Quarante organes de presse sous la tutelle directe de l’Etat iranien ont récemment remis à prix la tête de l’écrivain britannique d’origine indienne Salman Rushdie, qui fait l’objet d’une fatwa de mort depuis le 15 février 1989.
Chacun de ces médias iraniens a ainsi financièrement contribué à alimenter la nouvelle «récompense» établie à 600 000 dollars (540 000 euros). L’agence de presse Fars News a ainsi versé 30 000 dollars (27 000 euros) et le Tehran Press News a alloué près de 10 000 dollars (9 000 euros).
L’imam Khomeiny avait émis une fatwa de mort à l’encontre de Salman Rushdie le 15 février 1989 pour son roman «Les versets sataniques», jugé blasphématoire. En 1998, Mohammad Khatami, président réformateur, s’était engagé à suspendre le décret religieux.
Mais l’ayatollah Ali Khamenei, successeur de Khomeiny, avait relancé en 2005 la fatwa de mort à l’encontre de l’auteur. En 2015, l’Iran avait décidé de faire l’impasse sur la foire du livre de Francfort (Allemagne), en raison de la présence de Salman Rushdie.
A quand des fatwa contre ces débiles qui lancent des fatwa ?
Il n’y a même pas de prescription , Khoméni est mort mais la fatwa est toujours d’actualité .
Si on applique à la lettre le Coran on pourrait retenir une seule phrase :
» Ne pense pas , roule »
De quoi rendre les cervelles atrophiées