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En réponse à l’annonce du ministre de la Défense Moshe Ya’alon mercredi dernier concernant le terrain de 40 dunams officiellement ajouté à la région du Gush Etzion en Judée Samarie, les États-Unis ont rapidement condamné Israël.
Le terrain qui vient d’être ajouté au Gush Etzion a été acheté par le millionnaire américain Irving Moskowitz et sa femme, et donnera lieu à un nouveau village juif portant le nom de « Beit Bracha. »
L’opération a été rendue possible par Arie King, conseiller municipal de Jérusalem et directeur du Fonds des Terres d’Israël (ILF). Ce dernier a secrètement réalisé l’achat de ce terrain abandonné, qui jouxte la route 60 et qui comptait une église désaffectée.
Vendredi dernier, le porte-parole du département d’Etat américain John Kirby a condamné la naissance de ce nouveau lieu de vie juive en Judée Samarie lors d’un point de presse.
« Les États-Unis sont profondément préoccupés » par ce développement selon Kirby, qui a dit qu’il revenait à « créer effectivement une nouvelle colonie sur dix acres de terres […] Avec la légalisation rétroactive régulière des avant-postes et la construction d’infrastructures dans des localités éloignées et illégales, des actions telles que cette décision sapent clairement la possibilité d’une solution à deux Etats », a déclaré le porte-parole sous la direction de John Kerry.
« L’activité de colonisation soulève des questions sur l’honnêteté d’Israël et ne fera que rendre la réalisation d’un solution à deux Etats beaucoup plus difficile », a conclu Kirby dans une déclaration particulièrement agressive.
M. Kirby est un habitué des condamnations dirigées contre Israël. En juillet dernier, il avait critiqué l’Etat juif pour ses plans visant à démolir une construction arabe illégale dans l’ancien site de l’époque talmudique de Susya près de Hébron.
En ce qui concerne Beit Bracha, le complexe comprend 38 dunams (plus de neuf acres) de terres à proximité immédiate du « camp de réfugiés » Al-Arroub. Beit Braha est stratégiquement situé entre Hébron et le Gush Etzion, dans une bande de terre qui ne compte aujourd’hui qu’une seule communauté juive – Karmei Tzur.
Au nord et au sud du nouveau village, les terres sont toutes propriétés de l’Etat d’Israël, ce qui signifie que de futures expansions considérables de la nouvelle ville seraient envisageables, ce qui rend les Palestiniens fous de rage depuis des années. La décision de la semaine dernière sonne comme une défaite pour la constellation d’organisations pro-palestiniennes qui s’étaient mobilisées contre l’établissement d’un village juif sur cet emplacement clé.
Ces terres ont été achetées légalement, non ? Que faisaient les anciens propriétaires sur ces terres ? Et bien RIEN. Des friches. Que Baraque hussein « Ecrase »..
J’espère que le mufti Hussein Obama va en avoir une putain de diarrhée.
Une fois pour toute; il n’y a pas un seul pouce de terrain en Israël aui soit une colonie israélienne.
Ce sont tous ces villages « palestiniens » qui sont des colonies arabes.
Toute la Judée, la Samarie, le Golan font partie de la Terre d’Israël. Que cela plaise ou non c’est comme cela.
Am Israel hay.
Peut etre qu avec des centaines fe nouveaux villages hussein obama partira en fumee !
Quand des musulmans achetaient des maisons et des terrains en France, le président des US ne dénonce pas les musulmans, comme des colonisateurs de la France. pourquoi?