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La double gifle du monde arabe contre la communauté d’Israël


La double gifle du monde arabe contre la communauté d’Israël

L’impossibilité d’une coexistence pacifique et continue entre Juifs et Arabes n’est pas à démontrer. On devrait même ne jamais avoir à en parler, s’il ne persistait cette sorte de mythe cultivateur d’un hypothétique passé de bonne entente et véhiculant l’idée qu’il suffirait en cas de crise passagère qu’un effort soit fourni de part et d’autre. Or, l’évidence de cette utopie impraticable s’attire peu de considération car nous nous arrêtons à de vieux chiffres figés.

Le mythe de l’entente parfaite

A titre illustratif, on retient souvent le quart de millions de Juifs qui vivaient encore en 48 entre l’Algérie et la Tunisie telles qu’elles existent encore au moment de l’écriture de ces lignes. Mais on ne tient pas compte qu’ils auraient été aujourd’hui près de trois millions s’ils avaient pu y rester et y prospérer. Un argument avancé par les adeptes du mythe de l’entente parfaite se retourne contre eux.

Ils soutiennent : «Bien sûr qu’il y a eu une forte baisse, si on considère précisément l’année 48, puisque c’est l’année de l’indépendance d’Israël». Cet argument n’est pas soutenu, on s’en doute bien, pour dire que tous ces Juifs auraient rejoint les frontières de la Palestine libérée de tous les jougs étrangers, mais pour «comprendre» la colère du monde arabe. Or, cette même colère est la preuve la plus flagrante de sa haine. S’il avait éprouvé de la sympathie pour ses voisins juifs, il aurait été heureux pour eux, comme chacun l’est pour un voisin qui se marie, et les aurait félicités. Ne sait-il pas exprimer sa sympathie par force distribution de makrouds ?

Une autre lapalissade doit dans cette même optique être énoncée : la notion médiatique et artificielle de la dite «violence intercommunautaire» est à sens strictement unique, car jamais une communauté juive ne s’est mise à agresser, persécuter, harceler, une communauté arabe. Il est un phénomène remarquable en ce qui concerne cette haine qui ne bouge pas depuis la nuit des temps modernes : c’est son isolement et le retrait de son contexte, comme si elle n’avait avec lui aucun lieu, du phénomène connu de l’antisémitisme.

La haine antisémite est condamnable partout, sauf de provenance arabo-musulmane

Quand un néonazi, un nationaliste, un radicaliste, se déplaçant toujours du centre vers la droite, est antijuif, les idéologies qui les identifient se retrouvent sur le banc des accusés. Si des affaires passent dans la presse, les titres tourneront autour d’une formulation du genre : «Faut-il interdire le néonazisme, le nationalisme, le radicalisme ?» – biffez les mentions inutiles.

On ne trouvera jamais un titre comme : «Faut-il proscrire l’islam?» pas même avec une notion atténuante comme «radical, fanatique, fondamentaliste». Et pourtant, cette haine est rarement ambigüe, puisque ses crimes sont systématiquement précédés de la proclamation selon laquelle c’est bien au nom de cette religion qu’ils sont perpétrés, alors que l’ont n’entend rarement – sinon jamais – un cri comme «grande est l’extrême droite» avant un crime commis au nom de cette dernière idéologie.

Pour la violence antisémite islamiste, si certaines affaires passent dans la presse, on dira : «Violences intercommunautaires, le conflit proche-oriental importé dans nos rues.» Ou alors, comme nous le traitions dans un précédent papier : «les musulmans inquiets par les débordements de la stigmatisation». On ne trouvera jamais un : «l’extrême droite inquiète d’une généralisation».

Mais revenons brièvement sur ce concept de «violences intercommunautaires» bien confortable pour un pouvoir local – européen bien sûr, puisqu’il ne reste plus assez de Juifs dans les pays sous souveraineté musulmane. Il couvre une fourberie à double-face : si le public – en l’occurrence en Occident – n’est pas dupe de la première, bien qu’elle serve de cache à une réalité qu’il est confortable politiquement de ne pas voir ; la seconde par contre, est admise comme un axiome, alors que la vérité du conflit proche-oriental n’est rien d’autre qu’un antisémitisme maquillé en revendications politiques.

