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Le physicien belge qui pense avoir découvert l’origine des problèmes du monde: le «sionisme» – entendez Israël ou plus exactement les Juifs
Note: Jean Brimont est également membre de la prestigieuse Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique.
L’antisémitisme est-il soluble dans la raison ? par Marc Reisinger
Jean Bricmont est un physicien belge enseignant à l’Université Catholique de Louvain. C’est aussi un activiste de la lutte contre le capitalisme, « l’otanisme et le sionisme ». Il a écrit des articles et des livres sur et avec Noam Chomsky
Si les physiciens n’ont pas de certitudes quant à l’origine du monde, Bricmont pense au moins avoir découvert l’origine desproblèmes du monde: le «sionisme » – entendez Israël ou plus exactement les Juifs. Si les Etats-Unis et l’Europe cessaient de se laisser intimider par la crainte de l’antisémitisme et du lobby juif, la paix au Moyen Orient et dans le monde serait quasiment assurée.
L’antisémitisme (antijudaïsme) de Bricmont est subtil, jamais affirmé, toujours nié. C’est l’antisémitisme « en creux », de quelqu’un qui se prétend non concerné par la question. Par contre, il est très concerné par la liberté d’expression des négationnistes.
Il s’est en effet lancé dans une bataille – en compagnie d’Alain Soral, de Dieudonné et de Chomsky – pour faire libérer un militant français, adepte de l’idéologie nazie, Vincent Reynouard, condamné à un an de prison ferme en France et en Belgique pour avoir publié une brochure négationniste : « Holocauste, ce que l’on vous cache ».
Reynouard est un disciple de Robert Faurisson, qui le décrit de la manière suivante: « Vincent Reynouard vient d’être mis en prison à Valenciennes pour un an, sur décision de la cour d’appel de Colmar, parce qu’il a fait savoir, après une longue enquête sur le sujet, qu’il était obligé de donner raison à ceux qui, de leur côté, en France et à l’étranger, ont conclu de leurs propres recherches que, pour des raisons d’ordre physique, chimique, architectural, topographique et documentaire, les chambres à gaz nazies n’ont ni existé ni même pu exister. » (C’est l’auteur qui souligne)
Bricmont n’hésite pas non plus à prôner la libération de la parole antisémite, sous prétexte que l’antisémitisme existe de toute façon, et que ce serait une manière (magique ?) de le faire disparaître.
« Il suffirait de rétablir la liberté d’expression et de débats dans nos sociétés (y compris pour les fascistes, racistes, révisionnistes etc.), non seulement sur la Palestine, mais aussi sur les réseaux de soutien pro-israéliens ici et, en général, sur toutes les questions impliquant les « juifs ». Bien sûr, un certain nombre d’idées antisémites seraient avancées (mais ces idées sont de toutes façons dans la tête des gens et on pourrait alors leur répondre) et le phénomène Dieudo(nné) se dégonflerait immédiatement. »
Bricmont n’est pas idiot ; il ne nie pas la montée de l’antisémitisme, mais il l’attribue à la politique d’Israël – nullement à celle de ses adversaires:
« Je suis absolument convaincu (par simple observation) que le véritable antisémitisme (entendu comme hostilité généralisée à l’encontre des personnes d’origine juive) monte, et cela de façon inquiétante. Mais cette montée est due avant tout à l’incroyable arrogance de la politique israélienne, à celle de ses soutiens en France, à leur volonté suicidaire d’imposer au peuple français à la fois une politique dont il ne veut pas et une censure de fait qui le musèle lorsqu’il cherche à protester ».
Bricmont reconnaît la montée de l’antisémitisme et son rapport avec le conflit israélo-palestinien. Il est révolté par la politique israélienne, pas par le terrorisme ou l’antisémitisme. Il ne dénonce pas le fait que l’opposition à Israël entraîne une volonté de supprimer cet état, comme l’a montré Norman Finkelstein, autre défenseur des Palestiniens. Bricmont néglige également le rôle de la désinformation dans la haine d’Israël et l’antisémitisme : tout est à charge d’Israël.
De manière plus personnelle, Bricmont entend démontrer par le raisonnement suivant qu’il n’est pas antisémite :
Marc Reisinger est psychiatre.
La subtilité d’un étron se mesure à son fumet, que l’étron soit belge, physicien ou les deux
La théorie de jean foutre une fois ,de Monsieur Jean Bricmont mon zob, phtisicien belge .C’est une blague, de l’humour, de antisémitisme pour les nuls.
Un resucée du protocole etc…
affligeant!
Le fait d’être physicien ne donne aucune autorité particulière à ce Monsieur pour
porter quelque jugement éclairé que ce soit sur le conflit israélo-palestinien;
autrement dit la portée de ses déclarations est purement individuelle !
Ce physicien à la noix aurait dû s’étudier avant de dire des conneries , il aurait compris qu’il devrait aller dans un hôpital psychiatrique .
Et le comble ce serait peut être un » sioniste » qui l’aurait soigné .
Hélas on en a tellement vu des zygottos de ce calibre !
encore un jaloux des juifs inconnu qui est antisémite … il est jaloux de Albert Einstein … il est jaloux car lui a atteint la notoriété , il est jaloux car Einstein est un Génie légendaire et lui est un nul ….lui est un perdant
Pour les curieux comme moi, la personne dans le cadre en rouge est Jacques Natanson, écrivain, scénariste, réalisateur et dialoguiste.
(Wiki) En 1941, son portrait est affiché dans l’exposition Les Juifs et la France dans la section Les Juifs, maîtres du cinéma français accompagnée de ce texte : « Les créateurs juifs imposaient des Juifs dans les films français au détriment des acteurs et des techniciens français. »