La secrétaire nationale à l’intégration des Républicains, défend une conception combative de la laïcité au nom d’un « vivre en France ».
À l’opposé des idées défendues par le sociologue Farhad Khosrokhavar, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (Ehess) , la secrétaire nationale à l’intégration des Républicains Nadia Hamour prêche contre le foulard islamique et s’alarme de la non-application de la loi interdisant le port de la burqa dans certains des territoires de la République. Entretien.
Le Point : Vous avez récemment émis l’idée que les femmes musulmanes échangent leur foulard contre un bonnet phrygien. Était-ce une blague ?
Nadia Hamour : C’est davantage une anecdote recueillie alors que je faisais mes courses dans une chaîne de magasins populaires. Ce jour-là, toutes les caissières portaient un bonnet phrygien, même celles qui étaient habituellement voilées. J’ai trouvé que cette initiative était intéressante et participait d’une démarche favorisant le « vivre en France », notion que je préfère à la notion de vivre-ensemble, vide de sens et pathétique cache-misère ânonné mécaniquement par ceux qui nous gouvernent. Mais le message que j’ai voulu faire passer est clair et ne souffre d’aucune ambiguïté. Je préfère que ces femmes arborent un symbole d’émancipation et de libération, que peut représenter le bonnet phrygien, plutôt que le voile, qui est pour moi un symbole d’oppression et un stigmate de la marginalisation des femmes dans l’espace public.
Même si le bonnet phrygien le plus connu est celui porté par les révolutionnaires en 1789 et 1792, il a de tout temps revêtu le symbole de la liberté. D’abord d’origine orientale, il était emblème de liberté. Dans la Rome antique, les esclaves ayant été affranchis le portaient. Aujourd’hui, il est inscrit au cœur de notre histoire et de notre tradition en France. Il est devenu le symbole de la liberté, aujourd’hui incarné par Marianne, dont l’effigie figure sur nos timbres postaux. J’ajouterai que de nombreux pays d’Amérique latine se sont approprié ce symbole qui figure sur leurs drapeaux et leurs armoiries.
Vous savez, avant d’enseigner l’histoire à l’université et avant d’occuper des fonctions en cabinets ministériels, j’ai été amenée à travailler dans des lycées de banlieues. J’ai été en contact avec ces filles qui, malgré ce que certains veulent nous faire croire, aspirent toutes à l’émancipation, à l’autonomie et à la liberté. Mon expérience en collectivités territoriales m’a aussi permis de mesurer la terrible pression de ces réseaux communautaires qui, si on ne les arrête pas, auront raison de nos valeurs les plus précieuses, celles qui constituent le ciment de notre pacte républicain.
Lire aussi Nadia Hamour (LR) : « Remplacer le voile par un bonnet phrygien »
Bien que ne disposant pas de chiffres précis, faute d’enquêtes statistiques autorisées, les sociologues estiment que le port du voile intégral a augmenté en France. Si la loi l’interdisant n’a fait qu’amplifier le phénomène, à quoi bon la maintenir ?
La loi interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public, qui ne concerne pas uniquement les femmes intégralement voilées, mais tous ceux qui les y contraignent, comme tous ceux dont le visage dissimulé rendrait impossible leur identification, a été adoptée le 12 octobre 2010, après de longs débats qui ont d’ailleurs dépassé le traditionnel clivage droite-gauche. Le voile intégral est un signe de soumission et d’asservissement de la femme que la République ne saurait accepter. C’est la négation en acte des principes émancipateurs, car il condamne les femmes à vivre en marge de la société, à s’extraire, c’est le refus de la mixité, le refus de serrer la main de gens considérés comme impurs… Quand bien même cette servitude serait volontaire, cela ne la rend ni acceptable ni légitime.
Cinq ans après, où en sommes-nous ? Si l’Observatoire de la laïcité estime, à la fin de 2014, à 1 300 le nombre de condamnations depuis l’entrée en vigueur de la loi, et à 350 le nombre moyen de contrôles annuels de femmes intégralement voilées, majoritairement jeunes et récidivistes, nous ne disposons pas de chiffres précis. Néanmoins, nous avons le sentiment d’un substantiel accroissement du port du voile intégral dans certains territoires. Il suffit de se promener sur certains marchés au-delà du périphérique pour constater le phénomène, qui ne semble pas reculer. Je pense que ce serait une erreur de penser que l’augmentation de ce fait tient au vote de la loi. Je pense au contraire que c’est la non-application de la loi qui donne le sentiment que certains quartiers se voilent « intégralement ».
