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Juifs et musulmans : un parallèle inacceptable !


Juifs et musulmans : un parallèle inacceptable !

CHRONIQUE

Pierre-André Taguieff : « La symétrie entre islamophobie et judéophobie relève de l’escroquerie intellectuelle et morale »

Edwy Plenel publiait en 2015 un essai intitulé « Pour les musulmans », tentant en quelque sorte d’imiter Zola qui, deux ans avant le célèbre « J’accuse » de l’Affaire Dreyfus, avait publié dans le Figaro un article intitulé « Pour les juifs ».

Plenel compare la situation des musulmans de France à celle qui prévalait pour les Juifs dans les années 30. Il considère que la question de l’islam aujourd’hui est le pendant de la Question juive d’hier. En fait, pour les gauchistes, l’antisémitisme chrétien traditionnel a été remplacé par l’islamophobie et les musulmans sont ainsi devenus le nouveau bouc émissaire.

Il est à déplorer que Plenel ne soit pas le seul à se risquer à de telles comparaisons: c’est une vision que partage toute la gauche, incluant les juifs gauchistes. C’est d’ailleurs celle de Ilan Halevi, auteur de Islamophobie et judéophobie. L’effet miroir, pour qui ces deux concepts sont deux frères jumeaux, deux frères siamois.  Esther Benbassa abonde dans le même sens dans La République face à ses minorités

Bien sûr, on comprend : la gauche a besoin des musulmans pour survivre. Et les musulmans ont besoin de la gauche pour les soutenir dans leurs revendications. Mais de là à comparer les musulmans aujourd’hui avec les juifs des années trente, c’est une ligne rouge à ne pas franchir.

Comment rester indifférente à de telles inepties? Alors, nous répondons avec la formule qu’on ne cesse de nous seriner : « Attention! Pas d’amalgames! » Mettre le signe mathématique = entre ces 2 concepts relève, comme l’a dit Pierre-André Taguieff, « de l’escroquerie intellectuelle et morale ».

Islamophobie et judéophobie : une comparaison boiteuse

Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde », disait Camus.

Comme la terminologie est importante, le terme de « judéophobie », forgé par Léo Pinsker en 1882, nous semble préférable à celui d’antisémitisme car il a l’avantage de bien dire ce qu’il veut dire.

Islamophobie et judéophobie : deux concepts qui ne sont pas comparables.

Les points communs

  1. Le suffixe « phobie » qui désigne la peur. Peur du juif, peur du musulman. Pour Le Grand Robert, dans son édition 2015, l’islamophobie renvoie à l’« Hostilité envers l’islam, les musulmans » et la judéophobie, à l’« Hostilité systématique à l’égard des Juifs ».
  1. Acquis ou innés? Islamophobie et judéophobie ne sont pas innés, mais acquis. D’aucuns prétendent que l’antisémitisme est inné, ce contre quoi je m’insurge car convaincue que, comme l’affirment les existentialistes, « l’existence précède l’essence », j’en conclus qu’on ne naît pas judéophobe ou islamophobe, MAIS qu’on le devient.

Les divergences

  1. Les faits : Juifs et musulmans se plaignent d’être victimes pour les premiers d’actes antisémites et, pour les seconds, d’actes islamophobes. C’est vrai dans les deux cas. Les chiffres parlent d’eux-mêmes

– Il y a en France 500.000 juifs. En 2014, on a comptabilisé 851 actes antisémites sur le territoire français, chiffre fourni par Service de Protection de la Communauté Juive (SPCJ). En 2015, une légère baisse : 806 actes et menaces.

– Il y a en France 5 millions de musulmans (NDLR: 12 millions selon Martine Aubry). En 2014, ils ont été victimes de 133 actes islamophobes. Ce chiffre est fourni par l’Observatoire national contre l’islamophobie, créé en juin 2011 et affilié au Conseil Français du Culte Musulman (CFCM). En 2015, en raison des attentats de janvier et de novembre, le nombre d’actes et de menaces antimusulmans a triplé pour s’établir à 429.

