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Les « héros » israéliens vus par Radio-Canada. Chronique de Dora Marrache


Les « héros » israéliens vus par Radio-Canada. Chronique de Dora Marrache

« Celui qui ne fait rien pour défendre l’image d’Israël contribue nécessairement à la ternir » (Jürgen Bühler)

Qui n’a pas entendu dire que le « lobby juif » contrôle les médias?  Heureusement qu’il en est ainsi. Que serait-ce s’il ne les contrôlait pas?

En effet, nous Juifs, où que nous soyons, nous plaignons du manque d’impartialité des médias. Il nous est donné presque tous les jours de constater que les médias s’acharnent contre Israël, que grâce à eux le boycott fait de plus en plus d’adeptes, qu’Israël concentre sur lui toutes les frustrations de l’Humanité. L’antisémitisme a atteint un degré tel que les Juifs sont de plus en plus nombreux à quitter la France, le plus souvent pour élire domicile sur la terre de leurs ancêtres, dans le pays qui fut le leur avant que les Romains ne les en chassent et qu’ils ne soient dispersés à travers le monde.

Et les médias canadiens ne font pas exception à ce mal qui ronge les médias depuis la création de l’État juif, plus précisément depuis la Guerre des Six jours. Sans doute parce qu’elle a fait découvrir au monde une image du Juif autre que celle que les gens connaissaient, une image en rupture totale avec celle du Juif de la diaspora avant cette victoire de 67.

Ainsi, le 3 janvier, donc exactement une semaine après le tollé soulevé par la déclaration du Premier Ministre Trudeau le Jour de la commémoration de l’Holocauste, Radio-Canada choisit de diffuser, dans le cadre des « Grands reportages »,  un documentaire très contesté,  du réalisateur israélien Yoav Shamir. S’agit-il d’un choix délibéré?

Je le crois. Selon moi, le choix du réalisateur n’est pas fortuit. Bien au contraire. La position clairement antisioniste- donc antijuive, disons le mot- de la SRC n’est un secret pour personne. On ne compte plus le nombre de plaintes adressées à l’Ombudsman de la Société d’état par des membres de la  communauté juive et par le Centre consultatif des relations juives et israéliennes.

En ce qui me concerne, il y avait bien longtemps que je ne regardais plus les émissions de la SRC pour m’éviter d’être envahie par un sentiment de frustration, doublé d’un sentiment d’impuissance face au traitement de l’information concernant le conflit israélo-palestinien. Quand la critique est constructive, quand elle peut déboucher sur une amélioration, aussi minime soit-elle, elle a sa raison d’être. En revanche, quand nos plaintes restent lettre morte, l’indifférence me parait être la meilleure solution. Mais ce 3 février, j’ai été tentée de regarder le reportage proposé par RC.

Comme cette société est financée en partie à même les fonds publics, les citoyens ont leur mot à dire et peuvent exiger une information de qualité. Or, force est de constater que les Normes et pratiques journalistiques de Radio-Canada ne sont pas appliquées et que les journalistes fautifs ne sont presque jamais sanctionnés pour autant.

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En effet, dans les Normes et pratiques journalistiques de la radio, on peut lire, entre autres

1 – « La crédibilité dépend de qualités comme l’exactitude et l’impartialité du reportage et de la présentation »

FAUX ! Le reportage qui nous a été présenté est tout sauf impartial.

À moins que nous n’ayons pas, nous Juifs, avec notre fâcheuse tendance à la paranoïa,  une définition autre de l’impartialité.

Il semble bien que, pour la SRC, être impartial consiste à donner la parole à des Juifs, israéliens de préférence, qui diffusent de l’État juif une image des plus négatives qui soient.

Le synopsis du documentaire diffusé le 3 février, et qui se lisait comme suit, m’est apparu par la suite destiné à induire en erreur les téléspectateurs.

