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L’Etat et la Justice en flagrant délit de deux poids deux mesures : Pas d’interpellation après les violences commises par l’extrême gauche lors de la manif pro-migrants. En revanche, déploiement de CRS et violences policières contre la manif anti-migrants…
Depuis plusieurs mois, les islamo-gauchistes s’en donnent à « coeur joie » lors de manifestations où violences, saccagent, agressions sont devenus monnaie courante. Les dernières démonstrations comme celle à Calais où des hordes ont agressé violemment des habitants et ont taggé la statute du Général de Gaulle n’ont été suivies d’aucune interpellation.
Pire, la présence policière était pour le moins discrète et les islamo-gauchistes ont pu agir en toute impunité.
En revanche, Bernard Cazeneuve, dont on peut noter la complaisance envers l’extrême gauche, avait interdit la manifestation anti-migrants organisée par le mouvement Pegida.
Mais ne s’arrêtant pas à une simple interdiction, les manifestants se sont vus opposer un fort dispositif policier qui a aussitôt interpellé violemment des participants, alors qu’aucun incident n’avait été à déplorer.
La police avait visiblement reçu des ordres de ne pas ménager les anti-migrants.
Le Général à la retraite, Christian Piquemal, en a fait les frais et a été interpellé de façon violente… Cet ex-patron de la Légion étrangère, âgé de 75 ans, a été placé en garde à vue pour avoir participé à la manifestation interdite par le ministère de l’Intérieur. Son procès, prévu ce lundi en comparution immédiate, a été reporté à la suite de son admission à l’hôpital, son état de santé ayant été jugé « incompatible« .
Vers 16h, on a appris que le général, qui était hospitalisé à Calais et qui a eu de très nombreux témoignages de soutien venus de l’extrême droite, avait finalement pu quitter l’hôpital. Libre, sans contrôle judiciaire, il doit comparaître le 12 mai. En attendant, il s’est exprimé pour la première fois sur RTL sur sa participation au rassemblement de Calais, qu’il a affirmé « regretter ».
« Personnellement, je n’aurais pas voulu les voir sur place, a-t-il affirmé à la radio au sujet de Pegida, qui avait appelé à cette manifestation. Ils ont une connotation extrêmement négative« , a jugé Christian Piquemal, qui a déclaré « ne partager aucun lien » avec le mouvement islamophobe allemand. Le général a aussi assuré qu’il s’était rendu sur place pour « reconnaître les lieux et voir s’il n’y avait pas des solutions pérennes à mettre en place » pour les migrants.
« On n’est pas racistes, islamophobes ou xénophobes »
« On n’est pas racistes, islamophobes ou xénophobes, a-t-il martelé. J’ai commandé la Légion étrangère pendant 5 ans, il y a 140 nationalités dedans. Donc s’il y a bien quelqu’un à qui on ne peut pas reprocher d’être raciste, c’est bien moi », a poursuivi Christian Piquemal, qui anime un blog évoquant la théorie du « grand remplacement » et dénonçant « le déferlement migratoire », « la décadence de la France » ou encore son « islamisation rampante ».
Christian Piquemal avait par ailleurs animé, le matin précédant la manifestation, un meeting de « patriotes » près de Calais. A la tribune, il affirmait notamment que « la gangrène a commencé avec le rapprochement familial » et s’en prenait aux familles « musulmanes et polygames ».
Pegida en France
La version française de la mouvance est née en janvier 2015, juste après les attentats de Paris. Au cours d’une conférence de presse, l’idéologue d’extrême droite Renaud Camus, celui qui a théorisé le « grand remplacement« , annonce en présence d’une représentante allemande de Pegida le lancement d’une section française.
Renaud Camus a disparu de l’affiche, dont il a laissé la tête à un jeune inconnu de 25 ans, Loïc Perdriel. « On ne sait pas d’où il sort, et le profil particulièrement léger qui apparaît à la lecture de ses écrits sur les réseaux sociaux ne laisse pas penser qu’il est l’initiateur de grand chose« , relève poliment pour Marianne Jean-Yves Camus, spécialiste de l’extrême droite (à ne pas confondre avec Renaud Camus).
Quant à la Justice française, visiblement inféodée à la gauche, on ne peut que noter son empressement à faire comparaître et condamner les militants d’extrême droite alors que son laxisme envers les militants d’extrême gauche se constate chaque jour…
© Christian De Lablatinière pour Europe Israël News
Migrants, terrorisme, mariage pour tous, extrême gauche violente, viols, incivilités, justice à deux balles, réforme du collège et de l’orthographe, phobiecratie aigue, privation des libertés pour les uns mais pas pour les autres, islamisation de la France, beurettes arrogantes etc…..
Vous en avez cauchemardé, Hollande l’a fait…..
2017 c’est après demain………