–
Après les évènements survenus à Cologne en début d’année, où la police a identifié 32 suspects, dont neufs algériens, le gouvernement allemand « entre en jeu » et brandit un accord déjà existant entre Berlin et Alger sur le retour des migrants sans papiers.
La chancelière Angela Merkel a plaidé mardi dernier auprès de son homologue algérien pour que les ressortissants algériens déboutés du droit d’asile en Allemagne puissent être renvoyés le plus rapidement possible dans leur patrie, arguant du nombre croissant de migrants algériens qui arrivent en Allemagne pour y séjourner de manière illégale.
Un accord censé organiser leur retour en Algérie existe sur le papier, « mais il faut faire en sorte qu’il fonctionne de manière appropriée », a déclaré Mme Merkel lors d’une conférence de presse aux côtés du premier ministre algérien Abdelmalek Sellal.
M.Sellal est toutefois resté prudent, faisant valoir qu’avant tout renvoi en Algérie, « il faut naturellement s’assurer qu’il s’agit bien d’Algériens ».
Il a aussi souligné que s’il se confirme que des Algériens ont participé aux violences du Nouvel An contre des femmes, « alors je peux vous assurer en tant qu’Algérien que ce serait inacceptable », indique l’AFP.
Les mesures à l’encontre des migrants sans papiers sont provoquées par les troubles qui ont eu lieu la nuit du réveillon du Nouvel an 2016 à Cologne. Un millier de jeunes « d’apparence arabe ou nord-africaine » y ont commis une série d’agressions sexuelles contre des femmes. Des faits similaires ont eu lieu dans d’autres villes allemandes, aussi que dans d’autres pays européens, notamment la Suède, la Finlande, l’Autriche et la Suisse.
« On ne peut pas obtenir simplement une aide et ne pas accepter le retour de ses propres ressortissants qui n’ont pas pu obtenir l’asile du moment qu’ils n’ont pas de raisons pour fuir leurs pays », selon le vice-chancelier allemand Sigmar Gabriel.
« L’Allemagne est prête à accorder un soutien économique à ces pays, mais seulement dans la mesure où leurs gouvernements feront preuve de justice et permettront l’entrée sur leurs territoires aux citoyens qui n’ont pas eu le droit d’obtenir l’asile chez nous « , a indiqué le ministre.
« On ne peut pas obtenir simplement une aide et ne pas accepter le retour de ses propres ressortissants qui n’ont pas pu obtenir l’asile du moment qu’ils n’ont pas de raisons pour fuir leurs pays« , a souligné le président du Parti social-démocrate.
La chancelière Angela Merkel a plaidé mardi dernier auprès de son homologue algérien pour que les ressortissants algériens déboutés du droit d’asile en Allemagne puissent être renvoyés le plus rapidement possible dans leur patrie, arguant du nombre croissant de migrants algériens qui arrivent en Allemagne pour y séjourner de manière illégale.
Un accord censé organiser leur retour en Algérie existe sur le papier, « mais il faut faire en sorte qu’il fonctionne de manière appropriée« , a déclaré Mme Merkel lors d’une conférence de presse aux côtés du premier ministre algérien Abdelmalek Sellal.
M.Sellal est toutefois resté prudent, faisant valoir qu’avant tout renvoi en Algérie, « il faut naturellement s’assurer qu’il s’agit bien d’Algériens« .
L’Allemagne a déjà accueilli près de 1,1 million de réfugiés en 2015. La crise migratoire actuelle semble être la plus grave depuis l’époque de la Seconde Guerre mondiale.
c’est bien mais pourquoi juste en expulser 32 ….. pourquoi pas 1 million
La Belgique a signé en 2011 un accord avec le Maroc pour renvoyer là bas les prisonniers Marocains. Fameuse blague, il faut l’accord du prisonnier ! Les musulmans, c’est plus de 45% de la population des prisons, qui voudrait quitter les prisons 5 étoiles Européennes pour retourner dans les prisons des magnifiques démocraties musulmanes ?
En échange du renvoi de ces ressortissants indésirables chez eux, « l’Allemagne est prête à accorder un soutien économique » : c’est vraiment le bouquet !
Ce pays a de l’argent à jeter par les fenêtres.
Le gouvernement Algérien a plus d’argent que l’Allemagne. Les etrangés qui arrivent en Allemagne ou France Italie Espagne, ne donnent pas tous leurs vrais identité. Quand le pays où ils immigre, demande ; Vient il de chez vous, les autorités etrangére disent non. On ne le connaît pas. Vous ne pouvez pas le renvoyer chez nous. Donc on ne peut pas le renvoyer. Aucun pays ne le veut, disant ils n’est pas de chez nous. Ils restent chez vous, en France ou Italie, Espagne, là où il a décidé d’immigrer.