Ce phénomène est très grave, car il est en réalité la partie émergée de l’iceberg. Il exprime la résistance, après l’échec de l’installation du voile à l’école, d’un fondamentalisme identitaire, de forces obscurantistes qui cherchent par tous les moyens à grignoter subrepticement l’école, la vie sociale, les règles dans l’administration, jusqu’aux lois de l’État aujourd’hui. Il cache mal une dérive fondamentaliste dans les quartiers en difficulté, qui est nourrie par le communautarisme et encouragée dans ces territoires pour acheter la paix sociale et entretenir un vivier électoral bien commode. Le port du voile intégral véhicule un projet politique totalitaire qui confisque les libertés, et donc la démocratie. C’est un manifeste de propagande politique, celle revendiquée par l’État islamique, en totale contradiction avec nos valeurs.
D’ailleurs, c’est cette dangereuse dynamique religieuse qui nourrit aussi le djihadisme qui fait que de jeunes Français des villes ou des campagnes, mêmes convertis, partent rejoindre les rangs de l’État islamique pour commettre des attentats sanglants dans leur propre pays. La burqa n’est que le reflet de la montée d’un fondamentalisme identitaire contraire à l’esprit du progrès qui a modelé le visage de la France, où l’émancipation de la femme a joué un rôle essentiel. Le port du voile intégral est choquant, car il est le symbole d’un mépris complètement assumé, voire revendiqué à l’égard de la femme. Si mon engagement politique s’est tourné aujourd’hui vers le parti Les Républicains, c’est justement parce que je suis convaincue que la liberté, l’émancipation et l’égalité sont des valeurs qui n’ont hélas plus leur place ailleurs.
Comprenez-vous le point de vue de ceux qui considèrent qu’en interdisant systématiquement le foulard dans les écoles et dans les services publics, on a crispé le débat et finalement radicalisé les points de vue ?
Suite aux conclusions de la commission Stasi, créée par Jacques Chirac en 2003, et à la mobilisation d’associations comme Ni putes ni Soumises, une loi sur les signes religieux dans les écoles publiques a été adoptée en 2004. Elle dispose que « dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit ». Et ce, toutes religions confondues. Aujourd’hui, je constate que la loi ne fait plus débat. Il n’y a plus de conflits à l’école, et les cas restent très marginaux alors que ce phénomène était en train de s’amplifier à la fin des années 1990. On est donc loin d’avoir radicalisé les points de vue. Même ceux qui s’étaient opposés à sa discussion en 2003 ont admis son « efficacité » en termes d’apaisement et de clarification dans les établissements scolaires. Par ailleurs, certains pays comme la Grande-Bretagne ou le Québec, qui disposaient d’une législation très libérale sur le sujet, débattent aujourd’hui sur la restriction des signes religieux à l’école et reviennent sur les fameux « accommodements raisonnables ». C’est dire la pertinence de la loi.
Mais ce que je retiens, c’est que la crispation des points de vue n’est rien à côté de toutes ces filles que la loi a protégées. La loi de 2004 leur a permis de résister aux diktats masculins dans notre société et face au poids du patriarcat dans certains de nos quartiers. Certains, aujourd’hui, veulent remettre en cause cette loi et veulent faire pénétrer la religion au cœur de la sphère publique en prétendant que c’est la laïcité même qui les y autorise, la liberté permettant d’afficher son appartenance communautaire religieuse. Tous ces débats nous montrent que la laïcité est un processus inachevé qui évolue face aux défis nouveaux qui la testent et la menacent.
Il faut répéter ici que l’expression des croyances s’arrête là où les principes de neutralité et de laïcité doivent s’appliquer. Il ne saurait y avoir dans notre République des tolérances pour les revendications à caractère religieux dans les écoles, dans les hôpitaux, dans les prisons ou dans l’armée. L’école de la République, c’est aussi un pilier de la laïcité, génie de la République française qui a accouché d’un État neutre, au-dessus des convictions particulières des individus, qui doivent être néanmoins garanties. En fissurant ce rempart contre l’intégrisme que constitue la loi de 2004, c’est l’école républicaine que l’on abattrait à coup sûr.
Le discours des fondamentalistes musulmans profite de nos lois interdisant le port des signes religieux. Il s’en sert pour nourrir chez les pratiquants le sentiment de rejet et d’exclusion. Ne faudrait-il pas mieux assouplir nos positions, et permettre ainsi aux Français de confession musulmane de se sentir à leur place dans la nation, tout en pratiquant sereinement leur culte ?
