Le maire de l’île grecque de Kos a appelé dimanche le gouvernement à renoncer à y établir un centre d’enregistrement des migrants, que souhaite l’Union européenne, craignant des protestations violentes.
« Nous courons un réel danger d’avoir à pleurer des victimes et d’être entraînés dans des situations incontrôlables », a averti Yiorgos Kyritsis dans une lettre adressée au Premier ministre grec Alexis Tsipras rendue publique par l’agence de presse d’Etat ANA.
Trois habitants de l’île de Kos, située en mer Egée, tout près de la Turquie, ont été blessés cette semaine dans des échauffourées avec les forces de l’ordre près de l’endroit choisi pour ériger ce centre d’enregistrement, à la suite de quoi le gouvernement a envoyé des renforts de police.
Impact sur le tourisme
Qualifiant d’erreur cette décision d’Athènes, M. Kyritsis a exhorté « le Premier ministre à ordonner le retrait des unités de la police antimeute afin d’apaiser les tensions ».
Les syndicats de police ont de leur côté déploré que les policiers se soient retrouvés face à des habitants de l’île en colère armés de fusils de chasse et disposant de dynamite.
« Quatre de nos collègues ont jusqu’à présent été blessés », a d’ailleurs affirmé le syndicat POASY.
Soumis à la pression de l’UE, le gouvernement grec s’est engager à achever d’ici à la mi-février la mise en place de centres d’enregistrement des migrants à Kos et sur quatre autres îles pour améliorer le contrôle des flux migratoires aux frontières maritimes de la Grèce avec la Turquie voisine.
Les habitants de Lesbos, Leros, Samos et Chios ont accepté cette mesure, mais les autorités de Kos l’ont dès le début rejetée, disant redouter que la présence sur le long terme de migrants ne sape l’industrie du tourisme, la principale source de revenus de cette île.
Ne jamais oublier que les grecs même s’ils ont aujourd’hui de bonnes relations avec Israël ont toujours été des antisémites tout au long de leur histoire .
L’Europe paye pour son antisémitisme primaire. Elle se retrouve avec une horde non maitrisable de sauvages, qui viennent piller, violer, égorger, détruire… Quels cons, mais quels cons ces européens !!! Si la connerie existe, elle est Européenne, sans aucun doute. Le peuple va donc devoir s’armer, se défendre, car si il attend après le gouvernement et les forces armées, il peut toujours crever… Mais ce que je constate, c’est que l’invasion est programmée, planifiée, imposée par LES USA et L ONU qui souhaitent la destruction de l’Europe. Et ensuite, à la fin du génocide, venir en sauveur, tout comme en 1945. On change pas une équipe qui gagne, n’est ce pas ?
Armand maruani: Grossière erreur! Le problème des israéliens est une vue très souvent dichotomique figée: les bons, les méchants, sionistes ou antisémites, une vision nationaliste mais historiquement fausse d’une histoire commune et unifiés de tous les juifs, d’une seule communauté, avant même l’existence du « terme » juif et remontant aux hébreux. Le terme « sémite » étant lui même mal approprié, puisque terme regroupant les arabes, les juifs, les arméniens, les siciliens. N’avez vous pas souvenir des « gentils » à l’époque du 2e temple de Jérusalem? C’était des grecs, fascinés par la théologie judaïque, autorisés sur le parvis du temple, mais refusant la convertion qui impliquait la circoncision qui terrifiait les grecs. De même n’avez vous jamais entendu parler de la gnose, une évolution du judaïsme influencée par le mysticisme grec, et vis et versa, une philosophie attirant grecs et juifs unis dans une mutuelle estime admirative? Avez vous oublié que « le mur des lamantations », est un vestige du 2e temple construit par le grand Hérodote qui pourtant scandalisa les juifs « orthodoxes » de l’époque de part son architecture diablement grec? Et enfin, dois je vous rappeler que le christianisme primitif fut une « secte » juive, que même après la cruxifiction de Jésus, ses apôtres continuèrent à prêcher dans le temple, avec seulemnt l’interdiction de prêcher « au nom de Jésus ».