Le site archéologique de Bet She’arim, au nord d’Israël, a été inscrit dimanche sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
C’est en la qualité de « haut lieu du renouveau juif » que l’Organisation des Nations-Unies pour l’Éducation, la Science et la Culture, a enregistré la Nécropole israélienne.

La décision d’inclure Bet She’arim a été prise par 17 pays votant « pour » et quatre pays (le Liban, le Qatar, l’Algérie et la Malaisie) votant « contre ».
Le Comité du patrimoine mondial examine les propositions d’inscription de 37 sites sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO lors de sa 39e session qui se tient actuellement au Centre international de conférences de Bonn en Allemagne, sous la présidence de Maria Böhmer, ministre adjointe aux affaires étrangères et députée au Bundestag.
Ce site, situé au somment d’une colline de Galilée, se compose de centaines d’anciennes tombes juives taillées dans la roche. Il est le neuvième site israélien à être enregistré sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Bet She’arim a servi de cimetière principal – en dehors de Jérusalem – après la révolte juive contre les Romains au IIe siècle après Jésus Christ.
Cette année également, la ville de Suse en Iran, a été classée.
« Située dans le sud-ouest de l’Iran, dans la partie inférieure des monts Zagros, elle comprend un ensemble archéologique s’élevant sur la rive orientale de la rivière Chaour, et le palais d’Ardeshir, sur la rive opposée du Chaour. Les monuments architecturaux révélés par les fouilles comprennent notamment des structures administratives, religieuses, résidentielles et palatiales. Suse présente plusieurs couches d’établissements urbains superposés, selon une succession continue s’étalant du Ve millénaire avant Jésus Christ au XIIIe siècle après Jésus Christ », peut-on lire sur le site de l’UNESCO.
Dans le judaïsme, c’est dans cette ville que Haman élabore un plan diabolique pour exterminer tous les Juifs perses, déjoué par la reine Esther. L’histoire est racontée dans le rouleau d’Esther et commémorée chaque année à Pourim.
l’unesco met des sites Israeliens au titre de patrimoine mondiale , et ne reconnaissent pas la Judée Samarie comme patie intégrante d’Israel
Toute ces preuves que les Juifs sont là depuis des millénaires et ils veulent un retour aux frontières d’avant 67
Nous marchons sur la tete
bravo de vouloir protèger les trésors du passé , bientôt seul Israel aura sauver ses trésors…… même l’association des frères musulmans d’égypte voulait faire sauté les pyramides
Il faut faire la promotion de ce site exceptionnel de Beit She’arim pour marquer la mémoire juive en Israël, pour si un jour des barbares veulent l’effacer, il nous resterait assez d’informations et des photos dans le monde, de par son classement par l’UNESCO.
Revenant sur ces temps historiques tourmentés et si précieux sur le plan archéologique et historiques, je souhaiterais que les élites de ce peuple laissent la place à ceux qui font preuve d’intégrité et de compétence, l’objectif étant de donner une vraie force de combat d’unité pour le bien de tous et de cet Etat qui doit encore affirmer sa singularité comme chaque Etat dans ce monde. Combien d’occasions ratées à cette époque face aux romains qui étaient eux aussi, pourtant en proies aux rivalités incessantes entre les héritiers des diadoques Israel n’a pas su en tirer profit et à même été destituée en étant « baptisée Palestine » . Conclusions, nous payons encore les pots cassés, de cette fausse dénomination qui fait le bonheur de ceux qui veulent notre perte. Aujourd’hui, Israel doit apprendre à grandir, en se méfiant de ses élites (comme toute démocratie solide), par une exigence de loyauté en sollicitant des garanties de compétences et transparences. Les juges de la Cour Suprême doivent venir de tous les courants ethniques de cet Etat pour apporter une approche pleine et efficace et juste des cas qui leurs sont soumis. Les journalistes gaucho destructeurs ont eu leur place par piston en tant qu’Ashkenaze et en aucun cas par leurs rigueurs professionnelles et leurs écrits sont abjects et insensés. On est encore trop loin du compte. Nous pouvons y arriver, c’est un combat commun à tous les citoyens en démocratie, il n’y a pas lieu à des réactions d’orgueil sur cette question fondamentale.