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Israël : Le terroriste de Dizengoff serait « émotionnellement instable » selon JPost


Israël : Le terroriste de Dizengoff serait « émotionnellement instable » selon JPost

La tuerie d’hier a été filmé par de nombreuses caméras. Les forces de sécurité israélienne connaissent l’identité du tireur (arabe israélien vivant à Wadi Ara, une ville »rebelle » pour tsahal) qui a été dans les prisons d’Israël de nombreux mois.

Le tueur avait été condamné en 2006 à une peine de cinq ans de prison pour avoir essayer d’attraper l’arme d’un soldat. L’assassin habite Wadi Ara, dans le nord d’Israël. Il a dérobé un fusil automatique à son père et c’est ce dernier qui a prévenu la police.

Selon le JPost : « Le tireur de l’attaque meurtrière qui a tué deux personnes et blessé sept autres à Tel Aviv vendredi est émotionnellement instable et non pas un adhérent de l’Etat islamique« , a déclaré à la télévision israélienne un avocat de la famille.

Sami Melhem, l’avocat arabe israélien, a déclaré que le tireur était un de ses parents, dont le père, un volontaire de la police, était parvenu à l’identifier après que la séquence de sécurité a été diffusé par les autorités.

Wadi Ara est un ancien village arabe palestinien situé 38,5 kilomètres, au sud de Haïfa qui tient son nom du cours d’eau voisin. Le village est particulièrement peu peuplé avec une population de 230 habitants.

Source JPost

*Image à la Une: photo d’illustration. Le palestinien arrêté sur la photo n’est pas celle du tueur de la rue Dizengoff







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  • 9 thoughts on “Israël : Le terroriste de Dizengoff serait « émotionnellement instable » selon JPost

    1. Jean-François Duhamel

      On est en droit de se demander ce que foutait le père, un arabe, avec un fusil automatique chez lui !
      Soyez prudents, amis Israéliens, chez un arabe, même une canne à pêche peut se révéler est dangereuse.

    2. ppp.משה ז

      C’est l’occasion de souligner en concert avec l’article venant de la presse de gôche reprise par Europe-Israël que contrairement à la stabilité psychologique des autres terroristes, celle du présent tueur est à l’opposé de ses frères de combat !

      Car de manière générale, oh combien les tueurs psychopathes recrutés par les milices islamonazies sont des individus stables et posés psychologiquement !

      Si c’est le message induit, merci, on avait compris !

    3. ppp.משה ז

      @Jean-François Duhamel,

      Le nouveau truc pratiqué par les parents des terroristes est de les dénoncés et ainsi prétendre ne pas être aux cotés de leurs terroristes d’enfants, cela dans le but à peine cachée de ne voir leur baraques être démolies par Tsahal !

      Il faut rappeler que le père du terroriste et celui qui averti avoir reconnu son fils sur les images télévisées, ce n’est pas la première fois qu’un père ou qu’un parent de terroriste dénonce un de ces fils de putes.

      Aussi, car ils savent que de toute manière, les renseignements ne mettent pas long, quelques heures en général pour les identifier !

      Pas comme en France, où, 2 mois après, ils font des rectificatifs parfois plutôt scandaleux !

    4. moreno dominique

      c’est toujours la même rengaine quand ils commettent un attentat ceux sont des déséquilibrés .Pour moi les déséquilibrés ceux sont les journaleux de merde .Bonne et heureuse année 2016 à tous les lecteurs et journalistes d’Europe Israël

    5. michelm.m

      @2 et 3 ppp.משה ז je suis d’accord avec ton analyse.

      Pour moi la solution passe par; pas d’arabes en Israel, pas de terroristes, pas de morts, etc…

    6. moka

      Moi, j appelle cela des loups solidaires car c est toujours en meute qu ils organisent les attaques terroristes musulmanes au nom d allah .

    7. MARINEL

      Un déséquilibré, comme pour l’attentat de Valence, comme HITLER, d’ailleurs c’est la technique pour excuser ces enfoirés, les bien pensants disent d’eux qu’ils sont malade, donc ce n’est pas de leur faute, ils passent de bourreaux a victimes.
      Le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt.

    8. ppp.משה ז

      Pour information :
      À l’issue de la guerre, Amin al-Husseini fut recherché par les Britanniques en tant que collaborateur et par les Yougoslaves en tant que criminel de guerre. Il trouva refuge dans la région de Constance où il fut « arrêté » le 15 mai 1945 par les troupes françaises. Le 19 mai, il fut transféré dans la région parisienne où il fut hébergé avec ses deux secrétaires dans une villa de Saint-Maur et ce dans des conditions très favorables. À titre d’exemple, il recevait ses repas d’un restaurant voisin et, plus tard, un cuisinier fut mis à sa disposition par la mosquée de Paris. La maison était placée sous la surveillance de la police judiciaire de la préfecture de police mais c’était le Quai d’Orsay qui déterminait les conditions de détention du mufti et la politique à adopter à son égard. En octobre 1945, le mufti déménagea dans la villa « La Roseraie », à Bougival, puis il changea encore de lieu de résidence. Il pouvait recevoir librement ses invités, il était autorisé à se déplacer librement.
      À plusieurs reprises, la France refusa de répondre aux demandes d’extradition de la Grande-Bretagne et de la Yougoslavie. En septembre 1945, les autorités françaises prirent la décision de permettre au mufti d’aller dans un pays arabe et la diplomatie française effectua des démarches diplomatiques auprès de ces pays afin qu’ils exigent la libération du mufti. Craignant en effet les réactions des États-Unis et de la communauté juive, la France voulait que cette libération apparaisse comme la conséquence des pressions irrésistibles des pays arabes, pressions auxquelles la Grande-Bretagne n’aurait pu d’ailleurs elle-même résister si elle avait été dans la même situation. Finalement, après avoir pu déjouer les surveillances, le mufti réussit à quitter la France le 29 mai 1946 à 11 heures, en prenant un vol régulier de la compagnie américaine TWA d’Orly au Caire, muni d’un faux passeport fourni par le quai d’Orsay et sous un nom d’emprunt

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