–
Ce mardi, le “International New York Times” consacre en première page un long article avec photos sur des locations de quelques villas de AirBnb dans les territoires. Un long papier, qui a aucun moment, n’informe le lecteur que ce type de location doit représenter moins de 1 cas sur 10 000 offres de AirBnb en Israël.
Plus de 128 000 visiteurs étrangers ont utilisé Airbnb en Israël l’an dernier (croissance de 45% d’une année sur l’autre). Plus de 13 000 offres de location sont disponibles en Israël. Les villes qui offrent le plus de services sont Tel Aviv, Jérusalem, Haïfa, Netanya, Bat Yam. Le nombre de jours (moyenne) d’utilisation du service par les touristes est de 6 jours. Le prix moyen par nuit est de 445 shekels ($115).
Cet article du New-York Time, repris par la presse mondiale, est l’un des symboles du niveau zéro en matière de “journalisme”. Un coup de désintox est nécessaire.
Encore une bataille perdue pour le BDS qui tente de stigmatiser Israël et le sionisme. Selon un article de presse : « Omar Barghouti, co-fondateur palestinien de la campagne “Boycott, désinvestissement, sanctions” (BDS) a estimé qu’ “Airbnb peut et doit immédiatement exclure toutes les colonies israéliennes de ses offres pour se plier aux obligations du droit international en termes de défense des droits de l’Homme”.
La société basée aux Etats-Unis s’est contentée de répondre par un communiqué dans lequel elle affirme “respecter les lois en vigueur là où (elle) opère et enquêter sur des inquiétudes soulevées au sujet de certains référencements”. Les utilisateurs du site peuvent choisir eux-mêmes la localisation pour leur annonce mais Airbnb dit se réserver le droit d’effacer les annonces trompeuses ou mensongères.
Le Conseil de Yesha a assuré à l’AFP être “très fier de son industrie du tourisme”, assurant que les annonces seraient maintenues, de même que leur localisation. Le ministère israélien du Tourisme a de son côté affirmé “recommander de visiter et de séjourner dans tous les endroits du pays sans distinction”, englobant les colonies situées dans les Territoires palestiniens.
Sur le site, des annonces proposaient des logements, soulignant “la tranquillité” de la zone, la proximité avec Jérusalem et “les paysages spectaculaires de la Judée”, reprenant un terme qu’utilisent les Israéliens pour désigner une partie de la Cisjordanie ».
Les Territoires palestiniens occupés aussi appelés Territoires palestiniens sont les dénominations les plus couramment utilisées pour désigner les territoires de l’ancienne Palestine mandataire britannique qui furent occupés par l’Égypte et la Jordanie de 1948 à 1967 puis par Israël à l’issue de la guerre des Six Jours en 1967.
D’autres expressions sont aussi utilisées : « les territoires de 1967 » ou plus brièvement « les territoires ». L’Organisation des Nations unies (ONU) a employé « territoires occupés » dans les résolutions 242 puis plus généralement « territoires palestiniens occupés » depuis les années 1970. Le gouvernement israélien parle de Judée et Samarie pour désigner la Cisjordanie et y voit un territoire disputé.
Source: Israelvalley
Pauvres cons : International NY Times et BDS » !!!! Faut bien qu’ils s’occupent !!!!
tj les mm chiens qui aboiebt et comme d habitude la caravane legitime passe et triomphe comme la verite!!!!
Vive Israel et ts les braves du monde…