Ces chiffres appellent toutefois quelques commentaires concernant la proportionnalité.

La disproportion Si tous les médias insistent sur « le record d’actes antimusulmans » en 2015,  et s’ils se plaisent à souligner par opposition que les actes antijuifs connaissent une baisse de 5%, il n’en demeure pas moins que la comparaison n’est pas logique.

Car ce qui frappe avant tout, c’est la disproportion entre actes antimusulmans et actes antijuifs : les Juifs étant 10 fois moins nombreux que les musulmans, on aurait dû avoir en 2014 soit 13 actes anti-juifs soit 8510 actes antimusulmans. Et en 2015, les actes et menaces islamophobes auraient dû atteindre le chiffre de 8060 actes!

Donc comparer la situation des juifs en France aujourd’hui à celle des musulmans est déjà une comparaison boiteuse. À plus forte raison avec celle des juifs des années trente ! Une telle comparaison nous fait dire qu’on envie le juif jusque dans sa souffrance.

Ces chiffres à eux seuls permettent d’avancer que, s’il y a une communauté dont la situation aujourd’hui est similaire à celle qu’ont vécue les Juifs dans les années 30, c’est bien la communauté juive.

  1. La nature des manifestations islamophobes et judéophobes

– Les chiffres : Les concepts judéophobie et islamophobie ne peuvent être comparés parce que les manifestations sont de nature différente.

Sur les 429 actes et menaces islamophobes répertoriés en 2015, on compte 325 menaces (menaces de mort, insultes, etc.), tandis que les passages à l’acte (attaque des lieux de culte et autres, brutalité physique) sont au nombre de 104.

Sur les 806 actes et menaces judéophobes, on compte 483 menaces tandis que les passages à l’acte atteindraient le chiffre de 323 soit le double des actes islamophobes.

Alors, quelle communauté présente une analogie avec celle des Juifs des années trente? Les chiffres ne répondent-ils pas à la question?

– Les autres différences :

– Les auteurs des menaces et actes antijuifs sont surtout des musulmans. Les juifs ne s’attaquent pas aux musulmans.

– Les actes antimusulmans concernent essentiellement des bâtiments (mosquées, centres culturels, etc.). Les actes antijuifs portent sur la personne elle-même.

– Même dans le type de menaces proférées, il existe une différence notable : les Juifs sont toujours menacés de mort et ce même au cours de certaines manifestations de masse qui se sont déroulées au cri de « Mort aux juifs ». Les menaces concernant les musulmans se limitent à des tags ou à des graffitis.

Alors, sont-ce les actes antimusulmans ou les actes antijuifs qui évoquent pour nous les années trente? Au vu des différences sus-citées, la réponse nous semble évidente.

  1. Les origines

La judéophobie  Elle a toujours fait partie de la culture dominante. Elle n’est pas, contrairement à ce qu’on laisse entendre, l’apanage des nazis.

Certes, les actes anti-juifs aujourd’hui sont essentiellement le fait de musulmans. Est-ce à dire que l’antisémitisme chrétien a été éradiqué? Nenni, point du tout! Il a opéré un déplacement : au lieu de s’attaquer aux juifs, on s’attaque maintenant à Israël. L’antisioniste refuse aux juifs le droit d’avoir un État? N’est-ce pas un acte qu’on peut qualifier de judéophobe?

 

On en veut aux juifs parce qu’ils sont juifs. Leur religion, même s’ils ne la pratiquent pas, même s’ils se sont intégrés parfaitement à la culture du pays d’accueil, voire même assimilés, est à l’origine de la haine qu’on leur voue,  une haine telle qu’on en arrive à vouloir les éradiquer de la surface de la terre.

