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Se taire, dit-elle, serait « capituler ». Se taire, couvrir ses agresseurs, reviendrait à leur abandonner le terrain, à les reconnaître en nouveaux maîtres du jeu. Se taire, en se laissant intimider par la dimension politique que prend l’affaire du réveillon de la Saint-Sylvestre en Allemagne, n’est donc pas une option. « Je prends mes responsabilités, je parle pour toutes les femmes. »
Pour celles qui ont vécu cette nuit de cauchemar à la gare de Cologne, le 31 décembre, et se terrent désormais, avec leur traumatisme et leur secret (les plaintes ne cessent cependant d’augmenter – 766 déposées à ce jour, dont plus de la moitié pour délit sexuel – mais les témoignages demeurent rares et souvent anonymes). Et aussi pour toutes les autres, « qui tiennent à leur liberté et au principe d’égalité entre les hommes et les femmes pour lesquelles tant d’Allemandes se sont battues », dit-elle. Car ce sont des valeurs et un mode de vie qui lui semblent menacés. « C’est bien plus grave que ce qu’Angela Merkel veut croire… »
Elle s’appelle Lisa C. Elle a 24 ans, habite Düsseldorf et termine ses études de dentiste. Surtout qu’on ne lui fasse pas le coup de la taxer de racisme. « Ah non ! Pas ça ! Ce chantage m’est odieux ! Toute l’Allemagne tremble depuis 1945 d’être exposée à cette accusation et cela nous paralyse ou nous fait faire des choses irrationnelles. Ce n’est pas la question, vous entendez ? Si des Allemands avaient fait ce que je vais vous raconter, je le dénoncerais avec la même vigueur. »
« Une masse compacte d’hommes bruns, entre 20 et 30 ans, visiblement originaires d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Des dizaines d’hommes au regard allumé et intrusif. Des hommes qui, d’emblée, nous ont encerclées en nous scannant, sans la moindre retenue. Comme s’ils nous déshabillaient, nous évaluaient, nous soupesaient. »
Elles entendent les cris, les rires, les insultes. « La place était à eux et on sentait qu’ils avaient l’intention d’utiliser toute la liberté que fournit l’Allemagne pour faire ce qu’ils voulaient avec les femmes. »
En atteignant le club rempli de jeunes Allemands, qui festoient en semblant ignorer ce qui se trame hors des murs, elles ont une impression d’irréalité. « Comme s’il y avait deux planètes » et qu’elles étaient les rescapées d’un enfer dans lequel elles n’étaient « que des proies ».
« J’étais fan de Merkel. J’ai adhéré à sa politique de “bienvenue”. Mais je crois qu’elle a perdu le contrôle. On est débordé. Un million de réfugiés parmi lesquels une grande majorité de jeunes hommes qui ont un rapport aux femmes radicalement différent du nôtre, ce n’est pas un détail ! Alors affrontons le problème ! Débattons de cela ! Je ne veux pas que nous, les femmes, perdions quoi que ce soit ! »
Source: Le Monde
Tirez du texte ci-dessus :
»Elle s’appelle Lisa C. Elle a 24 ans, habite Düsseldorf et termine ses études de dentiste. Surtout qu’on ne lui fasse pas le coup de la taxer de racisme. « Ah non ! Pas ça ! Ce chantage m’est odieux ! »
Voila la vérité , le mot est lâche ; RACISTE !
Comme Lisa je suis furieux car depuis presque 40 ans on nous complexe avec ce mot .
Tu oses penser ou dire la vérité sur les agissements des muzz alors tu es raciste .
Tu veux déposer plainte pour agression !! tu es raciste !
Tu ne veux pas te laisser insulter , frapper , violer !! , tu es raciste .
Voila pourquoi aujourd’hui les Européens sont si passifs , parce-que conditionnés et pour d’autres écœurés .
JUSTICE NE VEUT PAS DIRE RACISME .
LA JUSTICE EST FAITE POUR TOUTES ET TOUS .
Voila la vérité , le mot est lâché ; RACISTE !
Ils ont tous les vices dans la peau . Tu parles avec des agneaux pareils ils jouent sur du velours .
Nous on les connait tellement !
comme elle dis ce n’est pas la question de raciste eccelent exactement ses hors sujet