 départements, rappelle Libération, qui a également interviewé l’ancien détenu à l’occasion de la sortie d’un film dans lequel il campe son propre rôle. Au quotidien, il déclare attendre la révolution et confie assumer « la responsabilité de tout ce qui s’est passé et qui a amené ma condamnation ».
et aprés on se pose la question pourquoi il y a des djihadistes ???
c’est un TERRORISTE CET ENFOIRé !
OU EST LA PEINE DE PRISON POUR CET INFAME INDIVIDU !
IL MERITE LA DECHEANCE DE NATIONALITE
IL N’AIME PAS SON PAYS ET LES GENS QUI Y VIVENT
SALE TYPE !!!!!!!!!!!!!!
Qui se ressemble s’assemble , avec ses comparses il a abattu sans défense Georges Besse .
Ce genre de mec avec ses associés n’existent que dans le crime le plus vil se comportant ainsi comme des lâches .
Quelle vie de minable !
S’imaginant avoir changé la face du monde , ils sont perdus dans les poubelles du crime .
Aujourd’hui dans un dernier sursaut avant la mort et l’enfer qui le guettent il nous rappelle en son souvenir n’attirant encore que le dégout .
Qu’attend le juge de l’application des peines pour le coffrer pour apologie du terrorisme ?
Hallucinant !
Seul élément positif : il est interdit de séjour dans mon département.
comment exister quand on a rien à dire
on raconte n’importe quoi
pour avoir le sentiment d’exister
un pauvre type ………………