«  Comment définir un héros? Résister aux nazis ou sauver quelqu’un d’une mort certaine : autant d’actes héroïques qui forcent l’admiration, à commencer par celle du réalisateur Yoav Shamir. Le réalisateur part à la recherche d’une hypothétique « gêne » du héros.

Pour ma part, j’ai surtout retenu « Résister aux nazis »,  et j’en ai conclu – un peu trop vite, je vous le concède, – qu’on allait nous offrir un documentaire sur la Résistance.

Certes, on nous explique au début comment des héros ont pu résister aux nazis. Mais cette entrée en matière est de courte durée. Très vite, on découvre l’objectif du réalisateur : l’armée israélienne est inhumaine, ignoble et  réussir à s’en libérer n’est pas chose facile. On laisse entendre rapidement que l’équation dont raffolent les antijuifs, à savoir militaires israéliens = nazis,  est avérée. D’où le titre de « héros » qui sied bien à ceux qui ont réussi à s’extraire des griffes de cette armée.

Nous n’entrerons pas dans le détail de la narration de ce doc, dont le titre est « Des héros parmi nous » et dont le thème, l’héroïsme, est incarné par Yonatan Shapira, un ancien officier de l’armée de l’air israélienne, qui a  abandonné sa carrière, donc la défense de son pays, pour se joindre aux militants palestiniens et aux antisionistes de tout acabit.

Le réalisateur donne également la parole à un nommé Yehuda qui, après avoir combattu en Judée-Samarie, est devenu membre d’une ONG antisioniste « Breaking the silence ». Il rapporte dans le documentaire les témoignages de soldats de Tsahal sur les souffrances qu’ils ont fait subir aux Palestiniens.

Et l’admiration du réalisateur pour « son héros » Yonatan Shapira est telle qu’il le prend pour exemple et s’engage lui-même dans la Flottille pour Gaza.

Et dans la conclusion des scientifiques admettent à termes à peine voilés que le Mal est incarné par les forces armées israéliennes et le Bien, par les Juifs antisionistes.

La conclusion est on ne peut plus claire. Un héros – précisons un héros israélien- est celui qui est capable de dire NON à son pays, Non à son gouvernement, OUI  aux ennemis de sa patrie. Il est donc l’antonyme de « héros », il est un traître!

La partialité évidente de ce reportage me fait dire que les journalistes de RC ne sont pas crédibles.

2 – « Les ondes doivent échapper à la domination de tout individu ou de tout groupe dont l’influence dépend de leur situation particulière », peut-on lire dans les Normes journalistiques de RC. Pourtant, ce ne semble pas être le cas.

De toute évidence, les journalistes de la SRC semblent être antisionistes, à moins qu’ils ne soient manipulés par des antisionistes. Ce qui revient au même. J’en veux pour preuve le nombre de documentaires qui ont choqué la communauté juive, mais aussi le nombre d’interviews biaisées, le choix d’invités de préférence juifs, mais très critiques de l’État juif, comme Yacov Rabkin, par exemple.

D’ailleurs, il faut noter que  ce n’est pas la première fois que la SRC choisit de nous présenter un documentaire choc de Yoav Shamir, un réalisateur ouvertement antisioniste.

Il faut dire qu’il est considéré comme un des plus grands cinéastes, particulièrement au Québec où il a reçu en 2009 le prix « Caméra au poing » dans le cadre de la 12ème édition des Rencontres internationales du documentaire de Montréal.

Radio-Canada a contribué à nous le faire connaître en nous gratifiant de trois de ses films :

– « Checkpoint », produit en 2003, a reçu de nombreuses distinctions. On le comprend aisément : il raconte la vie des Palestiniens contraints d’attendre pendant des heures avant de pouvoir franchir les points de contrôle de Tsahal.

– « Diffamation » en 2010, un documentaire des plus polémiques qui a valu à son auteur l’admiration et la reconnaissance de tous les antijuifs. Et la célébrité à laquelle il aspirait tant!

