Le logeur de Saint-Denis, qui a abrité plusieurs terroristes dont Abdelhamid Abaaoud après les attentats du 13 novembre, a écrit une lettre aux juges d’instruction pour assurer qu’il n’avait aucun lien avec Daech.
Jawad Bendaoud a bien l’intention de se défendre. Le logeur de l’appartement de Saint-Denis pris d’assaut par les forces de l’ordre à la recherche des terroristes en novembre a écrit une lettre aux juges d’instruction en décembre alors qu’il était à l’isolement à la prison de Villepinte, révèle L’Obs. La lettre, d’une « écriture presque enfantine », selon la journaliste Violette Lazard, fait 18 pages.
Mis en examen le 24 novembre pour participation à une association de malfaiteurs terroristes criminelle, le logeur revient sur l’interview surprise qu’il a donné à BFM, lui occasionnant une renommée nationale et beaucoup de moqueries. Jawad Bendaoud brandit surtout son innocence, assurant qu’il n’a « jamais senti d’ambiance terroriste ». « A aucun moment je me suis associé je n’ai vu de mes yeux des armes », poursuit-il.
Un meurtre « malencontreux »
« A aucun moment le mot ‘Belgique’ n’a été évoqué, soutient-il encore. Il y avait une pancarte de Paris, une carte avec des dessins d’explosion. […] Je ne savais pas que des Belges avaient participé à des attentats. Si j’avais su oui, j’aurais pu tilter. » « Jawad » assure qu’il venait de fumer du crack quand il a reçu les terroristes. Le terroriste Abdelhamid Abaaoud portait un bob et était rasé, des éléments qui, selon lui, ne permettait pas de penser qu’il était radicalisé.
Le logeur de Saint-Denis assure qu’il n’a « rien à vous de loin ou de près avec Daech » et revient sur son premier séjour en prison après avoir « malencontreusement » tué un ami pour souligner la présence de « posters de cul », et faire valoir sa vie dissolue et son goût pour la drogue, autant d’éléments contraires à la pratique de l’islam. « Je n’ai jamais prié. La dernière fois que j’ai prié, j’avais 16 ans et mon père en était la raison. »
Il mérite qu’un émissaire du Bataclan lui porte un bouquet de fleurs pour sa franchise et sa collaboration avec la police .
C’est marrant comme ils retrouvent la mémoire en prison . Peut être est ce grâce à l’odeur du bouc qui y règne .
Quant à Nous Juifs c’est une faute que nous n’aurions jamais faite .
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Jawad se met au vert, décroche du krach, se convertit à l’écologie et rédige ses « Lettres de mon bouquet misère » à paraître sous le pseudonyme d’Al Fronce Baudet.
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Petit cours de sémantique :
Djihadisme = (aller) guerroyer de toutes les façons contre les impies les infidèles. En gros se faire sauter, massacrer, violer, flinguer, brûler vif etc….
Djawadisme = c’est la partie logistique du djihadisme, la complicité, l’appui financier, matériel, hôtelier.
On est Djihadiste ou Djawadiste c’est selon le degré de haine du moment !!
Cote de la Jawad Venture, investisseur en capital-risque sur le net : https://francais.rt.com/france/14450-jawad-bendaoud-ne-veut-pas ignorer le marché de la fleur.
Quel bouffon, les juges seront vraiment des cons s’ils le relâchent. Si cela se fait, les flics vont rager, et à juste titre.