Une Égyptienne vient d’être condamnée par un tribunal correctionnel du Caire à un an de prison pour incitation à la débauche en dansant de manière suggestive dans un clip diffusé sur YouTube.
Une Égyptienne vient d’être condamnée par un tribunal correctionnel du Caire à un an de prison pour incitation à la débauche en dansant de manière suggestive dans un clip diffusé sur YouTube. La jeune femme, Reda el-Fouly, se trémoussait dans une vidéo vêtue d’une robe très courte avec un décolleté pigeonnant alors que la caméra multipliait les gros plans sur son anatomie. Vous allez me dire : « C’est fort de café ! » Certes, deux seins en semi-liberté ne valent pas la privation d’une totale liberté, mais ceci se passe en Égypte et, après tout, c’est leur affaire.
Le clip en question:
Par contre, mercredi après-midi, une Rémoise de 21 ans se prélasse en maillot de bain au parc Léo-Lagrange. Jusque-là, dans ce pays qui est encore le nôtre, rien de spécial. Par cette canicule, dans un parc paysager avec plan d’eau, être dans cette tenue, quoi de plus normal pour une adolescente qui n’a pas les moyens d’aller se faire dorer sur la Côte d’Azur ? Pourtant, un groupe de cinq jeunes filles originaires de différents quartiers de la ville (vous remarquerez l’infinie prudence du journal L’Union qui arrive à relater les faits sans en dire plus sur les quartiers et les adolescentes : « pas d’amalgame ») croisaient la diva allongée dans l’herbe se dorant au soleil. L’une l’aborde en lui reprochant sa tenue légère qu’elle juge indécente.
Effarée, la jeune femme se rebiffe en rétorquant qu’on n’a pas à lui dicter sa façon de se vêtir. Hélas, ce n’était pas la bonne réponse qu’attendait cette donzelle issue de la diversité. Une altercation éclate, le reste du groupe rejoint la première et se précipite sur la personne en bikini pour la rouer de coups. Heureusement, des témoins voyant la scène portent secours à l’agressée et alertent les pompiers qui doivent évacuer la victime de toute urgence au CHU. Bilan de ce passage à tabac : quatre jours d’incapacité totale de travail.
L’enquête de la brigade de répression des violences a permis d’identifier les cinq filles. Les trois majeures âgées de 18, 19 et 24 ans seront jugées le 24 septembre par le tribunal correctionnel.
Vous remarquez la similitude entre l’action de la justice en Égypte et celle de ces jeunes adolescentes islamisées. La notion de tenue indécente y est pratiquement la même. L’énorme différence tient aux lieux : Reims, ancienne cité du sacre de nos rois, est en France ; Le Caire, ancienne cité des pharaons, est en Égypte. Mais pour ces cinq jeunes filles, la France, notre France, n’a jamais été la leur.
Dernière minute : le parquet de Reims affirme que « ni la victime ni les auteurs des coups n’ont fait état d’un mobile religieux ou moral ». Alors pourquoi cette rixe ? On ne nous le dit pas. En revanche, sur sa page Facebook, une des protagonistes (Zougatta Mouaah) assure être une des cinq personnes incriminées et son scénario est tout différent : « C’EST MOI LA MISE EN CAUSSE IL NA JAMAIS ÉTAIS QUESTION DE TOUS SE QUI ET ECRIT NOUS PASSONS POUR VIOLENCE EN RÉUNION MAIS COMMENT EXPLIQUER QUE SI NOUS ÉTIONS 5 SUR UNE PERSONNE PK ELLE AURAIS QUE 4 JOUR D’ITT ET MOI 10 JOURS D’ITT BRF TOUS SA CES QUE DE LA PUB… », écrit-elle.
Bref, à en croire L’Union, l’une des filles mises en cause a simplement apostrophé l’autre par cette phrase : « Allez vous rhabiller, c’est pas l’été. » Donc, tout va bien dans notre beau pays et la femme en bikini attendait uniquement le père Noël car, comme tout le monde peut le constater, nous sommes en décembre.
J.-P. Fabre Bernadac – Boulevard Voltaire
Ancien officier de Gendarmerie – Diplômé de criminologie et de criminalistique
hi
nous sommes deja en eurabia
la dhimmitude , et l islamisation et l auto islamisation en cours actuellment
demontre clairement que nous sommes deja en eurabia
by
Pauvre France, douce France, pays de mon enfance …