Et pour cause! Il s’agit d’un film dans lequel Shamir soutient que l’État d’Israël exploite la Shoah à des fins politiques, qu’elle lui permet de présenter Israël comme une victime et, partant, de mettre un frein à toute opposition ou à toute critique de sa politique, entendons par là sa politique de colonisation. Ainsi la Shoah justifierait l’occupation et empêcherait les pays occidentaux de condamner de façon claire les agissements d’Israël.

À ses yeux, la Shoah nous rendrait prisonniers de notre passé et nous empêcherait d’aller de l’avant. La conclusion s’impose d’elle-même : il faut en finir avec la Shoah pour pouvoir avancer, il faut cesser en quelque sorte d’en parler aux jeunes. Qui plus est, toujours selon le cinéaste, c’est à cause de la Shoah que les Israéliens sont racistes !

« Des héros parmi nous », produit en 2013, fait l’éloge des soldats israéliens antisionistes. Ce dernier reportage est tout,  sauf impartial.

Mais Radio-Canada ne se contente pas de nous diffuser des reportages antisionistes. Je pourrais ajouter qu’il arrive, hélas, bien souvent, que les informations et/ou les reportages soient truffés d’erreurs factuelles : ainsi, dans le cas d’un lancement de roquettes, on commence toujours par les représailles israéliennes et, accessoirement, en fin d’article, on mentionne en deux mots, le bombardement de la veille qui a donné lieu à ces représailles. Je pourrais également souligner la langue de bois qu’utilisent les journalistes: les terroristes sont des militants ou des activistes ; les habitants de la Judée-Samarie sont des colons, les roquettes sont toujours de type artisanal, etc.

N’avons-nous pas là de multiples preuves d’un parti pris contre Israël?

3 – « Les ondes appartiennent à tous, et chaque citoyen a le droit de connaître les principaux points de vue sur toute question d’importance. »

FAUX Nous ne recevons de Radio-Canada qu’un seul point de vue, celui des antisionistes.

Si le doc de Yoav shamir se voulait impartial, il aurait dû nous rapporter la situation inverse, autrement dit celles de Juifs antisionistes qui, touchés par la perte d’êtres chers tués par des terroristes palestiniens, décident alors de s’enrôler dans l’armée. Car il en existe ! Comme de raison, les médias ne nous en parleront jamais.

Dans le reportage « Des héros parmi nous », la fonction de la narration est essentiellement argumentative : le réalisateur veut convaincre son destinataire qu’un nombre sans cesse croissant de soldats israéliens, en désaccord avec leur gouvernement, se tournent vers les ennemis de leur patrie.

Gloire non pas à ceux qui sont morts pour la patrie ou à ceux qui sont morts pour sauver des vies, mais Gloire à ceux qui désertent! Gloire à ceux qui tendent la main aux ennemis de leur peuple et qui leur apportent leur aide!

Le film pose des questions, en apparence tout à fait pertinentes, et le réalisateur, qui veut faire œuvre impartiale, tend en réalité à nous imposer son point de vue. Certains affirment qu’il ne prend aucun parti, qu’il nous fait entendre différents points de vue et que nous sommes libres de nous forger une opinion.

Faux ! La preuve, c’est que tous les judéophobes – antijuifs, antisionistes ou  antisémites, peu importe la terminologie- ont salué ce film, ont rendu hommage à son réalisateur.

Pas un site palestinien qui ne parle du réalisateur, pas une organisation pro-palestinienne qui ne le cite, on pourrait lui appliquer ce que disait en 2005 Rachi Boudjedra en parlant du cinéma israélien : « L’art israélien, lui, est dominé par des valeurs antisionistes, voire anticolonialistes, défend la paix et la tolérance et possède un certain complexe de culpabilité vis-à-vis du peuple palestinien. Fondamentalement, les artistes israéliens sont progressistes et humanistes».

Certes, on nous dira que la SRC n’est pas responsable de la partialité du réalisateur. Admettons, bien que ce soit très discutable.