L’immense majorité des Français de foi musulmane pratiquent leur religion sereinement et tranquillement dans notre pays. Dans leur très grande majorité, ils pratiquent une religion sécularisée qui n’implique que la sphère privée. Cette majorité silencieuse vit sa foi chez elle et est en accord avec les lois en vigueur dans notre pays. Les terribles attentats qui ont frappé la France en 2015 ont été dénoncés en masse, par ces Français musulmans. Pour afficher leur attachement à la France et leur détermination dans la lutte contre le terrorisme, de nombreux courants de l’islam français se sont mobilisés en signant par exemple le Manifeste citoyen des musulmans de France.
Ils sont très conscients qu’une image très négative d’un islam associé à l’islamisme et au terrorisme ne peut que nourrir la défiance et la suspicion des Français « de souche », qui se tournent de plus en plus vers le vote extrême. Ils n’ignorent pas que nos lois interdisant le port de signes religieux sont un rempart protégeant notre contrat républicain et social des assauts répétés contre la laïcité. La burqa est le fait d’une minorité agissante devant laquelle il ne faut pas céder au nom d’un relativisme culturel. La République doit être ferme et leur opposer le respect de la loi et de la laïcité dans notre pays.
Les musulmans de France n’ignorent pas non plus qu’une minorité très active cherche à imposer une logique d’affrontement et d’enfermement communautaire, pour créer la division. C’est ce que l’on appelle la Fitna, analysée par Gilles Kepel, cette discorde divisant la communauté musulmane, et qui oppose les modernes désireux de s’intégrer dans la démocratie aux anciens, souhaitant l’instauration d’un État islamique transnational.
Je tiens ici à souligner que ce combat n’est pas spécifiquement français, mais qu’il a une portée universelle et qu’à chaque fois, ce sont les principes universels de liberté, d’égalité et de dignité qui sont rappelés. C’est sur ces mêmes principes que les régimes réformistes et modernisateurs issus des processus d’affirmation nationale avaient prôné le dévoilement des femmes à la fin du XIXe siècle. Je pense au discours de Mustapha Kémal Atatürk, fondateur de la République laïque de Turquie, qui le 27 août 1925, évoquant le voile, déclara avoir vu « des femmes qui mettent un bout de tissu, une serviette ou quelque chose de ce genre sur leur tête pour cacher leurs visages, et qui tournent le dos ou s’accroupissent sur le sol lorsqu’un homme passe auprès d’elles. Que signifie ce comportement ? Messieurs, la mère et la fille d’une nation civilisée peuvent-elles adopter ces étranges façons, cette posture barbare ? C’est un spectacle qui couvre la nation de ridicule. Il faut y remédier sur-le-champ. » Je veux aussi citer l’Iran, qui, en 1936, a interdit purement et simplement le port du voile pour les femmes, comme le port des habits religieux pour les hommes.
C’est encore en s’appuyant sur ces principes que des femmes et des hommes luttent contre l’obscurantisme et le fanatisme. Je veux encore citer l’exemple de Taslima Nasreen, militante des droits de la femme et de la laïcité au Bangladesh. Je veux rappeler aussi le combat des femmes algériennes ou iraniennes qui viennent de braver courageusement l’interdit en postant sur Facebook des selfies sans le voile islamique obligatoire, pour revendiquer leur liberté de choisir.
Après l’interdiction du niqab en Égypte par Al-Azhar, au moment où la Tunisie a inscrit dans sa constitution la séparation entre l’État et la religion, nous baisserions les bras ? Au moment où le monde arabe veut se débarrasser de ses chaînes, nous, avec notre histoire, notre singularité et notre vocation à l’universel, nous reculerions face aux barbares ? Plutôt que reculer, ayons le courage politique de résister. Plutôt que d’assouplir nos positions, nous devons rappeler sans arrêt qu’en France, fille aînée de la République et jadis fille aînée de l’Église, depuis le baptême de Clovis, l’adhésion pleine et entière à notre corps social est aussi indissociable du primat des lois républicaines sur les lois religieuses, et que cette singularité est devenue consubstantielle à notre identité.
Si la République n’est pas le refus des religions et qu’elle doit défendre la foi, elle doit le faire aussi loin que celle-ci ne se substitue pas à la loi. Car l’histoire nous a souvent montré que le masque de la foi ne dissimule aucune vérité et que le radicalisme religieux, qui interdit l’appartenance nationale, peut conduire à la violence. Hier, la République laïque est parvenue à intégrer les masses catholiques qui lui étaient extrêmement hostiles et Napoléon a accéléré l’assimilation des juifs. Aujourd’hui, c’est au tour de l’islam, qu’on a trop longtemps enfermé dans des caves, d’être reconnu par la République pour enfin assurer l’équité cultuelle entre les religions.