La preuve de cet état de fait se retrouve dans une réticence conditionnée qui pourrait affecter une partie de nos lecteurs et les induire à considérer que la phrase qui ouvre ce texte serait obtuse, intransigeante, extrémiste, etc. On comprend donc bien qu’il existe aujourd’hui une composante de toute la diversité antisémite qui est protégée et préservée intacte, dans toute l’horreur de sa nocivité.

S’il est tout à fait évident de dénoncer le nazisme sans aucune nuance, les crimes perpétrées par les Allemands, ou les Polonais, ou les Ukrainiens, ou les collabos, ou… etc., il se trouvera toujours un objecteur pour vous remettre à votre place si vous en faites de même et dénoncez les méfaits de l’islam. Les plus déconnectés parleront même d’une religion de paix, alors que plus personne ne s’érigera en faux pour trouver que le nazisme est une idéologie à même de ramener un ordre bénéfique dans des sociétés en dérive.

Mieux : il suffit de parler du nazisme pour que tout Allemand bien élevé aujourd’hui éprouve une profonde honte et fasse tout pour que cette réputation cesse de persister ; à un point tel que le comble de l’action que fait l’Allemagne pour tenter de se racheter, c’est de s’efforcer à ne pas être raciste en accueillant sur son sol des populations certes différentes d’elle mais qui comptent parmi les plus intolérantes de la terre, et qui se mettent à refragiliser la sécurité des Juifs qui vivent aujourd’hui en Allemagne, y compris d’Israéliens mis en confiance par l’effort d’amendement allemand.

Donc, parler de nazisme devant un allemand est admissible, voire recommandable puisqu’on l’aide à se démarquer du passé peu glorieux de sa nation. Mais essayez de parler des exactions musulmanes contre les Juifs, et vous aurez droit à une incroyable levée de boucliers. Vous serez accusés de susciter des démons, d’être un fauteur de troubles et un ennemi de la paix et de l’ordre social. Le musulman reste très susceptible et il peut être dangereux de le froisser.

Cette aberration est admise d’une façon si béate que le comble aujourd’hui, c’est que les antisémites abandonnent leurs revendications «classiques» pour adopter les leitmotivs de la propagande arabe et s’en laver. Cela fait bien longtemps qu’ils ne se donnent plus bonne conscience en cherchant à venger l’enfant chrétien ou le dieu sacrifiés sur l’autel de la religion juive, mais en s’indignant pour les nouvelles victimes supposées du Juif. Et ça marche. Nous verrons que la position modérée de ce dernier n’y est pas nécessairement pour rien.

Le crime d’un bébé juif au sein de sa mère est traumatisant et condamnable ou non selon son auteur

Tous les antisémitismes sont allés trop loin, sauf l’antisémitisme arabe. C’est le seul qui soit excusable et compréhensible aujourd’hui. Tout lui est permis, et ce qui fait l’horreur du nazisme fait la légitimité des criminels musulmans.

Assassiner un bébé et ses parents alors qu’il est supposé en sécurité entre leurs bras, exécuter un père et une mère devant leur quatre enfants n’aura pas la même teneur dans la conscience occidentale d’aujourd’hui selon que l’indicible ait été perpétré dans un village de Pologne dans les années 39-45 ou dans un village en Palestine juive en l’an 15 du siècle suivant.

Poignarder un homme juif de soixante-dix ans à Natanya quand il marche dans la rue avec son épouse sera immanquablement rattaché à la culpabilité supposée d’Israël, quand un même geste à Marseille sera en but à l’incompréhension vis-à-vis d’une telle cruauté gratuite.

Tous les antisémitismes sont de la haine gratuite, sauf contre le Juif qui vit en Israël, où elle est grassement payante. Les organisations terroristes arabes qui glorifient les assassins en faisant porter leurs noms par des places ou des rues attirent l’attention qui devient pour eux bienveillante de la part de pays démocratiques qui n’oublieront jamais de leur glisser un petit chèque d’au moins quelques millions, sans se soucier le moins du monde des nombreux sans logis que comptent leurs concitoyens.

