Le tribunal de Paris a prononcé cinq et six ans de prison à leur encontre. Deux Avignonnais, âgés de 26 et 27 ans, partis en Syrie en 2014 rejoindre Oumar Diaby, considéré comme le premier recruteur de jihadistes français, ont écopé de prison ferme vendredi.
Le parquet avait requis six et sept ans de prison. La procureure avait demandé au tribunal de ne pas se fier à la naïveté et au repentir exprimé par les prévenus, en évoquant l’hypothèse de leur participation à « une cellule dormante ».
Deux mois en Syrie
Les deux jeunes avaient été interpellés en novembre 2014, quelque mois après leur retour de Syrie où ils étaient restés deux mois en fréquentant notamment Omar Omsen, de son vrai nom Oumar Diaby.
Cet ancien délinquant franco-sénégalais, devenu un imam radical autoproclamé à Nice, avait rejoint la Syrie en 2013 où il dirigeait une « katiba » (brigade) de jihadistes francophones.
Il affirmait se battre pour Jabhat al-Nosra, la branche d’Al-Qaïda en Syrie. Auteur de vidéos de propagande, son nom est apparu dans plusieurs dossiers de filières syriennes. Il aurait depuis été tué, selon les services de renseignement.
Les deux prévenus ont été dénoncés par un autre jihadiste de retour de Syrie, Hamza Mandhoui, selon qui l’un d’eux serait retourné en France pour commettre un attentat. Mais aucun autre élément du dossier n’a permis au juge d’étayer cette thèse, finalement abandonnée par l’accusation.
Une « aventure » du passé
Pour leurs avocats, Karim Morand-Lahouazi et Florian Lastelle, il s’agit avant tout de jeunes paumés partis vivre une aventure qui, pensaient-ils, les sortirait de leur ordinaire.
A la barre, Medhi et Fares, qui se connaissaient depuis le collège et disent avoir « fait les 400 coups ensemble », ont raconté leur périple en Syrie sans émotion apparente, avec décontraction, comme d’une « aventure » du passé, se sentant « inutiles » dans la société française.
Les deux prévenus ont reconnu s’être entraînés avec des Kalachnikovs, s’être portés volontaires pour une action commando qui devait accompagner un attentat suicide avec un camion d’explosifs. Mais, ont-ils assuré, l’opération n’a pas eu lieu.
Se disant déçus de leur expérience, ils auraient alors prétexté des parents malades pour pouvoir rentrer en France.
ils sont parti pour faire le djihad ? et bien ils auraient dû assumer leur idéologie
jusqu’au bout .. l’ Etat doit leur interdire leur retours en France …
après 5 et 6 ans de prison qui nous dit qu’ils ne récidiveront pas dans
l’islamisme et faire des attentats en France comme en Syrie ?
Si c’était autre chose qu’un fantasme que les juifs tiennent les médias, il faut qu’une campagne médiatique importante imprime le message suivant : les tentatives de crimes ou crimes non prouvés, conduisent a ces peines.
C’est le meilleur message dissuasif de lutte contre la Daesch : les centres de rééducations c’est du pipeau !.
La peur, la crainte par la démonstration de la sanction il n’y a que cela qui marche contre ces apprentis tueurs d’innocents. Ces érèbes, ces malades des ténèbres de la mort et de la destruction, ces rebut de l’humanité, ces déchets infâmes que Dieu les rappellent et qu’ils brulent en enfer leur demeure.
Mauvaise décision.
C’est encore de l’argent, de l’énergie perdus. Cette condamnation veut dire que les Français devront les nourrir les loger, les habiller, les soigner pendant 6 ans. Sans compter le personnel qu’il faut pour les surveiller…
Un prisonnier coûte + ou – 50 000.$ CAD par année ça doit ressembler à ça aussi en France, 2 prisonniers pendant 5 et 6 ans vont coûter autour de 550 000.00$ (faites-le compte en euro). De l’argent perdu.
Sans compter que de leur cage ils vont probablement corrompre les plus jeunes prisonniers.
Pourquoi garder cette engeance chez-vous? La vermine faut pas la nourrir.
Dorénavant il est dangereux de danser sur le Pont d’Avignon aprés 21h