En 2006, l’Allemagne avait entamé un dialogue soutenu avec les représentants de musulmans et mis en place une conférence allemande de l’islam en traitant de l’égalité entre les sexes, de la prévention de l’extrémisme et de la radicalisation. Dans la même veine, pourquoi la République française ne prendrait-elle pas l’initiative d’organiser une assemblée de notables musulmans laïques et religieux, à l’instar de celle que Napoléon convoqua en 1806 ? Loin de vouloir « gallicaniser » l’islam, comme Charles VII l’avait fait en son temps avec le catholicisme, il s’agirait de soutenir un islam de France pour enfin définir ce qui est négociable ou non dans la République.
Enfin, inscrire dans le marbre une charte de la laïcité dans la Constitution, à l’instar de celle qui orne désormais les murs de nos écoles, ne me paraîtrait pas incongru. Je pense que cela devrait faire partie des débats que nos parlementaires auront à mener dans quelques jours.
Non madame Nadia Hamour, le voile est issue d’une idolâtrie pour la Déesse Astarté dans une des quatre région que forme l’Iran d’aujourd’hui. Il était question que chaque femme mariée ou non devait faire l’amour avec n’importe qui dans les bois entourant les tempes d’ Astarté. Les femmes de la noblesse se sont dit qu’il n’était pas possible d’être reconnu de cette façon là, et ont décidées de se voiler.
Non, M. michelm.m, il ne s’agit pas de l’origine du voile, dont nous nous moquons pertinnemment, apprenez à lire et enlevez vos oeillères: il s’agit du voile en tant que SYMBOLE DE L’OPPRESSION DES FEMMES PAR LE MONDE MUSULMAN ARABISANT. Il y a 10 ans encore, les femmes musulmanes ne le portaient pas … cette coutume stupide qui n’est même pas inscrite dans le coran, contrairement aux affirmations de ceux qui veulent justement soumettre les femmes en les enveloppant complètement physiquement et symboliquement s’est établie progressivement tout au long des années avec le développement du politiquement correct et de la tolérance envers les soi-disant « ghettoisés », ghetoisés par eux-mêmes, soit dit en passant !
Pour nous les femmes qui nous sommes battues pour notre liberté et le droit – entre autres – de porter ce que nous voulions, il est indéniable que ce symbole doit disparaître.
Et comme je vous le disais plus haut: on s’en moque de connaître son origin, ce
… fausse manip, pardon : je continue: on s’en fout de connaitre l’origine du port du voile, qui n’est ici pas le sujet, mais ce à quoi il sert actuellement.
Vous ne réagiriez pas de la sorte si vous faisiez partie de la moitié de la population mondiale, plutôt dans les 54 %, opprimée pendant des siècles à cause de son sexe et qui a réussi à se libérer de certaines contraintes sociales en luttant contre le sexisme ordinaire, dont le voile n’est qu’une manifestation extérieure. De même, que diriez-vous si on vous obligeait à porter un voile pour d’obscures raisons?
Lutter contre les oppressions faites aux femmes n’a pas de couleur politique !!! VOUS N’ETES QU’UN SALE MACHO, C’EST TOUT !
Astarté, Allat…Les statues qu’ils s’empressent de détruire afin de fomenter le mensonge suivant :
Nous Arabes, n’avons jamais été idolâtre la religion musulmane monothéiste est issue d’Ibrahim notre père et son pro pète Mot a Merde a diffusé son message, et donc nous n’avons jamais été des idolâtres jusqu’à la venue du puant pédéraste et assassin Pro pète Mot a Merde qui pue le bouc (A là va boire) Ça va lui rincer la gueule.
Le voile est l’oppression de la femme c’est une camisole que leur impose les crétins et c’est aussi un drapeau afin de dire a tout le monde : on est là et on va vous emmerder, ce qu’on a pas pu faire par les guerres envahir l’Europe : avec les Turcs … etc, on le fait quotidiennement avec la complicité de vos élus corrompus par l’argent du Qatar…
Elles en ont rien à fiche du voile et de la burka .
Les femmes qui se déguisent ainsi en France sont des bras d’honneur qu’elles nous font et elles le savent très bien .
Une bonne remise à niveau sur la laïcité doit être fermement mise en action immédiatement .
PAS DE VOILURE , PAS DE CHEMISE DE NUIT ET BABOUCHES , PAS DE BARBUS .