La part de responsabilité du leadership juif

L’antisémitisme dit que s’il est aussi virulent, c’est la faute aux Juifs. Cette phrase peut être fausse au premier degré et vrai au second degré. Elle est fausse car le Juif n’est coupable d’aucune des allégations formulées contre lui. Elle devient vraie dès que le Juif fait mine de reconnaître un supposé bienfondé des accusations.

Retransposons-nous dans une situation d’antisémitisme moyenâgeux sur fond de crime rituel, thème cher aux accusateurs. Imaginons un responsable communautaire juif pragmatique, modéré, pondéré, qui refuserait de rejeter en bloc le stratagème mais dirait : «Nous sommes profondément confus et choqués par ce crime rituel. Nous ferons tout pour rattraper les coupables, et nous interdisons dès à présent à tout coreligionnaire de circuler dans les quartiers chrétiens». Imaginons les mêmes dirigeants se répandant en courbettes, servilité, au chevet des sinistrés. Ridicule? Imagination par trop débordante ? Pas si sûr.

Il suffit de repenser à la réaction intempestive du bureau du porte-parole de Tsahal qui a été prise pour argent comptant, quand il a officiellement publié des excuses et que tout serait fait pour retrouver les soldats qui auraient tiré sur l’enfant que son père tentait de protéger. Et pourtant, il ne s’est pas moins agi d’une mise en scène que les accusations alors courantes plusieurs siècles auapravant. Les enquêtes et prises de position du bureau de Netanyahou qu’il faut tout de même saluer sont restées tardives et sans effet.

Toute la politique frileuse et insensée des gouvernements israéliens a sans doute joué un rôle de catalyseur dans la recrudescence mondiale de cet antisémitisme fondé sur le mythe de la nouvelle victime du Juif – sans compter le travail d’usurpation sur lequel nous nous étendions tantôt, le néo-Palestinien faisant de l’authentique un apatride confirmé, ou une horde vivant de rapine de la terre des autres, tout comme le néo-Israël avait fait de l’authentique un peuple damné et dépossédé de son identité .

 Que signifie en effet le concept des «territoires contre la paix», si on marque un tant soit peu un arrêt pour y penser? Il signifie tout simplement que la guerre permanente menée par les Arabes contre les Juifs, qu’il s’agisse des pays environnants ou des masses présentes en terre d’Israël, est imputable aux Juifs qui se seraient emparés injustement de territoires qui appartiendraient à un tiers.

Tout le bien-fondé de la souveraineté juive en terre d’Israël, la reconnaissance juridique internationale de la conférence de Sanremo, la spoliation peu après de la rive gauche du Jourdain par les Britanniques, l’invasion d’un Etat juif tout juste renouvelé qui annule de facto toute force légale au partage de 1947, partage qui accordait aux Juifs de toute façon la portion congrue, sans parler bien entendu du lien indéfectible de la nation d’Israël à sa terre, lien peu invoqué sur la scène diplomatique car il dépasse l’entendement de civilisations trop jeunes au regard d’une histoire quadri millénaire ; tout cela sera balayé d’un revers de la main par la politique de renoncement de gouvernements de petite envergure.

Car quand bien même les renoncements territoriaux seraient présentés au citoyen israélien comme une désappropriation douloureuse et nécessaire, d’un sacrifice pour la paix – et c’est le cas – ils seraient perçus à l’étranger comme l’aveu d’un exercice illégal. Et puisque le Juif est prêt à renoncer à Bethléem ou à Ariel, l’observateur moyen, dont le cerveau est engraissé par la propagande antisionisto-sémite, ne comprendra pas dans la foulée pourquoi le Juif s’entête à garder Haïfa ou Tel-Aviv.

Cette tendance ne s’est pas démentie depuis les faux espoirs qui engendrèrent le processus d’Oslo, et toute démarche se soldant par des brimades à l’encontre des Juifs n’aura jamais l’effet prétendument escompté d’une admiration de la retenue dont fait preuve l’Etat juif.