Si la chaine se voulait impartiale, elle nous présenterait alors des documentaires sur l’autre définition du héros, la vraie, celle que nous connaissons tous. Car n’en déplaise à Radio-Canada, les héros ne manquent pas en Israël.

LES VRAIS HÉROS

Les actes d’héroïsme font partie du quotidien des Israéliens, les vrais héros en Israël, on en voit  tous les jours.  Ceux sont les soldats de Tsahal qui ont combattu dans les guerres contre Israël, qui tous les jours protègent les frontières du pays, et qui risquent leur vie pour protéger leurs concitoyens,  mais aussi pour venir en aide à tous les pays victimes de catastrophes naturelles. Un risque que ne courent pas les « héros » de Yoav Shamir.

Les vrais héros sont aussi des gens du peuple qui vont se porter au secours d’une personne en danger au risque d’y laisser leur vie.

Les héros, les héroïnes, ce sont tous les habitants des villes du Sud d’Israël soumis pendant des années aux bombardements de roquettes des Gazaouis. Ils ont résisté, ne se sont pas vengés sur les Palestiniens des souffrances que ces derniers leur faisaient endurer. S’ils avaient suivi l’exemple des « héros » de Shamir, ils auraient déserté les villes du Sud et les auraient abandonnées aux Palestiniens.

Les héros, ce sont ces médecins israéliens qui soignent des Palestiniens alors que, bien souvent,  ils ont perdu un être cher dans un attentat.

Les héros israéliens sont ceux qui font preuve d’un courage exceptionnel pour protéger Israël, pour que jamais les Juifs ne redeviennent des Juifs errants. Ils donnent de l’État juif une image vraie, authentique. Ils sont la « véritable muraille d’Israël », pour reprendre le titre d’un article de Jabotinsky.

Ces héros, dont les médias se gardent bien de souligner l’héroïsme, mériteraient la médaille de la bravoure, mais comment l’État juif pourrait-il rendre hommage à tous ces hommes et ces femmes qui n’hésitent pas, au péril de leur vie, à porter secours à ceux dont la vie est en danger?

La solidarité des Juifs, leur sens des responsabilités et surtout le sentiment que chacun est responsable de tous, c’est cela Israël.

Alors, à quand des reportages qui donnent d’Israël une image conforme à la réalité?  Jusqu’à maintenant, à en juger par le choix de ses reportages et de ses interviews, Radio-Canada se présente comme  un média très partial, un média antisioniste.

Conclusion

On a tendance à oublier qu’Israël est en guerre. Sans doute parce qu’il s’agit d’un état permanent qui a commencé le jour même de sa création et qui se poursuit ainsi depuis 68 ans.

Or qui dit guerre dit défense du territoire. Et qui dit défense du territoire dit courage. Sans cette qualité, les Juifs ne seraient plus de ce monde, Israël ne serait même pas né.

Imaginons un instant que tous les Israéliens emboitent le pas à tous ces Juifs antisionistes… Je ne donne pas cher de l’État d’Israël !

Il arrivera ce qui arriverait si tous les États de la coalition décidaient comme l’a fait Trudeau d’abandonner le navire. Heureusement, Netanyahou n’est pas Trudeau. Il veut la paix, certes, mais pas à n’importe quel prix.

Les exemples de Juifs traîtres ou de Juifs qui causent du tort à l’État juif sont, hélas, monnaie courante. Ces Juifs sont chéris des médias, mais ils sont pour l’État juif des terroristes  plus dangereux que les vrais terroristes, et ils représentent une réelle menace pour Israël, peut-être même plus grave que celle représentée par les Palestiniens. Ils profitent de leurs titres, de leur notoriété en Occident et des postes qu’ils occupent pour mener une guerre sans merci à leur propre pays, à leur propre peuple, à leurs propres enfants, parents, frères ou sœurs. Et ils fournissent aux antijuifs des armes supplémentaires pour délégitimer Israël.