TOUS CES ACCOUTREMENTS POURRONT ÊTRE PORTES POUR LE JOUR D’HALLOWEEN OU DANS LES TRAINS FANTÔMES .
En tous cas pas de dictature en France et tous ces guignoles nous insultent et ils en sont fiers .
@ Fanny 2 et 3.
merci je sais lire et je n’ai pas d’œillères. Vous connaissez l’adage; « qui peut le plus peut le moins »?
C’est ce que j’ai fait. Ce sont les hommes qui ont forcés les femmes à cette coutume dépravante. Elle se sont voilées, oui c’est une oppression, je n’ai jamais dit le contraire. Mais puisque vous le prenais ainsi je vous donne une origine Toraïque, « Yéhouda se tourna vers une femme voilée pour avoir un commerce avec qu’elle… » Il s’agit ici d’une prostituée. (le voile).
Ce que je veux dire c’est que le voile comme ci ou comme ça avec ou non un « politiquement correcte » j’en ai rien à battre. Ce que je vois est la même chose, et cette chose est un bout de chiffon qu’on met sur un humain pour l’oppresser.
Ma théorie est la suivante, le muzz voile sa bonne femme parce qu’il sait comment ces chient regarde une femme, peut importe la nationalité de cette femme, il ne voit qu’un trou. Lui veut bien mater une nana, lui c’est pas grave. Ce qu’il ne veut pas c’est qu’un autre regarde sa femme avec des idées tordues comme lui en a.
Faut pas vous tromper de cible, je n’ai strictement rien à voir avec le pourcentage que vous définissez. Et ne croyez pas que je sois aveugle.
Pour reprendre le début de mon poste, je voulais dire que l’origine du voile et de son oppression ne remonte pas à 10 ans.
Voilà chère Fanny, j’espère avoir été un peu plus clair.
@Pinhas 5. Par contre je suis absolument d’accord avec Pinhas.
5 @ Pinhas
mème avis !
voilé sa chevelure avec un foulard par pudeur intime est une chose !
se déguisé en folle, pour dire nike la France est un autre sujet ?
mais les Français ne sont pas naif, mème si ils sont un peut a l’ouest devant les évènements actuel ! quand le vent va tourner, les agresseurs seront reconnu et prendront la fuite ou se mettront au plis !
les campagnes de France sont très vaste et les Français très nombreux, si ceux qui croyent que se regrouper en nombre dans les grandes villes et banlieues et qui s’affiche comme des conquérants, vont déchanter très vite !!! patience ! patience !
@YEHOUDA.
Beaucoup de gens ne connaissent pas les Français. Ainsi fin du 19e siècle des immigrants Italiens ont passés la frontière pour venir chercher à manger. Il y ont trouvés la mort. Les Français de cet époque avait fait un pogrome sur eux.
Les Arabes ne se rendent pas compte et c’est t’en mieux, car le jour n’est pas loin ou dans les campagnes ils vont ressortir les faux, les fourches, les fléaux, et autres grands couteaux. Et ils feront un massacre, et tout les Hollande et Valls Taubira et leurs sbires ne pourront rien faire…
La coupe est déjà pleine depuis longtemps. Je pense que les choses bougeront après les élections de 2017. Ou ça passe, ou…
9 @ michelm.m
bien sur ! cela ne fait aucun doute, si tous ces fouteurs de merde croient que la France est déjà à eux, ils peuvent se mètre le doit dans l’oeil et bien profiter encore du peut de tempt qui reste, selon la bonne volonté de nos 30 ans de politique ! les caisses sont vides! et le moral des Français qui se sentent en permanence indésirable dans leur propre pays, ainsi qu’à l’étranger, commence à reculer et a chauffer !
Ben alors, elle est passé où celle qui me prends pour un sale macho ??? Moi qui au contraire défend les les femmes !
@michelm.m 6. » Yéhouda se tourna vers une femme voilée pour avoir un commerce avec elle… » Il s’agit ici d’une prostituée. »
En effet le voile intégrale était porté par les prostituées afin de ne pas être reconnue par le voisinage .
C’est ainsi et pas autrement .
Sauf que les incultes se serve de ce voile pour nous bander les yeux et l’esprit .
D’autres , les soit disant religieux de mes deux enferment leur femmes dans cette prison pour empêcher d’autres yeux que les leurs de se poser sur elles.
Je parle de ce qui se passe en France .
LA FRANCE VA SE RÉVEILLER APRÈS 2017 .
@Pinhas 12. Oui, c’est ce que je voulais expliquer à FANNY…. Et je me suis fait insulter. Bref c’est rassurant qu’il y est des gens qui me comprennent ^^.