Ainsi, l’expulsion des Juifs de Gaza il y a dix ans, la destruction des maisons dans un quartier de Bethel l’été dernier, et cet acharnement à vouloir détruire une synagogue à Guivat Zéev, de même que tout gel de la construction, ne feront que dégager un double message extrêmement dangereux en même temps qu’immoral. Double parce qu’il laisse croire en une culpabilité viscérale et incurable du Juif reconnue par ses propres dirigeants, mais aussi parce qu’il pousse à l’intolérance face au fait accompli.

Les angles sont souvent arrondis quand, dans des pays libres, des entorses sont faites au droit dans sa plus stricte dimension. Ainsi, par exemple, des immigrants illégaux ou dont la présence se poursuit au-delà du délai préalablement prévu par la législation, seront légalisés rétrospectivement. Mais là, le Juif n’aura pas droit à cette considération : «Bon, mais maintenant qu’ils sont là, qu’est-ce qu’on fait? On ne va quand même pas tout anéantir?!»

Les politiciens d’Israël, en voulant montrer leur tolérance envers les autres et leur intransigeance non pas vis-à-vis d’eux-mêmes mais de minorités humiliables qu’ils désignent parmi leurs propres frères, laissent entendre au monde entier que le Juif mérite d’être châtié.

Récapitulons

La première gifle reçue par la communauté d’Israël dans ses rapports avec le monde arabe, c’est qu’il a été chassé ou contraint de partir parce que la cohabitation était invivable en raison des agressions de ses voisins ; la seconde, c’est qu’après sa reconstitution sur son propre sol, ce monde arabe, au lieu d’être à son tour prié avec plus ou moins d’insistance de limiter son expansion sur ses terres de conquête, continue de lui mener la vie dure cette fois sur son propre sol, faisant feu de tout bois : poignardant, tirant à l’arme à feu, posant des bombes ou transformant des voitures en engins de mort et fonçant sur cette population qui ne demande qu’à vivre en paix. Et cette même cohabitation nocive pour les Juifs, subie tout au long de leur exil, leur est imposée à présent chez eux.

Concernant le regard sur les oppresseurs, le fameux «maintenant qu’ils sont là» n’a jamais été autant de vigueur. Quant aux penseurs bien payés qui inversent les rôles, qui prônent que les Juifs ne doivent pas faire subir aux arabes ce que les Arabes leur ont fait subir à l’étranger, ils insultent la moindre droiture intellectuelle et morale.

Et le prolongement de cette double gifle, c’est que le monde libre ne trouve rien à redire, ni sur la haine ancienne ni sur la haine nouvelle, double-haine qu’il serait plus juste de qualifier de continue. Mais là encore, les organes de propagande nous induisent en erreur, à commencer de l’intérieur d’Israël : le site d’informations de Tsahal, disponible aussi en français, titre et soutient qu’une vague d’attentats arabes aurait débuté en octobre, faisant table rase sur les mois et décennies précédents.

 Inconsciemment, le lecteur a l’impression que la paix, le beau vivre ensemble, avait été juste avant une évidence, et tout le monde oublie que la haine n’a pas été abjurée au moins depuis les pogroms de 1929.

Inconsciemment toujours, on se demande ce qu’ont bien pu encore faire les Juifs pour mériter cette colère qui, comme précité au début de notre développement, relève toujours de la culpabilité du Juif en ce qui concerne cette forme-ci de l’antisémitisme. Et le Juif de se frapper du poing le torse, s’accusant d’avoir construit une maison, planté un olivier ou osé prier sur les ruines de son Temple. Et cette même question plus ou moins enfouie dans les inconscients explique pourquoi Husseini a échappé au procès de Nuremberg, et Arafat et les autres à toute cour pénale internationale.

Au sort des milliers d’enfants des Balkans qui n’ont pu fuir pour la Palestine, personne n’a été sensible, hormis pour un instant la Yougoslavie, et aucun procès n’a été intenté contre le mufti. Au sort des enfants de Maalot, aucun pays n’a été sensible, et aucun procès n’a été intenté contre Abbas, pas même en Israël. Serait-ce juste une erreur?

