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Sous ce titre quelque peu équivoque, se cache une belle histoire que n’aurait pas reniée la fée Clochette des contes de notre enfance.
On peut comprendre que cette aventure ait été saisie au bond par différents médias en mal de la moindre bouffée d’air pur dans une actualité devenue par trop irrespirable.
L’histoire dont il est question raconte les aventures d’un gentil bulldog français nommé « Simba » sauvé par un ami des bêtes, pilote de son état.
A l’exception de quelques passagers pressés, une poignée d’hommes (et de femmes) d’affaires impatients, tous les passagers du vol « Air Canada » reliant Tel-Aviv à Toronto avaient approuvé la décision prise par ce commandant de bord sérieux, « humain » et efficace…
Quelques minutes plutôt, notre pilote avait décelé un problème de chauffage dans la soute de l’appareil.
Une hôtesse l’avait alors mis au courant de la présence de Simba, un bulldog français embarqué dans la soute de l’appareil au milieu des valises, sacs et autres bagages.
Le pilote avait rapidement pris conscience que sans une intervention quasi-immédiate, le chien était en grand danger de mort.
Après avoir vainement tenté de réparer et sans demander l‘avis de quiconque, il avait alors décidé de se détourner et atterrir au plus vite sur Francfort pour sauver Simba d’une mort certaine.
Il est facile d’imaginer la joie et la reconnaissance de Mr. Germain Kontorovicht, le propriétaire de Simba lorsqu’il serra l’animal contre lui.
- « Je ne vos remercierai jamais assez déclara-t-il,!
Même si cela peut vous paraitre excessif, Simba est tout pour moi, exactement comme un enfant ! »
Et tous de commenter que tous comptes faits, ce n’est guère payé que ce bonheur simple contre un retard de 1 h 15 sur l’horaire prévu.
Et tous d’entendre le porte-parole de la compagnie Air Canada s’en ouvrir auprès de : CNN Peter Fitzpatrick
Et tous de voir s’afficher le mot « FIN » après cette remarque d’une grande sagesse :
« Tout est bien qui finit pour le mieux dans notre drôle de monde »…
© Bely pour Europe Israël News