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Le CNRS fait appel aux projets des scientifiques pour combattre la menace terroriste


Le CNRS fait appel aux projets des scientifiques pour combattre la menace terroriste

Protéger les cathédrales gothiques des risques d’attentat, étudier le prosélytisme islamiste sur les terrains de sport, repérer des suspects grâce à un « nez » artificiel: des chercheurs français ont présenté plus de 200 projets pour aider la société à répondre à la menace terroriste.

Peu après les attentats du 13 novembre à Paris qui ont fait 130 morts, le président du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique) Alain Fuchs avait appelé les scientifiques à faire des propositions pour offrir « sinon des solutions, du moins de nouvelles voies d’analyse et d’action ». Les projets devaient être envoyés au CNRS pour être analysés par un comité de pilotage composé de scientifiques.

53 projets financés

Cet appel inédit à l’ensemble de la communauté française de l’enseignement supérieur et de la recherche « a été largement entendu », estime le CNRS qui vient de publier un premier bilan. L’organisme public de recherche a reçu 202 projets à fin janvier. La date butoir pour recevoir des réponses est fixée au 3 mars. Après examen, il a décidé d’en financer 53, soit un peu plus du quart. Pour chaque projet, l’enveloppe varie entre 2.000 et 30.000 euros. Le budget total consacré à l’appel « attentats-recherche » dépassera les 600.000 euros, précise le CNRS.

Parmi les projets retenus, figure : « La protection des cathédrales gothiques »

face au risque d’éventuelles actions terroristes. Présenté par des chercheurs spécialisés en mécanique et en physique des matériaux, il vise à élaborer des solutions pour permettre à ces édifices de résister à de telles menaces.
Une chimiste veut développer une sorte de « nez électronique » pour la capture d’odeurs corporelles ou l’analyse de résidus d’explosifs. En effet, chaque individu aurait une « empreinte olfactive » unique. Un détecteur de molécules pourrait permettre de détecter la « signature » d’un suspect sur le lieu d’un attentat. Un autre scientifique veut travailler à la neutralisation d’armes chimiques sur le lieu de leur détection, grâce au développement de dispositifs transportables rapidement.

Les chercheurs en sciences humaines et sociales ont également été nombreux à présenter des projets. L’un d’eux vise à étudier les processus de radicalisation liés à l’islam salafiste au sein des structures de sport amateur. L’enquête de terrain se fera dans des « quartiers sensibles » en Alsace.

Un autre s’interroge sur la façon dont la France combat le terrorisme d’aujourd’hui. Il entend montrer que les instruments de politique publique sont « inadaptés aux menaces actuelles » et compte proposer des pistes, en s’appuyant notamment sur les réponses d’autres pays exposés.

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  • 2 thoughts on “Le CNRS fait appel aux projets des scientifiques pour combattre la menace terroriste

    1. yoniii

      hi

      hmm hmm

      etant donnée que la dhimmitude comence essentiellment avec les elites et les couche superoieure d un societe

      on peut donc dire qu une partie essentiel du monde universitaire , et donc du CNRS
      et largement soumis a la dhimmitude

      ce qui ne peut que généré un certain refus de la realité du danger

      une dimminution de la volonté reél de combattre l enemi

      une baisse de l inteligence effective , de combattre efficacement

      etc…

      en somme le CNRS elaborera une arme de plus en plus technologique

      mais mettra ses meme arme entrre les mains de force de l ordre , de societe dans le denie , soumisse a une extreme dhimmitude

      il est fort a parillée , que ses meme force eviteront d user de ses arme contre l enemi

      c est comme les soldat en phase d attaque dans une guerre

      sur 100 soldat armée et tirant sur l ennemi

      seul 15 a 20 % des soldat tire pour tué ,

      80 a 75 % des reste des soldat ne tire pas , ou tire deliberement a coté de l ennemi

      il ne sert a rien de developper le contre terrorisme , si la volonté de combattre et vaincre l ennemi n exite pas

      que le CNRS commence a combatrte la dhimmitude universitaire et ua sein du CNRS liu mme

      ensiute qu il face la meme chose avec le societe

      et apres cela servira a quelques chose de developper ds arme de haut techologie

      donc les force etatique ce serviront pour vaincre leur ennemi cdar ils ne seront plus soumis a la dhimmitude etatique

      by

    2. Elia

      Est-ce que dans ces projets, il y en a un qui veut implanter un oeil derrière la tête ?
      Ca peut être très utile pour voir ceux qui vient par derrière poignarder.

      Et un autre pour protéger les cathédrales ghotiques en les déguisant en mosquées ?

      Je suis sur qu’ils n’y ont pas pensé !

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