–
La population, tout comme les dirigeants palestiniens, soutiennent majoritairement les violents événements actuels, qualifiés par les responsables de l’Autorité palestinienne de « soulèvement populaire » et d’ « Intifada » par le Hamas.
L’AP et le Fatah s’abstiennent de condamner les attaques au couteau ou même à l’arme à feu. Leurs responsables et médias justifient la vague actuelle de terrorisme, encensent les assaillants, rendent hommage aux « martyrs » et louent ceux qui ont survécu. Ils accusent également Israël de liquider les Palestiniens, notamment les enfants, et soutiennent qu’il projette de changer le statu quo à la mosquée Al-Aqsa.
Toutefois, malgré cette atmosphère d’incitation à la violence et les accusations de l’AP contre Israël, plusieurs intellectuels et journalistes palestiniens, y compris Hafez Al-Barghouti, ancien rédacteur en chef du quotidien palestinien Al-Hayat Al-Jadida et membre du Conseil révolutionnaire du Fatah, critiquent les attentats, notamment ceux menés par des enfants.
Ils expriment leur indignation face à l’implication d’adolescents, parfois très jeunes, dans des attaques au poignard contre des Israéliens, affirmant que ce n’est pas une affaire d’enfants et que leur enfance et leur vie doivent être protégées.
Ils accusent en outre les dirigeants des organisations palestiniennes de « commercialiser le sang des enfants », de les envoyer à la mort, de les encourager à perpétrer de nouveaux attentats et de louer et glorifier ceux qui le font.
Certains intellectuels appellent à inculquer à la population et aux jeunes les valeurs de la vie, de l’étude et du travail, en lieu et place de valeurs d’aspiration à la mort.
Certains auteurs exhortent également les Palestiniens à éviter de porter atteinte aux civils israéliens, tant pour des raisons morales que pratiques. Sur le plan moral, les Palestiniens doivent préserver leur humanité ; au niveau pratique, nuire aux civils, notamment à l’heure actuelle, cause un préjudice à la lutte et à la cause palestinienne, désormais identifiée au terrorisme mondial de l’EI. Certains appellent même à cesser ces attaques au couteau, en raison de leur absence d’efficacité et du lourd tribut payé en vies palestiniennes, et à trouver des moyens de lutte alternatifs.
C. Jacob est chercheur à MEMRI
enfin l’éveil et le courage de certaine personne influante commence a dire tout haut le génocide des enfants éduquer a tuer par le hamas et le fatah …..bonne chance car ses 2 groupes vont vous faire la peau car vous osez dire la vérité et selon EUX vous serez concidèrer comme des traitres a la cause musulmane
les médias Européen font plus de mal que les dirigent du ‘hamas et fata’h !
et après ils pleurnichent, le pourquoi du comment que des gamins veulent
tué du Juif en France ! ou ailleurs !!!
C’est bien , mais il pisse dans un violon .
Le crime et le sang ils l’ont tous dans leur ADN dés leur naissance .