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Un de mes amis américains, journaliste conservateur qui s’est très rarement trompé au cours des trente dernières années, m’a déclaré voici peu au téléphone que l’establishment républicain s’attendait à un raz de marée électoral en faveur de Donald Trump qui porterait celui-ci jusqu’à la Maison Blanche.
Je ne sais s’il a raison : chacun le saura dans un mois environ, lorsqu’auront eu lieu les caucus de l’Iowa et les élections primaires du New Hampshire.
Ce qui est certain est que, depuis six mois qu’il est entré en campagne, Donald Trump donne le ton à la campagne républicaine : tous les thèmes majeurs qui ont été abordés sont venus de lui, et sans sa présence dans la campagne, l’immigration, le problème posé par l’islam, la nécessité d’en finir radicalement avec l’Etat Islamique, le caractère criminel de l’accord avec l’Iran, n’auraient pas été au centre des débats nationaux.
Ce qui est certain est aussi qu’il a changé le ton de la campagne et a rompu avec le politiquement correct comme aucun autre candidat ne l’avait fait avant lui.
Ce qui est évident est qu’il attire des foules qui n’ont pas de précédents dans les campagnes républicaines (le socialiste Bernie Sanders attire lui aussi les foules du côté démocrate).
Ce qui crève les yeux est qu’il indispose l’establishment républicain qui a tout tenté, et tout imaginé pour barrer la route à Trump, sans y parvenir jusqu’à présent : après l’avoir traité de clown et d’imposteur, après lui avoir trouvé tous les défauts, l’avoir traîné dans la boue, s’en être pris à lui davantage qu’à ses adversaires démocrates, après l’avoir accusé d’être un agent d’Hillary Clinton destiné à faire perdre les Républicains, après s’être déclaré choqué par ses déclarations, après avoir envoyé des candidats successifs l’agresser verbalement, Scott Walker, Rick Perry, Bobby Jindal, John Kasich, Jeb Bush, après avoir tenté de mettre sur orbite le candidat choisi d’avance, un candidat tiède à même d’attirer les indécis et les centristes, après avoir envisagé de présenter un candidat dissident, après avoir poussé Mitt Romney à revenir en sauveur, après avoir envisagé des campagnes télévisées anti-Trump payées des dizaines de millions de dollars, l’establishment semble résigné, sans l’être tout à fait.
Certains de ses membres espèrent une montée soudaine de Marco Rubio, devenu leur candidat de rechange, ou obtenir que des candidats obtiennent assez de délégués pour que le parti aille vers une « brokered convention », une « convention arrangée » où aucun candidat n’ayant la majorité, des combinaisons de couloir feraient émerger un candidat différent. Certains membres de l’establishment espèrent même un effondrement de Trump : l’effondrement qu’ils attendent depuis six mois.
Pour l’heure, Trump reste très largement en tête de tous les sondages. Il est donné deuxième, derrière Ted Cruz en Iowa, mais nettement premier dans le New Hampshire. Il est donné premier aussi dans les Etats qui voteront après le New Hampshire.
Mes préférences personnelles me porteraient davantage vers Ted Cruz (que l’establishment républicain déteste autant que Trump), mais je m’accommoderais très volontiers de Trump.
Hillary vient de ressortir du placard son mari, le violeur amateur de fellation Bill Clinton
Je pense qu’aucun autre républicain n’est à même de l’emporter, quoi que disent présentement les sondages (je peux me tromper), et je pense aussi qu’une élection d’Hillary Clinton serait un désastre absolu. Elle vient de la mouvance Saul Alinsky, comme Obama, elle est, de surcroît totalement corrompue et ment dès qu’elle remue les lèvres. Elle vient de ressortir du placard son mari, le violeur amateur de fellation Bill Clinton.
Ses emails, quand ils me montrent pas qu’elle divulgue des secrets d’Etat, montrent qu’elle est restée très proche de Sidney Blumenthal et de son fils Max, auteur du livre le plus abject sur Israël qu’il m’ait été donné de lire, Goliath.
Sa plus fidèle confidente a un mari juif de gauche tendance exhibitionniste sur twitter (Anthony Weiner) et vient d’une famille très liée aux Frères Musulmans. Elle s’appelle Huma Abedin. Si j’avais du temps à gaspiller, je lui consacrerais un livre, mais en langue française, personne ne le lirait, car en France, la plupart des journalistes adorent Hillary autant qu’ils adorent Obama.
Je pense que si Trump est candidat, il ne se gênera pas pour dire ce qui est à dire sur Hillary. Cela ne plaira pas à l’establishment républicain.
L’establishment républicain me semble profondément sous estimer la colère, la frustration et le dégoût ressenti par des millions d’Américains.
© Guy Millière pour Dreuz.info
Donald Trump est l’homme de la situation pour donner aux États Unis une image nouvelle, d’un président qui ne baisse pas son pantalon et qui n’est pas un lèche babouches, comme la plus parts des politiques qui nous gouvernent. Hillary Clinton est « une femme finie du point de vie politique », (c’est la gauche qui promet tout et que ne tient jamais ses engagements). la ruine des pays.
hi
quelqu un a dit il y a quelque années qu ele demographie et en defaveur des republicain
l islame a dit a l epoque d oslo , l occident a la science et la technologie pour venir a bou de l islame co,nquerant
mais l islame a la demographie pour aneantir l occident
l occident eurabiate et entrain d etre aneantie par la stratagie demographique
qui fait que les occidentaux de souche seron et son deja minoritaire sur leur propre sol
et finieront par ne plus pouvoir gaganée les election faut d avoir asser de votant pour eux
et la meme chose ce deroule au usa
si les muzz ne son pas ejecter des sol occidentaux
la sdemographie sera leur arme ultime pour detriure l occident , la democratie
car la demographie fera qu il auront toujour le pouvoir car ils seront les plus nombreux et les plus jeune
et ce st la le veritable danger ppour les ocidentaux de souche
by
La raison pour laquelle les Républicains perdent est leur incapacité à jouer en equipe. Les USA et le monde libre pour ne pas dire le monde entier a besoin d’un homme de droite comme DONALD TRUMP alors je dis DONALD TRUMP FOR PRESIDENT.
Que peut on reprocher à Donald Trump ? De dire ce que tous les citoyens pensent ?
Et s’il tient en plus ses promesses , il sera le représentant légitime du peuple américain .
BASTA .
Ce qu’il y a de bien avec Guy Millière comme avec Alain Minc et Alexandre Adler, c’est qu’ils se trompent toujours. Ils a,noncent quelque chose et c’est toujours l’exact contraire qui se produit. En 2 011, Millière avait dépensé des énergies folles à démontrer – il avait des infos sûres à ce sujet- que Obama ne pouvait pas être réélu. Donald Trump a de bonnes raisons de devoir se méfier de Mister Shkoumoune!
DONALD TRUMP est le seul politicien à l’heure actuelle capable de fermer le robinet de l’aide sociale aux mus. ce qui leur perme d’inonder les démocraties d’enfants mus et futurs djihadistes élément CAPITAL pour les démocraties. La gauche préfère laisser la démocratie qu’elle deteste de toutes manières, crever plutôt que de cesser d’alimenter la démographie mus.
Vous avez dit » un raz de marée » ?
Les américains tiennent ils en Trump leur Moïse ?
Dans ce monde en folie, il me semble que D.Trump est l’homme qu’il faut à l’Amérique !
Nous avons tous besoin que ce pays retrouve le rôle moteur qui a été le sien durant des décades et que l’administration Obama a mis à mal !