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Tribune de Pierre Lellouche, député de Paris, conseiller de Paris et délégué général des Républicains aux affaires internationales, sur la crise des migrants. Il estime qu’il est « urgent de fermer les frontières extérieures de l’Europe ».
Tout avait commencé par une déclaration d’amour : Madame Merkel, animée des meilleurs sentiments du monde, annonçait sous le choc de l’émotion, que désormais l’Allemagne ouvrait grand ses portes et qu’elle « pouvait le faire ». […]
Mais il y a plus grave, comme l’histoire de ces dernières années n’a cessé de le démontrer : lorsqu’une porte d’accès est fermée, le flux des migrants se déplace automatiquement vers une autre porte d’entrée. Cette autre porte s’appelle l’Italie, et son point de départ risque fort de se situer sur la bande côtière libyenne de 250 kilomètres de long dans la région de Syrte, déjà passée sous le contrôle de l’Etat islamique (Daesh). […]
Il est donc plus que temps que les Gouvernements européens prennent la mesure de la gravité du problème.
Qu’ils trouvent le courage de dire la vérité à leurs peuples : à savoir que la stabilité sociale et politique de l’Europe ne survivra pas à l’afflux de millions de migrants supplémentaires, provenant d’Afrique et du Proche-Orient.
Que le signal sera donc celui de la reconduite immédiate de toutes les embarcations à leurs points de départ, et non pas de recueil et de transport vers les côtes européennes. Ces gouvernements devront également trouver le courage de se doter des moyens sécuritaires, voire militaires, pour fermer effectivement les frontières extérieures de l’Union. Le tout en accélérant les efforts diplomatiques, pour l’instant inexistants de la part de ces mêmes Gouvernements européens, en vue d’arrêter la guerre en Syrie, qui entre dans sa 6e année, et qui désormais, exporte en Europe et les migrants et le terrorisme.
ils sont à l’interieur déjà !!!!!!!!!!!!!!
Hello loulouche retourne faire dodo avec tes copain qui ont amene la chienlit .
C’est toujours mieux que le discours de la gauche, et ça a le mérite d’attirer l’attention sur la Lybie et l’Italie, qui pourraient remplacer la Turquie et la Grèce en tant que portes d’entrée des envahisseurs.
En espérant qu’il le pense vraiment (pourquoi pas, on peut toujours se réveiller en cours de route), mais surtout que cela soit suivi d’effets et de mesures concrètes, à commencer par la fermeture immédiate des frontières françaises avec ses voisins, y compris l’Italie, désolé Messieurs-dames les enragés du dispositif Schengen.