Cette haine du juif prend naissance dans la famille : on inculque à l’enfant, dès son plus jeune âge, une véritable hantise du juif. On le lui dépeint comme un être horriblement laid, avec un gros nez, des doigts crochus, etc. Autrement dit, pour justifier la judéophobie, on invoque une seule raison : l’horreur physique. C’est d’ailleurs ce qu’écrivait Zola dans « Pour les juifs » : «(…) l’horreur physique est une bonne raison, la seule raison même, car il n’y a rien à répondre aux gens qui vous disent : « Je les exècre parce que je les exècre, parce que la vue seule de leur nez me jette hors de moi, parce que toute ma chair se révolte, à les sentir différents et contraires ». Plus tard, à l’horreur physique viendra s’ajouter l’image du juif calculateur et auteur d’un nombre incalculable de complots. Donc, comme on peut le constater, cette haine se nourrit de préjugés, de mythes, de clichés. À tel point qu’on peut être antisémite sans jamais avoir vu un juif!

  1. L’islamophobie Elle n’a jamais été dans la culture européenne, elle est un phénomène du XXIème siècle, suite aux attentats du 11 septembre 2001. L’islamophobie n’est pas, comme le prétend Ilan Halevi, le « tardif avatar » de l’antisémitisme. L’islamophobie n’est pas venu, comme le laisse entendre Plenel, occuper l’espace laissé vacant par l’antisémitisme pour la simple et bonne raison que c’est l’antisionisme qui a pris la place de l’antisémitisme.

On n’en veut pas aux musulmans à cause de leur religion, on leur en veut parce que, au nom de cette religion, ils posent des actes contraires aux valeurs de la République et vont jusqu’à commettre des attentats. On n’est pas islamophobe sans raisons, on n’est pas islamophobe quand on n’a jamais vu de musulmans. D’ailleurs, si on veut accorder un certain crédit aux sondages, dans le cas de la France, on serait tentée même de parler plutôt d’islamophilie. En effet, selon une étude du centre de recherche américain Pew Research Center, publiée le 7 juin 2015, les Français, mais aussi les Britanniques et les Allemands ont, dans l’ensemble, une opinion favorable des musulmans, et ce en dépit des attentats de janvier. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le document nous apprend qu’en 2015,  76% des Français ont une opinion positive des musulmans. L’étude révèle même que la part de pourcentage des personnes se disant très favorables aux musulmans a aussi augmenté : ils seraient 25% a avoir un avis très favorable sur leurs concitoyens musulmans contre 14% en 2014.

Il faut dire que ce sondage date de juin 2015 et que 58% des actes islamophobes se sont produits après les attentats de novembre. Il semble que ces événements tragiques aient fait déborder la coupe et que l’image de l’islam se soit profondément dégradée à ce moment-là. Il n’en demeure pas moins qu’on ne peut assimiler les deux concepts judéophobie et islamophobie.

Les victimes ont-elles une part de responsabilité ?

– Les juifs : Comme la France leur avait accordé en 1791 la pleine citoyenneté, les juifs mettaient tout en œuvre pour manifester leur reconnaissance : ils adhéraient pleinement aux valeurs françaises, ils les défendaient. Loin de rejeter l’histoire de leur pays d’accueil, ils l’ont adoptée, apprise et ils en ont même tiré une certaine fierté, un peu comme si cette histoire était la leur, disons même qu’elle est devenue la leur. En outre, ils se sont appliqués à s’intégrer socialement et économiquement. Les rabbins eux-mêmes les y encourageaient. Beaucoup de juifs se sont même assimilés, persuadés qu’ainsi ils réussiraient à contrer l’antisémitisme. Qui plus est, quand les juifs des pays de l’est et de Russie, victimes d’un antisémitisme virulent vinrent s’établir en France, les Juifs français établis pour beaucoup depuis les 12è et 13è siècles s’inquiétèrent et mirent leurs coreligionnaires en garde contre le communautarisme.

Malgré cela, dans les années 1930,  l’opinion française rend les juifs responsables de tous les maux qui frappent l’Europe. Et la presse française diffuse sans restrictions l’antisémitisme.

