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Révélations sur les déclarations de Yusuf en garde à vue. L’adolescent tient un discours structuré, quasi « politisé », et représente, selon nos sources, un profil « indétectable ».
Yusuf s’en est visiblement remis à la justice divine. L’adolescent, qui aura 16 ans dans une semaine, aurait pu minimiser son attaque, plaider le coup de folie, s’extirper du contexte terroriste actuel, exprimer des regrets. Refusant d’emblée l’assistance d’un avocat – la loi lui a imposé cette présence -, c’est pour la stratégie strictement inverse qu’il a opté dès son arrestation et tout au long de sa garde à vue jusqu’à son transfert, hier en fin de journée, dans les locaux du Renseignement intérieur à Levallois. « Je n’ai jamais lu un PV d’audition pareil, il présente une détermination étonnante. Il est remonté comme une pendule, ça fait froid dans le dos », lâchait hier un proche de cette affaire dont le parquet antiterroriste s’est saisi dès lundi après-midi.
Selon nos informations, Yusuf a tenu un discours « structuré, quasi politisé », face aux questions des enquêteurs de la brigade criminelle de la sûreté départementale, qui ont procédé à ses premières auditions. « Je ne regrette rien, j’en suis fier », a par exemple dit l’adolescent avant d’expliquer qu’il avait acheté la machette – avec laquelle il a frappé et blessé le professeur juif lundi matin – une dizaine de jours plus tôt et que, la veille au soir, il savait qu’il passerait à l’action le lendemain matin…
« Le profil le plus inquiétant que l’on ait rencontré à Marseille »
Concernant le choix de sa cible, Benjamin, cet homme de 34 ans qui s’en allait à pied enseigner à l’institut franco-hébraïque, situé sur le boulevard Paul Claudel (9e), il a déclaré que « seul Allah le sait », avouant au passage « avoir honte de ne pas l’avoir tué », « de ne pas avoir eu la force ».
La froideur de sa détermination dépassée, c’est finalement le fond du discours de ce Turc d’origine kurde qui interpelle le plus les proches de cette affaire. Un policier chevronné n’hésite d’ailleurs pas à dire que Yusuf « est clairement le profil le plus inquiétant que l’on ait rencontré à Marseille, pour l’heure« .
Selon nos sources, le jeune garçon aurait confié avoir commencé à s’intéresser aux thèses djihadistes en mars 2014. « Il explique qu’à cette époque il a vu à la télé des reportages défendant, en gros, l’hypothèse selon laquelle les Occidentaux sont martyrisés par les musulmans et qu’il a décidé de se renseigner par lui-même. De fil en aiguille, il est tombé sur des sites djihadistes où notamment la parole d’al-Baghdadi (autoproclamé calife de l’État islamique en juin 2014, Ndlr)dit l’inverse, que ce sont les musulmans qui sont persécutés. Et il a adhéré, rejetant au passage le système démocratique de nos sociétés. »
Pour l’heure, rien ne montrerait, dans les investigations menées notamment dans son matériel informatique, que le jeune homme a été embrigadé autrement que par une auto-radicalisation, notamment sur son smartphone comme il l’a expliqué.« Pas de voyages passés, et pas de commanditaires détectés pour l’instant », assure une source judiciaire. Reste que, selon nos informations, Yusuf – qui a indiqué avoir prié quelques fois seulement à la mosquée de la Capelette (10e) – a revendiqué le souhait qu’il entretenait de partir incessamment sous peu en Syrie… « Je ne représente pas Daech, ce sont eux qui me représentent », aurait-il même rétorqué à un enquêteur, assurant que la France « fait tout pour protéger les juifs ».
Un spécialiste s’inquiétait hier « du profil absolument indétectable et imparable de cet adolescent qui dit que ses parents sont des apostats (qui ont abandonné la religion, Ndlr), de mauvais musulmans », tout en s’interrogeant sur « le côté pied nickelé puisqu’il n’a même pas pris soin de vérifier que sa machette était aiguisée ». Une autre source judiciaire de conclure : « Je pense qu’il nourrissait une réelle volonté de tuer mais qu’il a été dans l’incapacité de passer totalement à l’acte. » La fébrilité de son très jeune agresseur a peut-être sauvé la vie de Benjamin…
Qu’importent le pourquoi, le comment, le parceque ou le « rien ne laissait prévoir ». La preuve est faite une fois de plus que l’islam est un virus à éradiquer.
Puisqu’il est pour la charia , lui couper les deux mains parce que dehors il recommencera .
Quelques-fois on peut regretter que les jeux du cirque n’existent plus .
Mais je me demande quand même si les lions boufferaient de la merde nazislamique .
Si oui , ce que j’aimerais , ils auraient la corante ..
hi
la veritable question qui devrait nous faire froid dans le dos
c est la nullité des force de l ordre
et de leur expert antiterroriste
ce fait qu il soeint surprie par la metapsychologie des terroriste djihadiste en dit long sur leur ignorance ou du mions sur le niveau de dhimmitude metapsychologique qui touche aussi bien les civlies que les force de l ordre
quand l intensité de la dhimmitude et excesive elles a tendance a toucher toutes la chaine sociale et societale et etatique
cet dhimmitude volontaire ou inconsciente sape les capacité des force de l ordre de comprendre leur ennemi et de le combattre avec eficacité ou tout simplment de la combattre reéllment et pas le combattre fictivement
le faite que ses force etatique soit surprie a ce niveau de la nature des djihadiste
et extrement inquietant car cela montre le niveau de dhimmitude , et l incapacité volontaire ou involontaire de ses force etatique de combattre reéllment l ennemi et donc de leur capacité a le vaincre
pour vaincre uhj ennemi
il faut deja accepter metapsychologiquement de le vaincre
si on a peut par dhimmitude , ou si on ose pas combattre avec efficacité son ennemi avec la reél volonté de la vaincre
alors on ne le vaincra pas
et c est bien la le noeux du pb
leds dhimmiphié etatique y compris dans les force de l ordre ne veulent pas encore reéllment combattre leur ennemi
et encore mions le vaincre reéllment
d ou leur incapaité a comprendre leur ennemi et a la vaincre
et c est cela qui devrait inquieter les victime potentiel car cela demontre que les force de l ordre non pas encore choisi de combattre pour vaincre
d ou le constat qu il font sembant de combattree
ce qui explique pourquoi il perde leur combat
by
En Belgique, le P.S de Bruxelles ville peuplées de 62% d’étrangers ou de personnes d’origines étrangères, croyait avoir trouvé la solution. Le P.S payait afin de « Déradicaliser » des « Camarades » revenu du djiad en Syrie, des « Experts en déradicalisation ». Après un certificat de « Déradicalisation » fourni par ces « Experts », le brave Belgo quelque chose, pouvait sortir de prison. Manque de bol, un expert en déradicalisation fournissait de faux certificats. Quand allons nous arrêter cette comédie ? Un radicalisé est un fanatique, les fanatiques sont irrécupérables. Combien faudra t’il encore de victimes pour que le P.S ouvre les yeux ? Ces politiques avides de voix mettent la population en danger.
Envoyez le définitivement chez Daesh mais gare au frappe de la France et
d’ Obama !! ce Yussuf est irrécupérable , alors ….
Le virer illico-presto lui et sa famille toute entière hors de France via sa Turquie natale…
Fou comme ça, ça ne s’invente pas. Extrader – Extrader au p.s.