(lire:http://cultureetreligions.free.fr/les_origines_juives_du_christian.htm). On peut dire de Jésus, bien que juif de Palestine(nom donné à la province administrée par les romains regroupant l’actuel Israël, la cis et trans Jordanie, une grande partie de la Syrie) était un « helléniste », c’est à dire, comme les gnostiques, sensible à la culture grecque, d’ailleurs ne rebaptise t-il pas ses disciples hébreus avec un nom grec(ex: Simon devient Pierre, ect…). Après sa mort, le christianisme a deux composantes: les hébraïques dont Pierre est le chef, des juifs de la diaspora, les hellenistes, dont Etienne qui est lapidé sous l’autorité de Paul, à la fois juif et citoyen romain, les hellénistes sont expulsés du temple en 35 – 37 après J.C, probablement donc peut de temps après la cruxifiction de Jésus, mais les hébraïques (dont Jacques, frère de Jésus) continueront à aller au temple jusqu’à sa destruction en 70, qui est aussi la fin de la communauté chrétienne primitive de Jérusalem. Paul, se convertira suite à une vision sur le chemin de Damas, en quittant Jérusalem où il avait dirigé la persécution, il deviendra le chef charismatique de l’église primitive, il innove en ouvrant la convertion aux païens non grecs de l’empire romain(donc pays méditerranéens). A ce moment là un désaccord l’opposera à Pierre car pour Paul « la circoncision de coeur » est plus importante que celle de la chair qui deviendra alors facultative, Pierre se rendant alors à ses raisons. On peut donc dire que c’est l’engouement de certains grecs pour le judaïsme qui prépara le terrain au christianisme. Les juifs persécutèrent donc les 1er chrétiens. Le problème avec le christianisme était qu’il s’adressa aussi à des citoyens romains et qui comme les juifs(mais qui eux en général n’étaient pas citoyens romains, Paul semble une exception) ne voulaient pas reconnaître comme Dieu, l’empereur et lui faire un sacrifice annuel, raison des persécutions contre les chrétiens, raison du rejet des judéo – chrétiens par les juifs de la diaspora, ne voulant pas être persécutés, qu’il y ait « amalgame » avec les chrétiens. Les juifs accusèrent aussi les chrétiens de « sacrifices d’enfants » à tort, idem, au moyen – âge, les juifs furent accusés de sacrifices d’enfants par les chrétiens. D’autre part, j’ai lu qu’une des raisons du rejet des esséniens(Judas, l’iscariote, un des 12 apôtres, celui qui tenait le budget du groupe, donc un essénien, fut celui qui aurait donné Jésus à la justice du temple) du temple était le rejet des prêtres mis en place par Hérodote, et l’existence dans le temple d’une statut de César avec l’inscription « fils de Dieu », ce qui pourrait expliquer que le sacrifice au temple de Jérusalem ait pu dispenser les juifs citoyens romains du sacrifice à l’empereur à Rome.(lu dans l’énigme Jésus de M. Baigent, éd cherche midi). Donc Jésus, bien que n’étant pas un juif de la Diaspora, mais qui cependant selon la légende chrétienne aurait été en Egypte où il aurait pu, lui et les siens subirent l’influence helleniste, était un juif hélleniste(inspiré par la culture grecque) qui fonda un mouvement hétéroclite , dans un 1er temps il succéda à son cousin Jean dit « le Baptiste » qui inaugura le baptême purificateur, un essénien, vivant en se nourrissant de miel et sauterelle, en compétition donc avec le Temple qui par le sacrifice animal s’arrogeait le droit exclusif de la purification, après la mort par décapitation de ce dernier sur ordre d’ Hérodote. Dans un 2e temps, sa communauté initiale composé uniquement de juifs orthodoxe, s’ouvrit à d’autres, femme cananéenne, samaritains, appuis même chez les romains(un chef de légion fait appel à lui pour guérir sa fille je crois, la femme de Ponce Pilate, gouverneur romain, plaide +++ en sa faveur, ce dernier ne le condamne qu’à contre coeur à la demande du grand prêtre, Jésus reste muet, ne se défend pas, il craint une émeute s’il ne le condamne pas. Et le christianisme primitisme , chez les grecs notamment, est une conséquence directe de l’influence culturel du judaïsme.