Alors, à qui faut-il attribuer les manifestations de judéophobie? Quels actes répréhensibles les juifs ont-ils posés pour être objets de haine?

Les musulmans  Dans l’ensemble, les musulmans n’ont jamais manifesté même un semblant d’admiration pour l’Occident. La plupart revendiquent leur différence, refusent d’adhérer aux valeurs républicaines et mettent tout en œuvre pour se démarquer de la société d’accueil. À commencer par l’histoire de France qu’ils refusent d’adopter. Qui plus est, on entend dire que « Des musulmans réclament une révision de nos livres d’histoire pour y intégrer l’histoire de leur pays et de leur religion ». Et nul n’ignore que  les professeurs d’histoire ne peuvent plus parler de la Shoah dans leur cours sur la Seconde Guerre mondiale.

Quant à considérer la France comme leur patrie comme le faisaient et le font toujours les juifs, c’est hors de question. Une étude livrée par l’ancienne ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, en 2005, nous apprend qu’à la question « En cas de conflit, seriez-vous prêt vous engager pour défendre la nation? », sept jeunes de l’immigration sur dix répondent Non, deux préfèrent rire et se taire et un seulement est prêt verser son sang pour la France (Source: Le Point 13/01/2005).

Contrairement aux rabbins qui prônent le respect du pays d’accueil, de ses valeurs et de ses habitants, nombreux sont les imams qui encouragent leurs ouailles à la haine, à la violation des lois, à formuler des revendications dans tous les domaines quand ce n’est pas à commettre des attentats.

Alors,  les musulmans n’ont-ils pas leur part de responsabilité dans la multiplication des actes islamophobes? On ne peut pas même accuser la presse française de diffuser l’islamophobie comme elle diffusait, et diffuse encore bien souvent, l’antisémitisme.

Les conséquences de la judéophobie vs les conséquences de l’islamophobie

  1. La judéophobie Les juifs ont peur, peur pour leur vie, et ils se souviennent. Et ils se disent : « Plus jamais ça! ». Devant la recrudescence des actes antijuifs, ils ont peur au point de quitter la France car, justement, la situation actuelle leur rappelle en bien des points celle de l’entre-deux-guerres.

Comme dans les années trente, ils abandonnent des situations enviables, ils quittent un pays qu’ils aiment bien souvent de tout leur cœur, un pays pour lequel beaucoup ont pris les armes pour le défendre. Heureusement, il existe une différence majeure avec l’époque de la Seconde Guerre mondiale: aujourd’hui, ils ont un pays, Israël, qui les accueille à bras ouverts.

On voulait faire de l’Europe un territoire « judenrein ». Si Hitler n’a pas réussi, en revanche, il est fort à parier que la France, au rythme auquel elle se vide de ses juifs  « grâce » aux musulmans, le sera bientôt.

  1. L’islamophobie : Certes, comme les juifs, les musulmans ont peur. Mais ils ne craignent pas pour leur vie. Ils savent pertinemment que leur histoire ne s’achèvera pas par la mort de millions de musulmans comme ce fut le cas pour les juifs. Et ils ne cherchent pas non plus à s’expatrier. Ils sont en France pour y rester et ils n’en sortiront que par « la force des baïonnettes ».

CONCLUSION  Comparer la situation des musulmans en France aujourd’hui à celle des Juifs dans les années trente est totalement contraire à la raison. Deux points communs insignifiants, aucune similitude.

Mais si on croit que cette comparaison est justifiée, soit. Il faut donc pousser plus avant la comparaison. Alors, à la lumière de ce qu’ont vécu les Juifs pendant les années 30 et de ce qu’ils ont enduré sous l’Occupation, ne faudrait-il pas craindre que, sous la pression du discours islamophobe, le gouvernement français ne soit contraint d’ouvrir des camps d’internement pour les musulmans comme il le fit pour les juifs ? Ou encore que les musulmans ne soient frappés d’une série d’interdictions comme le furent les juifs pendant la guerre et qu’ultimement ils ne soient déportés vers leur pays d’origine ?

