Le cas des Nazis
Dans l’esprit de 100% des gens d’aujourd’hui, l’intégralité des Nazis est directement connectée à la solution finale, au massacre des Juifs, des Tziganes, des Homosexuels et aux camps d’extermination.
Il ne viendrait à personne l’idée de parler de Nazis extrémistes dont les actes auraient donné une mauvaise opinion d’idées politiques au fond respectables. Tous les Nazis sont agglomérés au même titre dans le même bloc idéologique, tous sont partie-prenante et co-responsables de l’épouvantable crime.
Cette amie faisait pourtant remarquer, à juste titre, que la Solution Finale ne fut pleinement conceptualisée et mise en œuvre qu’au cours de l’année 1942, sans aucune publicité et dans un état policier qui empêchait la libre circulation des informations. Il n’y avait pas Facebook pour publier des vidéos de SS remplissant les camps de la mort, pas d’internet pour diffuser des photos des bourreaux nazis hilares en train d’exécuter leurs victimes.
Il est donc parfaitement vraisemblable qu’une bonne quantité de Nazis n’a tout simplement pas été au courant de ce qui se passait exactement dans les camps de concentration dédiés à l’extermination.
Cela n’en faisait évidemment pas des amoureux des Juifs ni des grands démocrates, mais cela suffit à rendre l’amalgame systématique Nazi = Holocauste abusif. Il est donc tout à fait possible que parmi ceux qui avaient rejoint le parti pour en retirer un avantage social ou professionnel par exemple, tous n’aient pas été des monstres.
Tout cela pour en arriver à la conclusion que chez les Nazis il y en avait qui n’ont jamais tué personne et qui, s’ils avaient pu avoir connaissance de la véritable noirceur de leur idéologie, l’auraient probablement abandonnée avec révulsion.
Ceux-là auraient pu être qualifiés de « modérés » ou de « repentis », tous les autres, ceux qui auraient pu contempler l’innommable et rester nazis auraient été, sans rédemption possible, des complices du crime, des co-responsables.
Le cas des Musulmans
Le cas des Musulmans est l’exact inverse de celui des Nazis. Bien que chaque Musulman fasse partie au même titre que le Taliban et le tueur de l’état islamique du même grand courant idéologique (l’islam), caractérisé par le même livre de référence (le Coran), le même exemple à suivre (Mahomet) et la même loi commune (la charia), nous sommes sommés de ne pas faire d’amalgames entre l’un et l’autre. Nous sommes sommés de ne pas faire d’amalgame entre les Musulmans et l’idéologie musulmane : les idées ne sont pas les gens.
A vrai dire, je suis d’accord avec cela. Je rappelle toujours dans mes conférences que la généralisation est toujours fausse, donc injuste, et qu’il ne faut pas confondre ce que pensent les gens et ce qu’ils sont. Les idéologies ne sont effectivement pas les personnes.
Là où l’exemple des Nazis m’a profondément fait réfléchir quand on le compare à celui des Musulmans actuels est la manière dont l’injonction au « Padamalgam » arrête l’usage de la pensée et a comme effet secondaire de nous interdire de questionner les Musulmans vivant dans nos sociétés à propos de leur adhésion à l’idéologie islamique.
De même, l’injonction au « Padamalgam » prétend nous forcer à automatiquement absoudre tout Musulman non violent de toute co-responsabilité, ne serait-ce que morale, au sujet des violences islamiques.
L’idéologie n’est pas l’homme, mais l’adhésion à celle-ci est un acte conscient qui engage la responsabilité individuelle.
Il ne s’agit évidemment pas de suggérer ici que tous les Musulmans sont des terroristes ou des partisans de l’Etat Islamique, ni même de dire qu’ils ont tué quelqu’un ou projettent de le faire dans un avenir quelconque. Il s’agit de se demander au nom de quoi nous devrions nous abstenir de demander à des gens qui sont sensés être nos concitoyens, de clarifier leur position au regard de leur adhésion à l’idéologie islamique. Adhésion idéologique qui est quand même le point commun et la constante historique, comment ne pas le remarquer, de tous les criminels de la planète qui tuent, violent et réduisent en esclavage au nom de l’islam.
Il s’agit également de se demander au nom de quoi nous devrions continuer à accepter sans sourciller des « ce n’est pas ça l’islam » qui insultent l’évidence et notre intelligence quand il est fait mention des crimes et comportements insupportables commis au nom de l’islam.
Les fausses excuses doivent cesser, les responsabilités doivent être endossées
Au nom de quoi devons-nous continuer à accepter de penser que les Musulmans ne connaissent pas l’islam ? Qu’ils ne peuvent pas connaitre son contenu ? Le contenu objectif et constant* de la doctrine islamique, des comportements qu’elle prescrit ou permet est-il inconnaissable?
