Dés qu’un musulman commet un crime, les médias aux ordres le font passer pour un déséquilibré et ce, sans aucun examen psycho-médical pour le diagnostiquer. Ils ne sont pas experts agréés prés de la Cour d’Appel et pourtant ils se comportent comme tels. C’est comme s’ils cherchaient à occulter la responsabilité de l’islam dans les troubles psychotiques des siens.
Ils n’ont jamais le courage ni l’honnêteté intellectuelle de mettre en exergue les liens de causalité entre l’islam et la violence incontrôlée de certains musulmans.
Toutes les religions ont leurs intégristes mais ce n’est pas pour autant qu’ils perdent la raison pour devenir un danger public pour les leurs et la société. Jusqu’à preuve du contraire on n’a jamais vu un chrétien, un hindou ou un juif faire irruption dans son lieu de culte pour assassiner ou tenter de le faire à ses coreligionnaires.
La première question qui devrait venir à l’esprit des canetons boiteux serait tout naturellement pourquoi les mosquées sont-elles devenues au cours de ces trente dernières années de véritables chaudrons et qu’il ne passe pratiquement plus un vendredi sans qu’elles ne se transforment en brasier pour les « fidèles » musulmans ?
Ils s’y rendent vivants et en sortent les pieds devant. Pas plus tard que la journée d’hier, plusieurs attaques terroristes ont émaillé la grande prière du vendredi partout dans le monde. Téhéran, Djeddah et Paris. Sauf en ce qui concerne Paris, les canetons boiteux tricolores ont plaidé la piste d’un fou furieux déboulant dans une mosquée parisienne pour aiguiser son couteau sur ses coreligionnaires.
Au-delà de la personnalité de l’auteur, c’est le lieu lui-même qui devrait les interpeller. Connu pour être un repaire de la peste salafiste française. La mosquée Omar de la rue Jean Pierre Timbaud dans le XI e arrondissement parisien n’est pas un cercle des collectionneurs philatélistes, il s’agit d’un foyer important de l’islam de France, avec 1200 places et du radicalisme musulman décrit par les enquêteurs français comme « une plaque tournante du salafisme radical » (http://www.20minutes.fr/societe/1409017-20140623-paris-mosquee-rue-p-timbaud-ur-filiere-envoi-djihadistes)
C’est moins le moins le profil « psychiatrique » non-avéré de l’auteur de l’attentat raté qui pose question que la cible elle-même, connu dans le passé (?) pour les prêches haineux, racistes et antisémites d’un de ses imams( http://atheisme.org/timbaud.html). Il n’en demeure pas moins que l’on ne peut balayer d’un seul coup de plume le mobile terroriste qui aurait motivé son acte. Ils ne peuvent pas être terroristes ailleurs et fous à lier et loups solitaires en France.
C’est la énième attaque terroriste qui vient de frapper la France au cours de ces dix derniers mois. L’hypothèse de la piste terroriste n’a rien d’utopique ni d’invraisemblable. Il n’est pas exagéré de penser qu’il peut très bien s’agir d’un règlement de comptes entre radicaux musulmans qui sont se vouent une haine farouche entre eux comparable à celle des chiites et des sunnites.
On ne trompe pas les Français avec la grosse couleuvre du déséquilibré musulman, on doit leur dire la vérité sur les liens intrinsèques entre l’islam et le terrorisme.
La France est gagnée chaque jour par la psychose de la terreur islamique. Plutôt que de l’endiguer on l’occulte jusqu’au jour où les Français seront totalement inhibés, il sera alors trop tard pour sonner la charge contre l’islam.
Salem Ben Ammar