© Yéochoua Sultan pour Europe Israël News





Journaliste québécois, pro-atlantiste, pro-israélien,pro-occidental



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  • 7 thoughts on “La double gifle du monde arabe contre la communauté d’Israël

    1. Juste un passant

      « Donc, parler de nazisme devant un allemand est admissible, voire recommandable puisqu’on l’aide à se démarquer du passé peu glorieux de sa nation. »

      Recommandable non. Je suis personnellement en état d’overdose concernant le « pétainisme intrinsèque de mon pays », et n’en peux plus de voir ramener mon identité -littéralement tous les jours (si on regarde encore la télévision) – aux « heures les plus sombres de notre histoire ». La culpabilisation n’est pas la meilleure manière de se faire des amis, et il ne faut pas de même parler de l’occupation en Palestine à un Juif tous les 4 matins si on veux pouvoir construire quelque chose sur des bases apaisées.

      J’ai néanmoins compris l’enjeu du propos dans cette incapacité des musulmans à se regarder en face et ne pas systématiquement justifier leurs méfaits par l’excuse de l’Autre et de la réaction à.

      ————————-
      Sinon je ne pense pas que notre propre incapacité à les juger pour ce qu’ils sont ai quoi que ce soit à voir avec un manque de perspective ou même avec une culpabilité concernant la colonisation occidentale du monde arabe jusqu’à il y a peu. Je pense que personne ne dit rien car on a peur de ce qu’il se passera quand on enclenchera une frontalité avec l’Islam, bien conscients que nous sommes de leur manque d’égard quand il s’agit de perpétrer la violence, là où notre trop grande civilité nous a éloigné de certaines réalités de la vie et de l’histoire.

    2. Christian De Lablatinière Post author

      @ Juste un passant: votre « l’occupation en Palestine à un Juif » sort des thèses arabes mais elles ne correspondent à aucune réalité historique et pour cause: il n’y a jamais eu de « peuple palestiniens » vivant en Palestine

      Ceux que les arabes eux-mêmes dénommaient « les palestiniens » étaient les Juifs qui vivaient là depuis des millénaires.

      Le mythe arabe de la « terre de Palestine » où vivaient des arabes n’existent que dans les fantasmes et les mensonges de la propagande arabes;

      La situation et l’histoire sont bien plus complexes que cela

      Nous considérons au contraire que ce sont les arabes qui occupent une Terre Juive multimillénaire

    3. Daniel L

      @juste en passant
      Ce n’était peut être pas l’objet principal de vos propos mais ce sont bien là vos propos. Assumez ce que vous écrivez ou abstenez vous.
      Daniel

    4. Robert Davis

      Cet article est typique de l’incompréhesion des Juifs de la géo politique. L’article analyse l’affaire sous l’angle de la Justice alors que c’est un problème de RAPPORT DE FORCE. Lafontaine le disait bien « la raison du plus fort… » Pour contrer les arabes il ne faut pas cherche l’apaisement IMPOSSIBLE mais la TRANSFORMATION DU RAPPORT DE FORCE. C’st là qu’est LA SOLUTION. Le jour où les arabes de Palestine Occidentale auront été expulsés LE RAPPORT DE FORCE AURA CHANGE EN FAVEUR D ISRAEL et la paix viendra. Au lieu de cela on voit une politique exactement à l’inverse et on s’étonne que l’ue et la frace fassent des pressions de toutes sorte sur Israel pour l’afaiblir encore plus afin de permettre aux arabes de l’achever. Lafontaine a pourtant bien expliqué le phénomène mais les fous ne veulent pas sortir de leur logique nocive.

    5. Robert Davis

      « L’esprit » embrumé de juste en passant cache bien son antisémitisme si toutefois il est capable de comprendre ses propres propos fumeux le cachant. Ce qu’il veut réellement dire en somme c’est que si la France est f. il voudrait bien que Israel le soit aussi. C’est typique de la mauvaise droite car il y en a une bonne aussi.

    6. Juste un passant

      Nan mais ça va pas ho?
      Je signale qu’à mon sens, l’incapacité à réagir à l’Islam est un peu moins intellectualisable que dans l’article (d’où ma remarque sur la trop grande civilité occidentale) et vous me parlez 1) d’anti-sémitisme, 2) d’un fascisme israélien, 3) de la droite?

      Faut pas poster quand on est fatigué les gars hein.

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