Bien sûr que non ! Sinon qu’enseignerait-on dans les universités islamiques ? Comment les imams connaitraient-ils leur propre doctrine et pourraient-ils l’enseigner ?
La nature politique, violente et discriminatoire de la doctrine islamique est aujourd’hui un fait solidement établi. Ce qu’un constant travail de désinformation a tenté de nous présenter comme une « religion comme les autres » a fini par révéler sa véritable nature d’idéologie totalitaire à tous les observateurs objectifs.
La dimension « spirituelle » présente dans cette idéologie ne change rien à sa catégorisation, le nazisme et le communisme chinois avaient également des mystiques spécifiques, des livres, des chefs suprêmes et un projet de société pour l’Humanité entière.
Au nom de quoi devons-nous continuer à accepter de penser que les Musulmans vivant dans nos pays n’ont pas l’impérieux devoir, au vu de ce qu’il se passe dans le monde, se s’informer sur le contenu de leur idéologie et d’en tirer les conséquences sur le fait d’assumer ou pas ce contenu ?
Les Musulmans occidentaux d’aujourd’hui ne peuvent pas être comparés aux Allemands d’hier. Ils ont un libre accès aux crimes et horreurs islamiques, ils ont un libre accès au contenu de la doctrine islamique, aux ouvrages décrivant la charia, aux livres décrivant celui dont ils sont sensés tirer modèle. Ils ont la liberté, que n’avaient pas les Allemands prisonniers d’un état policier, de pouvoir rejeter sans risque l’adhésion à une doctrine qui détruit la liberté et la dignité humaine.
Ce serait avoir une vision bien condescendante et méprisante que de considérer que les Musulmans vivant en Occident sont incapables de s’informer et de faire un choix responsable. L’Occident offre aux Musulmans la formidable opportunité de pouvoir s’émanciper de l’idéologie islamique, de devenir des humains libres et respectueux des libertés d’autrui.
Qui peut prétendre dès lors qu’ils n’ont pas la possibilité de choisir leur destin et leur appartenance, et par conséquence d’endosser la responsabilité de leur choix ? Pourquoi continuons-nous à ménager leur supposée susceptibilité et à les traiter comme des irresponsables, des illettrés ou des enfants un peu attardés ?
Aujourd’hui nous partageons notre société avec des gens dont il est vital de savoir s’ils adhèrent ou non à une idéologie violente, discriminatoire et destructrice de notre mode de vie.
Au nom de quoi, vu les effets de la mise en pratique de cette idéologie, devrions-nous nous satisfaire d’un haussement d’épaule, d’une réponse ambigüe accompagnée de protestation contre une soi-disant stigmatisation ?
La question de l’adhésion ou non à l’idéologie islamique, à la charia, doit cesser d’être un non-dit de nos sociétés, car ce non-dit est le terreau du chaos et de la dislocation sociétale. On le voit déjà, en France aujourd’hui, des gens meurent à cause de cela.
Sortir du non-dit c’est faire un choix, et choisir c’est renoncer.
Soit renoncer à appartenir à ceux qui adhèrent à l’idéologie islamique, à la charia et son cortège inévitable de violences et d’oppression ; soit renoncer à faire partie des sociétés occidentales basées sur le respect des libertés d’autrui. Il ne peut pas y avoir de terrain médian, de position grise, nous ne pouvons plus l’accepter.
La préservation de la sécurité de nos sociétés nous donne le droit de poser aux Musulmans la question suivante : de quel côté de la charia êtes-vous, pour ou contre ? Et d’exiger une réponse.
Les Musulmans doivent répondre clairement, en parole et en actes, à cette question, par un rejet définitif de la charia avec toutes les conséquences que cela emporte, sous peine d’être considérés, à cause de leur choix idéologique, comme assumant la coresponsabilité des horreurs islamiques, et en conséquence, comme les Nazis de notre époque.
Alain Wagner
Toutes les idéologies totalitaires ont débuté avec une petite minorité fanatisée et déterminée, qui a fini par entraîner la majorité, soit par la force, soit par la propagande, les deux allant souvent de pair.
Hitler a ruminé Mein Kampf seul. Au début de son action politique, il n’avait qu’une poignée d’activistes qui le suivaient. Il a ensuite créé en parallèle les SA et la propagande. On connaît la suite.
Oui, il faut mettre la grande masse des musulmans devant leurs responsabilités. L’islam dit radical n’est que l’application la plus stricte du coran, apparu au premier tiers du VIIème siècle en Arabie. Si les musulmans ne se désolidarisent pas des versets haineux contre les juifs, les chrétiens, les incroyants, les polythéistes (tout le monde sauf eux!), ils sont complices. Mais peuvent-ils rejeter une grande partie de leur livre saint?