Si les musulmans partagent l’idée que leur situation est analogue à celle des juifs des années trente, ils devraient craindre qu’on ne veuille faire de l’Europe un territoire « moslemrein ». Par conséquent, les islamophiles devraient conseiller aux musulmans de France de plier bagages avant qu’il ne soit trop tard et que leur histoire qu’on dit calquée sur celle des juifs ne s’achève de la même manière. Quand on sait que 26% de la population juive française a été exterminée pendant la guerre, ne faut-il pas envisager que les musulmans puissent être également victimes dans les mêmes proportions? Imaginez donc : 13 millions de musulmans exterminés !

À moins qu’on ne soit en train de faire erreur sur la victime. Car à en juger par tous les événements et toutes les revendications des musulmans, ne serait-ce pas la France qui devrait être en droit de se plaindre ? N’est-elle pas en train de perdre son identité et d’abandonner ses valeurs, des valeurs acquises de chaude lutte ? Après tout, il nous semble légitime de poser cette question.

© Dora Marrache pour Europe Israël News

Chroniqueuse, Radio-Shalom, Montréal





Journaliste québécois, pro-atlantiste, pro-israélien,pro-occidental



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  • 4 thoughts on “Juifs et musulmans : un parallèle inacceptable !

    1. GREGOIRE

      Il y a en France 5 millions de musulmans (NDLR: 12 millions selon Martine Aubry).Compte tenu de leur pouvoir de nuisance et leur force électorale la vérité devait se trouver aux alentours de 20 millions. 40 ans d’apports au delà des 500 000 annuels invités et non invités
      .Le réveil de l’antisémitismes viscéral c’est eux renforcés par les idiots utiles achetés par les pétromonarchies qui rêvent de nous voir disparaître. Rappelez vous l’étudiante affirmant que son père pouvait acheter tous les juifs pour les brûler .
      http://www.europe-israel.org/2015/10/amira-jumaa-de-lambassade-de-france-a-new-york-veut-envoyer-les-juifs-dans-les-fours/

    2. Sarah

      La différence est encore plus flagrante au plan mondial :

      – Juifs : 16 millions, un seul état indépendant où les Juifs sont majoritaires mais avec 20% de non-juifs, qui n’expulse personne, ne persécute personne, n’interdit aucun culte et ne possède quasiment comme richesse que le travail de ses habitants.

      – musulmans : 1,6 milliards dans 56 états indépendants, d’où les non-musulmans, notamment les Juifs et les Chrétiens, sont périodiquement expulsés, persécutés et où dans certains pays tout culte, tout lieu de culte et même tout insigne ou livre religieux non-musulman est interdit et possèdent des richesses naturelles qui en font les plus riches de la planète.

      Qui persécute qui ? Qui « discrimine » qui ? Qui est à plaindre ?

    3. ZEGLANY Andeé

      Islamophobie veut dire: peur de l’Islam. Si comme moi vous avez lu le Coran, surtout les Hadiths, qui constituent le socle de l ‘Islam,et la tradition prophétique (la Sunna). Hé bien, comme moi vous aurez peur de tomber sous la coupe de cette doctrine, dont le but est la conversion de l’ humanité à l’Islam de gré ou de force,comme nous l’ avons vu en Afrique du nord, jugez plutôt:
      Celui qui a une religion autre que l’Islam, tranchez-lui la tête (Sunna, tome 2, page 391)
      Tuez celui qui quitte l’ Islam (Muslim livre 16, n° 4152)
      Ne prenez pas d’ intime chez les Chrétiens ( Coran,sourate 3, verset 118)
      Les Juifs transformés par Allah en singes et en cochons (Coran sourates 2, verset 65. Sourate 7, verset 166. Sourate 5, verset 60)

    4. Koiran Paula

      On a tué combien de musulmans pour faire l’équivalent ? Par contre, ce sont les musulmans qui tuent les juifs.

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