Pourtant, leurs idées, pour scandaleuses qu’elles soient, ne font pas l’objet de condamnations, et le gouvernement israélien ne recourt ni à l’intimidation ni à des sanctions pour faire taire leurs auteurs.

Sans doute est-ce là le prix à payer pour la démocratie. Ce qui nous fait dire qu’Israël pourrait avoir pour devise cette phrase de Voltaire : « Je hais vos idées, mais je suis prêt à mourir pour que vous puissiez les exprimer ».

© Dora Marrache pour Europe-Israël

Chroniqueuse, Radio-Shalom (Montréal)







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  • 7 thoughts on “Les « héros » israéliens vus par Radio-Canada. Chronique de Dora Marrache

    1. michel boissonneault

      c’est malheureusement vrai ….la SRC qui a un budget fédéral de 1 milliard $ par année a un parti pris anti-Israel mais quand cela concerne les muzz alors l’éthique est pas au rendez-vous

    2. Eve

      La SRC est bien cramponné dans ses positions. Le pire est de savoir qu’elle fait croire tout ce qu’elle veut à la majorité. Lorsque j’entends la publicité pour le téléjournal de 22 h de Céline Galipeau (chef d’antenne SRC)sur la première chaine de la SRC, qui dit « pour comprendre les enjeux de ce monde et de ce que vous devez retenir de l’actualité ». Je deviens un petit contrariée. Ou celle ci , une publicité , parlant de la SRC à la SRC qui dit a peu près ceci « des idées qui bougent, des chocs d’idées ». On ne voit jamais ceci à Radio-Canada, ils en parlent, mais ne le font pas. On fini toujours par avoir les même 4-5 invités-« experts » qui ressortent leur même bouillie indigeste.

      Radio-Canada a les j…. dans le c… et il le montre très bien.
      Radio-Canada sort quelques fois son clown pathétique Dufort pour bien ridiculiser le juif auprès de la masse populaire, pour être sur que le message passe bien.J’ai arrêté de regarder c’est trop frustrant.

    3. Ulysse

      Il y a bien longtemps que j’ai arrete de voir Radio Canada. Parce que j’avais l’impression de regarder Radio Teheran. Bravo Dora de la denoncer.

    4. serge de netanya

      comme dab une analyse et des com. d’une limpidité et d’une clarté exceptionnelle merci madame vous nous manquiez

    5. SergeB

      Au Canada, voici un homme devenu Prime Minister of Canada justin trudeau
      inféodé par l’islam faisant entrer par milliers des musulmans dont on ne sait s’il deviendront des radicaux eux-même ou leurs progénitures car ça n’est pas écrit dans la figure la sincérité, la loyauté envers un pays n’existe tout simplement pas sauf celle vouée a allah et la charia. Des gens comme trudeau, couillard et coderre des gens d’influence se faisant du capital politique prêt a renier notre
      mode de vie mettant en péril nos libertés individuelles et collectives.par leur trahison car le Canada est une terre judéo-chrétienne.et non musulmane.
      Combien de Rabbins ont été rencontrés par ces trois-là, leurs flatterie avec le salopard de Ban Ki-Moon cet être abject et porte parole de 56 pays musulman et leurs sous fifres inféodés? Il est bien possible que ce sont des idiots utiles de ce genre qui plongeront nos pays démocratique dans le chaos le plus complet. Encore peut-être 20 ans et notre pays ne sera plus reconnaissable.

    6. Frank Giroux

      Je n’ai pas regardé ce documentaire parce que je ne regarde plus radio canada depuis un temps déjà mais je sais de par les journaux ce qui s’y fait.

      Et vous avez absolument raison tous les médias sont maintenant dominé par la pensée unique. Par contre je ne peux pas dire si elle est anti-juifs, je sais seulement qu’elle est pro-islam et pro-arabe (l’un découle de l’autre… ).

      Il faut continué de dénoncer.

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