Le coran a été fixé définitivement aux IX/Xèmes siècles. Tous ceux qui ont tenté de le réformer depuis ont été victimes de fatwahs et supprimés…
Le maréchal Sissi a courageusement appelé à une réforme du coran à la mosquée Al Azhar du Caire. Il est peu probable qu’il soit écouté…
hi
bravoo mais….
1) l antisemitisme profondement encrée dans le psychisme , des occidentaux dans leur civlisation meme
la shoa a pu ce faire aussi grace aux 2000 ans de ghetto , pogrom … qui ce sont deroulée lors des 2000ans de persecution
sans ses 2000ans de perseccution la shao aurait eu bien plus de mal a ce mettre en place
un piont a ne pas oublié il y a 3 sorte de shoa dans la shoa
1)à celle des camp
2) des eisgroupen , camion a gaz , fose , ect fait par les nazie et les force des etat occupée
pius celle qui a etanet faite par les population autchone elle meme
synaguoge brulée avec des juifs dedans , viole , pillage , fose commune , charniere , pogrom fait sur les juifs par les population local elle meme
et cela n a etait possible que grace au 2000ans de perscution , aux 2000ans de pogrom de ghetto
or il ne faut pas oublier que 6 millions de juifs son morts dans les camp
mais 15 a 20 millions ont etaient exterminée en dehors des camps
et sans les population civiles locales , ce chiffre n auraient pas pu etre atteind
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par ailleurs hitler sais inspirée de l islamofaschisme
de meme que hitler sais inspirée des goulag russe , pour les camp nazie
de meme que des soldat muzz ds balkan et du moyen orient on participée a la shao a l est dans les force SS
que le mufti de merde a visité les camp d extermination nazie
et qu ils voulait faire la meme chose au juifs au moyen orient
la dezanification n a pas etait faite chez les muzz
by
by
oups
le principe de la takkya empechera d etre sur le la loyauté des muzz
mieux vos partir du principe qu ils ne seront jamais loyaux
et d agir en consequence
israel serait inspirée d en faire de meme
by
Sur le principe, il serait effectivement indispensable de mettre les musulmans de nos pays devant ce choix : rejeter la charia, ou alors quitter le pays.
Là où je me permets d’exprimer un petit désaccord, en tout cas un bémol, c’est sur cette affirmation :
« Ils ont la liberté, que n’avaient pas les Allemands prisonniers d’un état policier, de pouvoir rejeter sans risque l’adhésion à une doctrine qui détruit la liberté et la dignité humaine. »
Certes il n’y a pas en France, en Europe, un Etat policier (à l’inverse de l’Arabie saoudite par exemple) prêt à sanctionner immédiatement et avec la plus grande sévérité tout opposant, voire tout apostat de l’islam ;
mais comme l’a bien démontré (je ne me souviens plus qui sur le moment, désolé, ça me reviendra), ce rôle de « police politique » en islam a été délégué aux croyants eux-mêmes, de par les textes : coran, hadiths, et par la tradition. En effet, ce sont très souvent les proches, famille, amis… des apostats de l’islam qui exécutent la sentence de condamnation à mort des intéressés : on le voit très régulièrement encore de nos jours.
Donc quitter l’islam n’est pas sans danger, concrètement, même si ce danger est moindre dans nos pays occidentaux, où la loi permet l’apostasie, qu’en pays musulman – mais il existe quand même, et à défaut de mort physique, ce peuvent être des persécutions, le rejet, etc. donc une dissuasion qui reste forte.
En revanche, je crois qu’il faut que les musulmans qui ne portent pas la charia dans leur coeur, ceux qui sont devenus musulmans parce que leurs parents l’étaient mais n’ont jamais vraiment fait de démarches pour le devenir, et qui préfèrent les valeurs démocratiques (pour ne pas dire judéo-chrétiennes) de liberté de conscience, d’expression aux principes rétrogrades de l’islam ; je crois qu’il faudrait que ces musulmans profitent de ce qu’ils vivent dans des pays encore démocratiques pour franchir le pas, quitte à en souffrir. Sachant que plus les gens seront nombreux à faire la démarche, et moins ce sera difficile, puisque les « apostats » ne se sentiront plus seuls ; et un effet d’entraînement pourra apparaître, une sorte de cercle vertueux.
Dans ce cas, effectivement, une incitation sous forme de question posée à tous les musulmans par les autorités pourrait lancer la machine…
Mais je pense que pour pas mal de raisons, notamment l’aveuglement de nos élites, trop préoccupées par leurs objectifs électoraux et prompts à écouter les sirènes mensongères qui leur susurrent à longueur de journée que l’islam est une religion de paix, cela n’est pas près de se faire… hélas, car ce serait rendre service à tout le monde, et sans doute salutaire pour les pays occidentaux.