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Dans les dix prochaines années, les dettes des autorités fédérales américaines pourraient atteindre 30.000 milliards de dollars.
La dette publique américaine a augmenté de 8.300 milliards de dollars et a atteint 18.900 milliards de dollars sur la période couvrant les 7 années de la présidence Obama, rapporte le site américain CNSNews, citant les nouvelles données du ministère américain des Finances. Le site ajoute que la dette a augmenté de plus de 70.000 dollars par foyer.
L’article cite des indices de la période de la présidence de George W. Bush qui avaient alors augmenté de 4.900 milliards de dollars (44.000 dollars par foyer).
Le niveau astronomique actuel de la dette publique américaine n’a pas encore atteint son paroxysme. Lundi, le bureau du Budget du Congrès américain a publié de nouvelles prévisions, selon lesquelles les dettes des autorités fédérales américaines pourraient atteindre la barre des 30.000 milliards de dollars dans les dix prochaines années. Les analystes constatent que ce processus est la conséquence du vieillissement de la population du pays, de la réduction de certains impôts, de l’augmentation des dépenses publiques et de la loi sur la protection des patients et des soins abordables, dite « Obamacare ». De plus, le compromis budgétaire obtenu entre le Congrès et la Maison-Blanche à la fin de l’année dernière a alourdi d’environ 750 milliards de dollars les déficits budgétaires provisoires dans le cadre des prévisions pour les dix prochaines années.
Le bureau du Budget du Congrès américain attend une croissance économique de 2,5% cette année et de 2,6% l’année 2017. Ces prévisions sont positives, étant donné le PIB américain, qui atteint 17.900 milliards de dollars.
Certains experts estiment que la dette publique, qui ne cesse d’augmenter, empêche les Etats-Unis de prendre de nouvelles initiatives tant en matière de politique intérieure que sur le plan international.
L’Arabie saoudite pourrait vendre sa part des titres du Trésor américains afin de garantir ses obligations budgétaires, ce qui est en mesure d’entraîner des conséquences graves sur le marché de la dette américaine.
La part des titres du Trésor américain dont Riyad est le propriétaire n’est pas rendue publique, mais elle pourrait être l’une des plus grandes dans le monde, rapporte l’agence Bloomberg. Le volume de cette part n’est pas annoncé en vertu de l’accord entre les deux pays qui avait suivi la crise pétrolière de 1973.
En échange de l’accès aux réserves pétrolières saoudiennes et des relations stratégiques, les Etats-Unis ont promis de ne pas rendre publique la part du royaume qu’ils ont ajouté à celles des 11 autres pays de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). En novembre dernier, la part globale de ce groupe d’exportateurs de pétrole représentait 289 milliards de dollars, et la part saoudienne y est considérée comme la plus grande.
Selon Bloomberg, durant l’année dernière uniquement, l’Arabie saoudite s’était débarrassée de réserves à hauteur de 100 milliards de dollars, afin de couvrir son énorme déficit budgétaire, le plus important depuis 25 ans. Pour la première fois, le royaume considère comme possible la vente de la société d’Etat Saudi Aramco qui a une importance primordiale pour l’économie du pays.
En se référant aux informations de l’Agence de circulation des finances saoudienne, Bloomberg estime que Riyad échange ses créances américaines en titres à court terme, afin de répondre aux demandes budgétaires et de soutenir la devise nationale. Les chiffres inconnus de cette affaire la rendent capable de nuire considérablement au marché de la dette américaine.
Avant qu’il quitte la Maison Blanche il faut le fouiller à la sortie .
Il pourrait démissionner.
30 trillons dans 10 ans? je pense que malheursement ce sera bien plus! Lezs gouvernemenrts de gauche actuels se préparent déjà à « se rembourser » sur les comptes en banque de la population et pour se faciliter cette tâche ILS FONT TOUT FAIRE DISPARAITRES LES ESPECES, ç-à-d les billets de banque et les remplacer par des cartes bancaire et autres OBJETS NUMERIQUES afin de ne pas nous permettre de nous défendre. Avec les cartes et les comptes il ne leur restera plus qu’à se servir.On a vu un échantillon de cette politique « financière » à Chypre oùle peuple a été oblitéré sans pouvoir se défendre. Mais eux avaient encore les espèces, pour NOUS ce sera bien pire. IL FAUT S OPPOSER A LA DISPARITION DES ESPECES et à leur remplacement par des systèmes facilement contrôlables par l’Etat et autres gangsters.