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L’homme abattu par la police devant un commissariat serait un Tunisien du nom de Tarek Belkacem. Des proches disent l’avoir reconnu. Mais en 2013, il s’était présenté à la police après un vol sous un autre nom.
Attaque dans le 18e: l'assaillant faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire https://t.co/lgGtEpwdVr pic.twitter.com/j0XVDhb7Cf
— RMC (@RMCinfo) January 8, 2016
Document BFMTV – Attaque dans le 18e: le visage de l'homme abattu par les policiers https://t.co/uIu0SDOJ4M pic.twitter.com/IvmYcjBOSl
— BFMTV (@BFMTV) January 8, 2016
#Barbès > Il n'est "pas du tout certain" que l'identité déclarée par l'assaillant "soit réelle" (procureur de la République François Molins)
— iTELE (@itele) January 8, 2016
#Barbès > "Dans la note manuscrite […] il se dit tunisien et pas marocain" (François Molins sur @FranceInter)
— iTELE (@itele) January 8, 2016
Goutte d'Or : "La lettre de revendication est signée Tarek Belkacem" @Alain_Acco #E1matin https://t.co/wxIKEVTIU5
— Europe 1 (@Europe1) January 8, 2016
Selon les informations du Monde, le texte de revendication commence par une phrase en français déclinant une kounya (surnom musulman) : « Je suis Abou… ». A la ligne suivante, il est fait mention d’une identité commençant par « Tarek B. » et, à la troisième ligne, de la ville de « Tunis ». La suite, rédigée en arabe, contient une allégeance à Abou Bakr Al-Baghdadi, chef de l’organisation Etat Islamique, et affirme que cette attaque est une réponse aux bombardements en Syrie.