Si l’on veut vaincre un adversaire, il faut le connaître, c’est à dire qu’il s’agit d’avoir une idée la plus précise possible de ses forces et de ses faiblesses. S’agissant de l’État islamique (EI ou Daesh), il est ainsi très compliqué de connaître avec exactitude le niveau de ses effectifs. En septembre, la CIA l’avait toutefois évalué entre 21.500 et 30.000 combattants.
Or, lors de la récente réunion, à Paris, des pays membres de la coalition anti-EI emmenée par les États-Unis, Antony Blinken, le numéro deux de la diplomatie américaine, a affirmé que 10.000 jihadistes avaient été tués par les frappes aériennes menées depuis 9 mois en Irak et en Syrie.
« Nous avons vu des pertes énormes au niveau de Daech, plus de 10.000 depuis le commencement de cette campagne, et ça va finir par avoir un effet », a-t-il ainsi confié à l’antenne de France Inter. Reste à savoir quand cet effet se fera sentir… Car, pour le moment, l’EI a mis la main sur Palmyre en Syrie et Ramadi en Irak. Et il contrôle désormais un territoire d’une superficie de 300.000 km2.
Comme le souligne le « Long War Journal » , si les chiffres donnés par M. Blinken sont exacts, alors cela voudrait dire qu’un tiers de l’effectif de Daesh aurait été mis hors de combat si l’on prend l’estimation haute de la CIA et que l’organisation jihadiste aurait une étonnante capacité à renouveler ses troupes… Et cela d’autant plus qu’elle a aussi subi des pertes importantes à Kobané, dans le nord de la Syrie, face aux milices kurdes.
En fait, il est probable que les effectifs de Daesh soient nettement plus élevés que les estimations données par le renseignement américain.
Les jihadistes doivent faire face à la coalition internationale, aux troupes et milices chiites irakiennes, aux forces du régime syries, aux combattants kurdes et à leurs concurrents du Front al-Nosra, lié à al-Qaïda, ainsi qu’à leurs alliés islamistes. Et pourtant, cela ne les a pas empêchés de progresser, particulièrement en Syrie. En outre, ils doivent maintenant contrôler un vaste territoire.
En novembre 2014, Fouad Hussein, un officiel kurde, avait affirmé, auprès du quotidien britannique The Independant, que l’EI compterait environ 200.000 combattants, en grande partie recrutés dans les territoires conquis, le reste provenant de l’étranger.
« L’EI occupe un tiers de l’Irak et un tiers de la Syrie, avec une population entre 10 et 12 millions de personnes sur 250.000 kilomètres carrés, la même taille que la Grande-Bretagne. Cela donne aux djihadistes un large potentiel de recrutement », avait expliqué ce responsable kurde. Soit un potentiel de recrutement portant sur 7 millions d’individu.
Cela étant, il n’est pas certain que l’EI ait la capacité d’entretenir une force aussi importante. Mais entre 200.000 combattants d’un côté et 21.500 à 30.000 de l’autre, il y a quand même une sacrée marge! Comme souvent, la vérité doit certainement être entre les deux.
Barack Hussein Obama, né musulman et admirateur de l’Islam (lisez son discours du Caire en 2009), a laissé faire : il avait comparé l’EI à une toute petite équipe de basket en Janvier 2014 puis, sept mois après, nous avons eu le retour de boomerang en Août 2014 avec le début du génocide des yézidis.
Il n’est pas non plus intervenu en Syrie l’année d’avant à l’été 2013 après les gazages d’enfants syriens.
C’est à se demander s’il ne veut pas mettre en place une Internationale Islamiste dans le monde avant son départ.
La fameuse phrase d’Obama le 7 janvier 2014 à props de l’EI
: »Si une équipe de jeunes met le maillot des Lakers, ça ne fait pas d’eux Kobe Bryant pour autant »
Pour moi; il a fait exprès de laisser l’EI s’étendre. Kennedy est mort pour moins que ça mais c’était une autre époque .
Si nous mettons un Président arabo-musulman ou avec des origines atabo-musulmanes en France au pouvoir, ce sera Obama en 1000 fois pire car, aux USA, il reste encore quelques contre-feux solides. En France, c’est fini : les pro-arabes majoritaires en politique et dans les médias, ont les cuisses écartées devant l »Islam.
Comme dit Hpuellebecq, il y aura Israël pour ce qui restera de français juifs en France. Pour les français chrétiens ou athées qui ne sont pas pro-mizz, ils goûteront malheureusement à la dhimmitude.
La fameuse phrase d’Obama le 7 janvier 2014 à propis de l’EI
: »Si une équipe de jeunes met le maillot des Lakers, ça ne fait pas d’eux Kobe Bryant pour autant »
Pour moi; il a fait exprès de laisser l’EI s’étendre. Kennedy est mort pour moins que ça mais c’était une autre époque avec d’autres hommes. .
Si nous mettons un Président arabo-musulman ou avec des origines atabo-musulmanes en France au pouvoir, ce sera Obama en 1000 fois pire car, aux USA, il reste encore quelques contre-feux solides. En France, c’est fini : les pro-arabes majoritaires en politique et dans les médias, ont les cuisses écartées devant l »Islam.
Comme dit Hpuellebecq, il y aura Israël pour ce qui restera de français juifs en France. Pour les français chrétiens ou athées qui ne sont pas pro-muzz, ils goûteront malheureusement à la dhimmitude.
Le renseignement américain n’y est pour rien. Demandez plutôt au gourou qui gouverne ce pays !
Je pense que « moi je » a contaminé les USA et leur service de renseignements. Sans doute impressionné par la certitude de « moi président » sur la croissance économique qu’il voit en France de France..
Donc les USA ont vu un petit nombre de guerriers là où la tulipe en voyait peu aussi, comme les bons chiffres économiques qu’il sentait tjr mais que l’on ne voyait jamais; il voulait en plus envahir la syrie! Donc devant l’absence des bons chiffres économiques français, les USA ont compris que c’était pareille pour les jihadistes : Moins fait plus et plus fait moins. Et peu de guerriers en fait plus….comme les chiffres économiques plus font moins …compris?